[Edit : Désolé, les gros paragraphes que je fais c'est crevant à lire... Mais je ne fais pas exprès, hélas, je vais donc essayer d'éditer Reédit: Voilà mais moi ça me met mal à l'aise les petits paragraphes comme ça, allez savoir pourquoi x)]

Oweon, doucement, se réveillait, recouvrant lentement ses sens. La froideur de la pierre lui mordait la peau malgré ses fins habits de tissu qui visiblement ne suffisait pas à le protéger de la fraîcheur de la pièce dans laquelle il se trouvait. Le jeune homme ne bougeait pas d'un pouce bien qu'il ignora les raisons de cette léthargie, il n'osait même pas ouvrir les yeux. En faite, il ne devait pas tout à fait être réveillé. Du moins c'est à cette conclusion qu'il vint pour justifier le silence terrible qui régnait autour de lui.

Il du finalement admettre qu'il était éveillé, car ce froid et cette pression sur sa poitrine, qui l'étouffait, n'étaient que trop réels. Oweon tendit l'oreille aux aguets du moindre bruits, mais le silence pesant était toujours présent. Le garçon fut prit d'une panique soudaine à l'idée d'être sourd et le choc lui fit brusquement ouvrir les yeux et lui donna la force de gesticuler sur le sol. Il perçut soudain le bruit de sa respiration, le frottement de ses habits contre la pierre, le rythme de son cœur battant la chamade... Quelque peu rassuré, il se calma et se prit dans une contemplation attentive du plafond couleur du sang. Mais étrangement, il ne put, dans cette vision, que retrouver le malaise qu'il venait de repousser ardemment.

Pour se donner du courage, il referma les yeux. Dans la plus grande des lenteur, Oweon se redressa, d'abord sur ses coudes, puis sur ses mains et enfin sur ses pieds. Il souleva ses paupières non sans efforts. Il ne savait pas où il était et son intuition ne lui fournissait, en gage d'avertissement, que des vagues glacées dans le dos. A vrai dire, le goût amer de la peur s'imprégnait dans le corps du jeune homme. La première chose qui le frappa fut la luminosité anormale de la pièce, illuminant les moindres recoins et surgissant de toutes parts sans source apparente... Puis, son regard s'attarda sur la pièce en générale. Une lueur remplit d'effroi habita soudain ses yeux, les mûrs étaient tapissés de photos et miroirs.

Si ça n'avait été que cela, Oweon, assez courageux, aurait certainement oubliée sa peur, mais sur chacune des photos, il apparaissait. A tout âge, on le voyait en train de manger, de jouer, de rigoler, pleurer, ... Sur certaines photos, on le voyait tout jeune adolescent aux fossettes rondes et malicieuses, en train d'adresser des sourires qui se voulaient charmeurs à des filles. Sur une autre on voyait son frère lui tirer une mèche blonde de cheveux pour l'embêter, et sur sa voisine, Oweon était en train de sauter d'un arbre imposant comme un idiot car son grand frère y arrivait, sur une énième, il jouait avec le chien de son frère, Brilic...

Il n'y avait aucun miroir chez lui, ainsi, dans le silence et la peur, il ne put s'empêcher de se détailler. De constater, plutôt que de voir, combien il avait grandit et comparer le blondinet d'adolescent rieur qu'il était au jeune homme aux yeux noisettes et froids qu'il était devenu. Sa carrure étaient maintenant celles d'un homme, mais Oweon ne c'était pas transformé en gros tas de muscles loin de là. Son corps était élancé et fin, tout comme son visage dont les traits étaient loin d'être adipeux. Ses cheveux étaient devenus plus foncés, remplaçant le blond par une belle couleur brune. Une lueur de fierté naquit dans ses yeux, il était un homme désormais. Son visage restait froid et impassible.

Alors que le jeune homme se fixait droit dans les yeux, ses traits s'imprégnèrent d'une tristesse soudaine et immense. Ses yeux se voilaient petit à petit d'un liquide humide et brillant et les joues du garçon furent imbibées de larmes. Pendant un court instant, il avait su reconnaître son grand frère dans le jeune homme qu'il était devenue. Il se résigna tout d'un coup à tous ses buts de vengeance et sauvetages. Seul compté son frère et au fond de lui, tout son être lui criait que la réponse se trouvait à Aïklando. Mais très vite la haine implacable que le garçon nourrissait à l'égard du rêve reprit le dessus, son regard retrouvant l'assurance, la froideur et cette minuscule pointe de tristesse qu'il laissait à peine apparaître et que ne discernait que ceux qui sondaient son regard pendant de longues minutes. Son visage, réel masque d'impassibilité le fixait, et parfois, en égarant son regard sur le photos où se trouvait son frère, il se disait qu'il aurait du ressembler un peu plus à se jeune homme rieur. Il se mit à faire les sens pas dans la pièce d'une démarche silencieuse et gracieuse de part ses mouvements rapides et calculées, dont lui seul avait le secret. Il lançait des regards furtifs à son reflet, dans l'espoir d'entrevoir le moyen de sortir et étrangement, la panique ne le gagnait pas.

Son reflet dans le miroir lui sembla traitre... Non, ce n'était pas lui, il avait les yeux brun, ceux qu'il fixait étés d'un vert magnifique. L'angoisse qui était présente en lui depuis déjà quelques temps mua en une terreur plus parfaite.
* La peur est toujours là, il est normale pour un homme d'avoir peur, il faut juste savoir la cacher, la surmonter ou l'oublier...*. Inlassablement il répétait cela dans sa tête jusqu'à ce qu'il n'ai presque plus peur. Ragaillardit, il sursauta tout de même quand il entendit le bruit doux de l'eau. Le miroir se remplissait du liquide limpide, pourtant le reflet aurait du avoir peur de se noyer mais il ne paraissait que plus serein. Oweon se mit à réfléchir, si cette "personne" était arrivée derrière le miroir, c'est qu'il y avait une sortie. Le jeune homme remarqua alors la clé qui flottait à la surface de l'eau. Elle était rouge pareille aux murs de sang de la pièce et bien qu'elle semble être faite de métal, la clé flottait sans mal à la surface. Quand l'eau eut emplit tous le miroir, la clé, lentement commença à couler. Elle semblait soluble mais Oweon ne connaissait aucun scientifique qui aurait été capable d'expliquer se phénomène. Se désintégrant comme du sable, il ne resta bientôt plus rien de la clé. Le miroir éclata soudainement sans qu'Oweon eut le temps de s'éloigner ou se protéger, mes étrangement tous les fragments de verre avaient disparus. Il ne restait qu'un couloir dont on ne distinguait pas le fond. On ne lui avait pas fait de mal, il avait gagné un peu plus de confiance en lui et suivit sans plus attendre la voie qu'on lui offrait. Le garçon avança inlassablement dans le couloir. Il ne se retourna qu'une fois et ne vit qu'un rectangle de lumière. Il entra enfin dans la pièce qui l'attendait. Doucement et sans bruit, l'ouverture se referma le laissant seul dans le noir.

Il s'assit par terre, Oweon voulait réfléchir, encore, inlassablement, tous ce qui se produisait n'était qu'un rêve n'est ce pas. *Oublie ta peur, oui, il faut que je l'oubli...*. Les événements s'enchaînaient rapidement, peut-être un peu trop vite pour qu'Oweon comprenne tous ce qui lui arrivait. Une voix brisa le silence. Elle n'était pas rassurante, mais voilà un petit moment qu'Oweon n'avait rien entendu d'humain.
<< Tu te rappelle de ce gamin à qui tu as volé le petit couteau qu'il avait eut pour son anniversaire ? Pourquoi as tu fait cela, dit moi Oweon ! >>. La voix était dure et froide, si bien que le garçon se sentait presque obligeait de répondre, de se protéger, de se justifier...
<<- Je... Je... Ne m'en rappelle pas non.
- Tu ment, tu as honte, c'est tout, alors, pourquoi à tu fais cela ?
- Je... J'étais jaloux. J'enviais ce garçon, il avait tout ce que je n'avais pas et...
- La encore tu ment, ce garçon n'avait rien, c'était un gamin des rues comme tu en connait t'en d'autre.
- Il m'avait frappé ! Je voulais me venger ! C'était justifier ! Et tout le monde savait que je n'avais aucune chance de le battre au combat, même si j'étais plus rapide et agile que lui ! Il était trop fort, j'ai choisit la manière la plus prudente de me venger... Il avait l'habitude de ce battre et avec son couteau il m'aurait réduit au néant...>>
La voix se tut et le silence revint. Puis une autre légèrement plus douce prit le relais.
<<- Toi et quelques amis, vous vous promeniez dans les rues et ruelles quand vous avez croisés un homme effrayant qui fit décamper tous tes petits camarades, pourquoi n'a tu pas bougé ?!
- Je n'avais pas peur, enfin si en faite j'étais terrifié. Mais je savais que l'homme ne me voulait aucun mal, c'était une intuition.
- Et pourquoi éprouve toujours se besoin d'offrir des présents à ton père pour son anniversaire alors que tu n'as jamais rien eu depuis que ta mère est morte ?
- J'aime... Mon père. Et j'aime faire plaisir aux gens.
- Si tu aime ton père, pourquoi est tu partis !?
- La liberté, je veux être libre, le Rêve est une obstruction à la liberté que je recherche... Je veux être libre de faire ce que je veux, et c'est ce à quoi je m'applique depuis que je suis partie... Je veux suivre ma voie.
ET VOUS, POURQUOI ME PAUSEZ VOUS TOUTES SES QUESTIONS !?
- Tu es trop curieux, très rancunier, généreux toutefois, intuitif, courageux et tu essaye d'agir en écoutant ton cœur. Voilà pourquoi je te pause toutes ses questions.>>
La voix sembla être étouffée par l'obscurité et on n'entendit plus rien. Oweon était parcourut de frissons, tous ce que les voix disaient été vrai. Chacun de ses défauts été soulignés par ses sons cherchant à le briser. Le garçon avait toujours était rancunier et chaque offense ou blessure qu'on lui infligé se gravait dans sa tête jusqu'à ce qu'il ai goûter à la vengeance. Jamais il n'oubliait le visage de celui qui lui avait fait du tort. Mais il y avait une force plus grande et plus attirante que la vengeance aux yeux d'Oweon. Rien pour lui n'était comparable à la liberté, à la douce saveur de l'aventure. Le jeune homme était loin d'être naïf et il savait que traverser une rivière tumultueuse était dangereux et en aurait emporté plus d'un, mais s'exposer au danger procurer un telle plaisir au garçon qu'au file des ans, son corps se pliait à toutes ses acrobaties et escalades.

(Excuse je me suis à certains moment éloigné de l'idée de décrire les images... Et puis aussi, désolé parce que j'ai pas fait très court, il va t'en falloir du courage pour lire ces pavés ! Sinon, il est vrai que j'aurais pu mieux détailler le caractère de mon personnage, je tâcherai de faire mieux !)


Oweon resta assit dans le noir complet pendant quelques minutes qui lui semblèrent être des heures. Le silence fut briser une fois de plus, mais non pas par une de ses voix tranchante et accusatrice, non, c'était cette fois un tintement métallique qui semblait résonner dans toute la pièce. Ce bruit bien qu'agressif, lui semblât doux en comparaison aux sons précédents. Un carré de lumière apparut dans le sol, une lumière apaisante, douce. Malgré cette source de lumière, le jeune homme ne réussit pas à distinguer les détails de la pièce, les personnes qui l'avaient accusé ou lui avaient conté quelques un des comportements étranges, ou plutôt humain, qu'il avait eut dans sa vie ne lui serrait pas dévoilées... Sans hésitation et emplit d'une étrange sensation de bien être, il s'avança sans bruit vers la "trappe" et disparut rapidement. L'obscurité complète reprit bientôt le dessus dans la salle et le silence lourd reprit son droit également.
*Encore une autre pièce ? Mais quand cela cessera-t-il ?!* Une sensation d'infinité emplit Oweon, un découragement passif.
La pièce était emplit de cette lumière diffuse et visiblement bénéfique, car le jeune homme reprit comme à son habitude, rapidement du poil de la bête. Il sentit à ses pieds une sensation de caresse, s'infiltrant dans ses chaussures. Portant son regard à cet endroit, il s'aperçut que la pièce était emplit d'eau ballotant lentement dans un courant indistinct. Oweon ferma soudainement les yeux, une lumière forte, l'avait éblouit, telle un éclair, lors d'une tempête d'éléments déchaînés. Et si comme tout à l'heure, dans la première salle, le niveau de l'eau grimpait finissant par le laisser mort ? Cette pensée glaça le corps du garçon. Il rouvrit toutefois les yeux et s'intéressa à la source de cette lumière. Rapprochant son visage de l'eau pour tenter d'en distinguer la source, il ne remarqua pas que les murs autour de lui s'effaçaient. Que chaque élément blanc disparaissaient. Il ne resta plus que le sol, qui disparut lui aussi. Oweon se trouvait dans le néant. Seul l'eau était encore présente et il semblait marcher à sa surface.

Les images apparaissaient une à une à la surface de l'eau, limpide. Oweon voyait défiler les principaux éléments de sa vie, ainsi que quelques un, futiles. Il se revit au chevet de sa mère, couchée à même le sol sur quelques couvertures et de la paille. Il n'avait pas vu sa maison depuis longtemps. Composée de deux pièces uniquement, tous dormaient dans la même salle et la seconde leur servait de pièce à vivre. Le parquet était poussiéreux et le mobilier en mauvais état. Son père était un ouvrier et gagnait la misère. Comme t'en d'autres, ils vivaient mal et les nobles de la ville se fichait bien de cette situation. Le jeune homme fut emplit d'une vague de nostalgie et de tristesse. Il se rappelait se jour comme si c'était hier. Il avait veillée sa mère toute la journée avec son frère, puis toute la nuit, le lendemain, attendant qu'elle se réveille pendant une journée encore, le père du garçon réagit et lui expliqua où était sa maman. "Là" avait t-il dit en désignant le cœur du garçon de cinq ans. Décédée de maladie, Oweon ne put que détourner les yeux de sa défunte mère qu'on enterrée dans la forêt, sans qu'aucune place dans un cimetière ne lui soit attribuée. Ses yeux perdus tombèrent sur une autre image. Le malheur c'était abattu sur sa famille après la mort de sa mère. Son père c'était mit à boire et le seul soutient que le garçonnet trouvait, c'était au près de son frère âgé de trois ans de plus, Kerl. Il rentrait avec celui-ci et son géniteur, que je vais tout de même nommer, Arelir, buvait abondamment, sortant des bouteilles d'alcool d'on ne sait où. Il déblatérait des idioties sans queue ni tête et c'est le seul jour, ou, Oweon vit son frère s'affliger sur son sort. Il gardait là encore une vif marque de ce souvenir. De nombreuses scènes de sa vie défilèrent. L'image qu'il vit soudain lui fit l'effet d'un coup de poignard. Il avait quatorze ans alors, et il était dans son lit, blottit dans sa couette, tremblant de peur et de souffrances. Son frère allait venir, comme tous les ans, le soir du Rêve. Il allait se glisser vers lui, et le rassurer de sa voix douce et suave, oui, Oweon espérait encore que cela se produise. Les minutes passèrent alors qu'ils restait dans son lit. Son père n'était pas là, certainement parti errer dans les rues et faire le Rêve endormit avec les clochards. Après le Rêve, il était impossible de trouver le sommeil, même les nuits suivantes, beaucoup avaient le sommeil agité. Oweon sur l'image finit par se lever lentement, et aller vers la couche de son frère, totalement immobile. Son visage était figé dans une mimique de pure terreur mélangé à une pointe acérée de souffrance. Son frère était maintenant une statue, la peau d'un gris pâle, le corps encore tiède pourtant, mais immobile. L'adolescent qui venait de perdre son frère ne bougeait pas. Il restait ainsi, pendant de langues heures, debout. Puis en une seconde, son comportement changeât du tout au tout. Le Rêve avait prit son frère. Il s'écroula près de celui-ci et étreignit le corps maintenant froid, le cadavre. Il hurla et pleura toutes les larmes de son corps, mais seul le silence lui répondait, il était seul, totalement seul. Il goûta pendant quelques secondes à la solitude pure et dure, sentant ses forces l'abandonner, son envie de vivre ployer. L'adolescent entendit soudain un frottement contre la porte, presque imperceptible tout d'abord puis plus insistant au fur et à mesure. Oweon voyait se jeune adolescent ravagé par la tristesse se lever pour appuyer sur la poignée et retomber presque instantanément sur ses fesses. Un petit chien pénétra dans la pièce allant se blottir contre son maître. Brilic, le fidèle compagnon qui comblerait la solitude d'Oweon et avec qui il partagerais tout. Le bien légué d'office par son frère.

Le garçon surmonta l'épreuve qu'avait été cette nuit dont le goût amer imprégné encore tout son corps. Il accueillerait Brilic, créant un lien très fort avec lui. Pendant deux ans, sa vie s'apparenterait au désespoir et à l'amertume. Ces deux sentiments qui deviendraient petit à petit haine vis à vis du Rêve et désir de l'oublie. Mais il n'y a que deux moyens d'oublier, le premier consiste à un effacement de mémoire mené par des scientifiques aguerris (Mais hélas inaccessible à un gamin et inconnu de la grande majorité des habitants de l'archipel.), le deuxième, ai-je réellement besoin de vous en parler ?
Il n'en reste pas moins qu'Oweon commença à voir le Rêve comme une obstruction à la liberté. Tous se passa très vite ensuite. Il regarda se reflet ressent d'à peine un an. Il entrait dans une taverne et des l départ, un homme le regardait. Pas le genre d'ivrogne chantant dans chansons paillarde, le genre d'homme qui fait froid dans le dos et dont tout le monde ignore l'identité. On le voyait quelques temps après exposer ses idéaux à Oweon qui les approuvait. On les voyait conclure un pacte. Oweon avait accepté de devenir un briseur de Rêve. Son entraînement débuta ayant déjà duré un an. Tous le trois mois, il venait montrer sa progression à un espèce de maître qui lui donnait des tâches. Il devint rapidement habile et discret, et montra un talent conséquent dans les domaines nécessaires pour devenir un parfait Brise-Rêve. Mais il était loin d'avoir fait ses preuves, il lui fallait encore s'entraîner. Il n'avait même pas rencontrer le conseil. Les images défilèrent encore et encore, inlassablement, puis, la pièce sembla redevenir blanche dans la tête d'Oweon. Il ne bougeait pas pour autant, exténué et paralysé en quelque sorte, par le choc qu'avait provoquer le rappelle de ses souvenirs.

Merci , je vais aller voir pour les rp qui n'ont pas de réponses, les demandes et le contexte parallèle ! (Donc sinon, mon perso ne Rêve plus hein )

Merci pour les compliments ! (Effectivement je suis loin d'être à mon premier forum RPG, j'ai commencé vers 9 ans grâce à la grande soeur d'un copain qu'avait crée un forum enfin bref xD) Je vais sûrement aller me présenter, enfin, je ne sais pas ^^.