Je me réveillai avec une gueule de bois, la veille j'avais un peu trop bu et je m'étais endormis sur une chaise. J'ouvris les yeux doucement, m'attendant à être éblouis, mais je ne le fus pas. Effectivement la pièce était dans un noir d'encre. Où que je regarde il n'y avait pas une tache de lumière, lorsque quelque chose coula sur un mur à côté de moi. Je me levai du sol et m'approchai de la tache, c'était du sang! Du sang coulait le long du mur, soudain, il s'accéléra, il en coulait partout. Les murs furent vite recouvert, le sang semblait émettre une lueur. Maintenant je pouvais voir...

Au centre de la pièce il y avait un tableau, Je m'approchai pour le regarder, ce que je vis m'étonna, c'était mon portrait, peint avec du sang, je devais avoir quatre dessus. Des miroirs commençais à couvrir les murs, je m'approchai de l'un de mes reflets.

Je pus distingué mes long cheveux noir comme les plumes d'un corbeau, à mon grand étonnement, mon visage couvert d'une fourrure du même noir que mes cheveux c'était allonger jusqu'à prendre la forme de la tête d'un loup, mes yeux étaient devenus deux fentes rouge sangs et deux crocs acérés sortaient de ma bouche. Mon corps complètement nue était recouvert de fourrure noir, mes doigts étaient allongés et mes ongles long et tranchant, grâce à j'aurais pu éventré un boeuf à main nue, les mêmes ongles étaient poussés à mes pieds.

Je fus effrayé par ce nouveau cours, que c'était-il passé, pourquoi m'étais-je endormis en simple humain au cheveux court et brun, au visage fin et avec une grande balafre me traversant le visage, pour me réveiller en ce monstre mesurant deux fois ma taille, c'est à dire quatre mètres et en pesant deux fois mon poids, c'est à dire cent-quatre-vingt kilo.

Pourtant, je sentis une agilité et une force étonnante dans ce corps, j'en fus réjouis.

En un instant tous devint noir, un étrange poids pendait sur mon cou. Je le pris dans mes mains, je ne voyais plus rien, je devais me fier au toucher. L'objet était une lourde clé. Soudain une immense porte apparue devant moi. Dessus ne panneau disant: inséré la clé. Je le fis, une décharge traversant mon bras et atteignit mon coeur et mon cerveau. Je m'évanouis...

Lorsque je me réveillai, la porte avait disparut. J'étais dans une nouvelle salle, il n'y avait aucune source de lumière, j'eu peur lorsque mon ouï devenue plus fine entendit des murmure. Ces murmure se changèrent peut à peut en voix. Elle était affreuse, elle n'arrêtait pas de m'insulter et de me de me rappeler, les plus horrible chose que j'avais fais.Mais une me mis plus en colère que les autre. Elle n'arrêtait pas de me hurler :

-Tu as tué tes parents! Et tu n'as même pas eu de remord! Tu es un véritable monstre!

Maintenant, les voix criaient tous la même chose:

-Tu as tué ta famille et tu n'as aucun remord!

Comment s'avaient-ils cela, en effet, j'avais tué ma ma famille, mais contrairement à ce qu'ils disaient j'avais été effondré, j'ai mis plus de quatre ans à m'en remettre et même maintenant j'évite de me lier d'amitier avec les gens, ainsi je peut paraitre froid, distant mais cette épreuve m'a durci et ma aussi rendu plus cruel.

Une autre voix s'éleva:

-Tu as fais souffrir tes cibles, tu es un homme vil!

en effet, j'exerce la profession de tueur à gage et j'aime faire souffrir mes cibles, je ne sais pas pourquoi mai c'est comment ça, en faisant ça je me sent vivant et puissant, j'ai le pouvoir de faire cesser les souffrances ou de les torturer sadiquement.

Décider à ne pas céder malgré la douleur des mots, je me tins aussi droit que je le pouvais sous ma forme de loup...

Les mots sont comme des lames trempés de poison, un poison qui retourne contre moi toute la douleur que j'ai pu engendrer. Une douleur triplé, mais pourtant je reste droit, décidé à ne pas céder, quand je vis, une tache blanche tombé au loin. La tache fus absorbé par le sol. Une trappe de lumière s'ouvrit au même moment.

Fasciné par ce trou lumineux, je m'approcha. Je n'entendais plus les voix, j'aurais dût m'en réjouir, me réjouir que la douleur prenne fin mais je m'en fichais. Tous ce qui m'importais, c'étais cette tache. Plus je m'approchais, plus elle grossissait. j'arrivais à son niveau, je découvris qu'elle s'enfonçait sous terre grâce à un escalier, je descendis...

Dans cette atmosphère, j'avais l'impression d'étouffer. Je continuais à descendre lorsque j'arrivais dans une pièce immense, totalement blanche. Lorsque je regardais le plafond je voyais des nuages. Je sentis un léger courant d'air entre mes pieds, un courant d'air étrange. Je baissais les yeux et découvris que le courant d'air étais en fait un cour d'eau.

Plus je le fixais et plus j'avais l'impression de voir des images. Oui, il y avais des images sur l'eau, des image me représentant petit, ado et adulte. Ces images représentaient mes souvenirs, des souvenirs joyeux et aussi ceux que j'aurais voulu oublier. Mon regard était sans cesse attiré par une image en particulier, l'image de ma naissance.

Je suis né dans une ferme, le jours de l'an, à exactement minuit, j'avais failli tuer ma mère. Mes parents, ce jours là, me nommèrent "Hyde".

Je dirigeais mon regard vers le second reflet, sur celui-la j'avais 11 ans, c'était lors d'une randonné de deux jours. Mon père voulais faire du camping avec moi, nous nous étions alors mis en route. Nous avions marché pendant cinq heures avant de nous arrêter dans un marais. Nous avions installé le campement, ensuite nous avions mangé et nous étions couché. Le soir un loup géant m'avait attaqué. Mon père l'avait fait fuir grâce à un médaillon en argent.

Le reflet du souvenir disparut et un autre apparut. J'avais désormais 17 ans, depuis l'attaque du loup , tous les soirs je m'enfuyais dans la forêt, à cause d'un instinct, et je me réveillais couvert de sang. Bref, ce jours là j'avais un peu trop bu avec des amis. J'étais rentré chez moi et je m'étais endormis directement sans partir dans la forêt. Le lendemain, lorsque je m'étais réveillé, j'étais encore couvert de sang et les restes de mes parents étais éparpillés autour de moi. Ils avaient étés dévoré. J'avais un gout de sang dans la bouche et je réalisai avec horreur que c'étais moi qui avais fais ça. Dégouté et effondré, je m'évanoui.

Maintenant, cette pièce blanche se transformait en un enfer lumineux au fur et à mesure que les souvenirs se succédaient.

Une nouvelle image apparut, c'était quatre ans après le drame. J'avais changé de nom pour oublier, je me nommais maintenant "unded", mais cela n'avais pas marché. Après l'incident, je me suis terré au fond d'un marrais, à boire bouteille d'alcool sur bouteille d'alcool. Un jours j'avais failli me suicider, mais un homme de passage me sauva la vie, il écouta mon histoire et me rendit l'envie de vivre. Par contre, il ne me dit pas ce que j'étais réellement.

Quand les souvenirs s'arrêteraient-ils? Quand cet enfer s'arrêtera? Un nouveau souvenir, encore un !

C'étais ma première cible, ma première ! J'avais un coéquipier avec moi, mais il étais mort pendant la nuit, sans doute ma faute ! Enfin, je me tenais accroché au plafond au-dessus de ma cible, le sang battais à mes tempes, j'étais heureux. Pour la première fois de ma via, je contrôlais quelque chose, je pouvais décider si l'homme allait vivre ou mourir. Je me laissai tomber sur l'homme et l'égorgeai. A ce moment la, je fus heureux et très excité de sentir mon poignard s'enfoncer dans la gorge de l'ennemi et de sentir son sang coulé sur mes mains.

Dans la pièce lumineuse, l'air était étouffant, soudain les nuages du plafond devinrent noirs et l'eau se transforma en lave. Dans la lave les images avaient changé, elle représentait un monstre à poil, pourtant je sus que c'était moi. Le reflet montrait ce que j'avais fais la nuit: moi égorgeant et dévorant des animaux et des humains, moi dévorant ma famille, moi tuant et dévorant mes coéquipiers.

Soudain la lave commença à remplir la pièce pourtant elle ne me brulait pas, elle allait m'étouffer. Allais-je mourir de cette façon? asphyxier au milieux des images terrifiantes. A ce moment je sus que j'étais en enfer et que cette lave allait me punir pour me pécher. Je flottais sur le dos, j'arrivais au plafond, je fermais les yeux et attendis la fin, je ne ressentais aucune émotion, je m'endormis.