Au fin fond de mes cauchemards...

Invité

Alors que la jeune prénommé Rikiya, venait de s'allonger confortablement dans son lit, juste un drap et une petite nuisette en dentelle noir recouvrait son corps contre les courants d'airs qui fessaient des vas et viens dans sa chambre et de l'extérieur par le temps agréable de cette nuit.

Lentement, son coeur diminuait les pulsations... Son pou lui aussi baisser. Tous les bruits disparurent peu à peu. Le noir... Tout était complètement noir. La nuit s'était emparé comme chaque soir, du corps de cette jeune fille. Quelques minutes s'étaient écoulées, et l'enveloppe corporelle de Rikiya commençait a s'agiter dans un sens et dans l'autre. Des gémissements provenaient du fond de sa gorge qui avait l'air nouée. C'est tellement intrigeant...

" Où suis-je ? "

Une faible lumière, comme si c'était une bougie qui s'était entraîné par le vent. Un long couloir sombre, Rikiya courait, se rattrapant sur les murs pour essaies de percevoir la forme et la longueur de ce qui l'entourer... Puis plus rien, un grand vide, plus de lumière faible, plus de murs... Rikiya était transit de peur, elle finit par ce replier sur elle même.

Venu de nulle part, a nouveau cette lumière faible. La jeune femme releva doucement la tête. Des murs a nouveau... Moins sombre, mais toujours aussi angoissant. Rikiya, se releva avec maladresse, pour ce diriger vers cette lumière qui provenait bien d'une bougie, qui fondait peu à peu sous la chaleur de la flamme. Elle releva le visage, pour y trouvé un miroir. S'approchant avec prudence de celui-ci, elle découvre son visage, son corps, ses cheveux...

Ses cheveux étaient très long, d'une couleur blé. Elle les laissaient souvent détachés. Mais là, les pointes ,étaient coiffées par des magnifiques anglaises... Des oreilles de félin ce dresser sur sa tête, elle avait une forme plutôt fine. Elles étaient baissées vers l'arrière. Ses yeux était de forme amandes, son regard était perçant et mystérieux a la foie. Tout cela était du a ses pupilles horrizontales...Ses paupières étaient parce met un léger gris argenté, et d'un noir qui contourner ses yeux. Mais, elle ce tourna brusquement, son corps était envahit par un frison glacé... Elle regardait les murs rouges... Un rouge sang. On avait l'impression qu'ils coulaient de ce sang... Puis des photos. Ce rapprochant, elle aperçu que c'était elle.... Qui aurait pu prendre toutes c'est photos d'elle, dans des moments privés. Son esprit commençait a ce posé tellement de question qu'elle s'embrouiller...

Par la peur qui devenait de plus en plus grande, Rikiya par courrait la salle, en regardant les photographies qui l'effrayer de plus en plus...

"Qui a prit ces photos ? Qui êtes vous ? Où suis -je ?"

Elle fini par s'effondrait en larme sur le sol, ne comprenant pas ce qui lui arriver. Elle était au sol, a travers le rouge dégoulinant des mures, il y avait des morceaux de miroire...Se regardant dans c'est petits morceaux qui passé travers du sang. De son corps fin qui était dans une robe sublime, en satin rouge. Un corset de couleur sang s'était logé sur ses côtes. La robe laissait dévoilé ses jambes qui était longues mais très fines. Quand a ses pieds, ils s'étaient glissés délicatement dans des chaussures en plates formes. Cette robe la moulait, tout ses traits été dessiner a merveilles. Elle fessait un 86 de tour de poitrine, 59 de taille, et 65 de anche environs. Elle était pas très grande, un mètre soixante. Elle toucha délicatement le miroirs, et sa mains fut rouge sang... La retirant immédiatement.

Ce relevant, elle regardait toutes les photos qui étaient présentes dans cette pièce sans issue...On la voyait dans les pires moments comme dans les meilleurs ou des moments sans vraiment de raisons. Cela l'effroyait un peu. Mais elle resta un moment sur une photo, ou elle pointa son doigt fin dessus... Et une fine larme vint sur ses joues frêles et pâles.

"Shiato-san..."

Au fin fond de mes cauchemards... Regardqs3

Je ne bougeais pas, observant avec bienveillance la jeune fille. Suivant son instinct, pareille à la majorité de ceux qui étaient passés ici, elle paniquait comme une guêpe qu'on emprisonne dans un verre. J'aurai voulu la rassurer, mais les Yeux ne sont là que pour observer. Caché, je la regardais donc découvrir l'ampleur du carnage, ces dizaines de vision d'elle-même qu'elle n'aurait jamais cru voir. La jeune femme ne semblait pas se complaire, se mirer, elle était trop inquiète pour cela. J'attendais patiemment qu'elle ait fini le tour d'elle-même. Si jusque là je m'étais tenu hors de vu, il était maintenant tant que j'agisse. Apparaissant à ma manière dans le grand miroir, je n'étais rien d'autre qu'un changement, mes yeux sur son reflet. Je restais immobile et droit, tenant simplement la clef rouge dans ma main. La mécanique était lancée. Le chuintement était à peine perceptible, un murmure. Les murs, ou plutôt la peinture sembla se mettre à couler paresseusement. De longues trainées carmins, semblables à du sang, entrèrent en exode. Les rigoles rouges glissaient contre les parois et recouvraient peu à peu les clichés. Dans ma main la clé devenait elle aussi de plus en plus molle, et elle coulait lentement, goutte après goutte. Le liquide commença à dévorer le miroir comme de l'acide, il le recouvrait d'abord puis la glace semblait s'affaisser sur elle même. Les murs étaient désormais entièrement rouges, oubliant quelques gouttes sombres sur le sol, on ne voyait plus que le bas de mon corps dans le reflet, et dans ma main, la clé s'échappait. Bientôt le fluide vermeil eut fini son oeuvre, dévorant entièrement mon antre. Là où s'était dressé le miroir restait une bouche béante et noire menant à la prochaine étape.

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Au fin fond de mes cauchemards... Clrouge2ch7

Invité

Moi, Rikiya, je me suis retrouve enfermé dans une pièce, le rouge qui donné un effet de vie a la pièce ou je suis, était peu a peu entrain de couler, comme du sang qui s'échaper...
Alors que je m'étais un peu calmer devant une photo qui m'étais chère, j'entendu un bruit soudain dans la salle... Je me retourna, je vis une femme. Qui peu à peu disparaissé... Elle avait une clée dans la main, qui avec elle s'effacer. La pièce fut livide d'un seul coup. Plus de photos, plus de lumière ... Et cette femme droite me regardant était presque invisible aprésent

[ A FINIR ]