"Homme libre, toujours tu chériras la mer !" "La mer enseigne aux marins des rêves que les ports assassinent." "La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit." "Il est des moments où les rêves les plus fous semblent réalisables à condition d'oser les tenter." "Le voyage est une suite de disparitions irréparables." "Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil." "Dieu nous rêve. S'il s'éveille, nous disparaissons à jamais." "Nous trouverons un chemin... ou nous en créerons un." "Le rêve de l'homme est semblable aux illusions de la mer." "Il n’est pas de vent favorable, pour celui qui ne sait pas où il va…" "Il y a trois sortes d'hommes : les Vivants, les Morts, et ceux qui vont sur la Mer." |
|
| Auteur | Message |
---|
*Humain*
Nombre de messages : 310 Localisation : Je ne sais pas ... Métier/Fonction : Dessinatrice de passage
| Sujet: Pampelune Ven 28 Mai 2010, 22:34 | |
| La jeune fille se réveilla en sursaut. La première chose qu'elle vit se fut une lueur rouge. Elle se recroquevillât sur elle même en serrant le plus fort possible ses yeux. Elle ne voulait pas se réveiller, ne pas penser. Le sol froid la faisait frissonner mais pourquoi aurait 'elle voulut se lever alors que seuls ses rêves répondent à ses attentes. Un courant d'air froid la décida quand m'eme à ouvrir les yeux, a se lever et a bouger pour essayer de se réchauffer.
Lorsqu'elle fut debout à se dandiner sur place elle jeta enfin un oeil au alentour. Mais ou était elle? Elle ne savait pas. Une salle rouge sang. Voilà ce que son cerveau enregistrait. Elle qui s'était endormis sur le banc d'un parc comment avait 'elle put se retrouver là? La seconde chose qui était surprenant était la quantité de potraits présent sur les murs. Elle s'approcha de l'un des murs, le plus proche et regarda sans comprendre la photo qui s'offrait à ses yeux. Une femme avec un regard égaré regardant un bébé dans un berceau. La cigarette à la main la jeune femme semblait pleurer. Son regard bleus azure était le meme que celui du bébé qui regardais l'objectifs de grands yeux ouvert. Il portait sur sa joue une coupure toute fraiche ce qui était étrange pour un si jeune enfants. La jeune fille laissa échapper un gémissement et porta sa mains sur sa propre joue ou elle portait une cicatrice identique à celle du bébé. C'était elle. Elle recula choquer en continuant de caresser sa joue jusqu'a ce que son dos touche le mur d'en face. La elle fit tomber un cadre. de un mètre sur un mètre. Elle le ramassa confuse et regarda machinalement ce qui était représenté dessus. Encore une photo d'elle! Elle devait avoir six ans avec de long cheveux blond qui lui arrivait à la taille. Elle avait le même regard triste que la femme sur la photo précédente. Elle regardait l'objectif habillé en robe de princesse pour le carnaval. La jeune fille fit parcourir son regard sur le reste de la pièce. La multitude de portait la représentait tout au long de ses années et de ses changements. Elle posa le tableau qu'elle tenait toujours et commença a avancer en se regardant.
Elle s'arreta devant trois autres portraits. Le premier la montrait à l'age de 14 ans l'air heureuse dans les bras d'un garçon. La première fois et la dernière fois ou elle s'était vraiment senti heureuse pensa t'elle. Elle fit parcourir ses doigts abimer avec de multiples coupure sur la photo et suivit les contours de son nez plutôt fin et écraser, passa sur sa célèbre cicatrice et termina par sa bouche souriante légèrement pulpeuse et rose. Elle s'embrassa doucement continua son chemin et tomba alors sur une seconde photo. Celle la avait été prise quelque temps plus tard. Elle la montrait entièrement nue sur un lit en train de dormir cacher par une fine couverture. On voyait une seconde cicatrice. Elle allait de sa hanche gauche jusqu'à son épaule passant très prêt de son sein gauche. Prise de fureur elle détruisit le cadre d'un coup de point avant de courir pour échapper à cette image et tribucha. C'est là qu'elle vit la dernière photo. Elle, une fois de plus avec un énorme dragon courant sur son dos. De type asiatique elle ressentait encore parfois la douleur de quand on le lui avait apposer. Elle releva et admira l'oeuvre sur son dos. Elle remarqua alors que il y avait sur l'un des murs un grand miroir.
Elle s'en approcha, enleva la robe qui la couvrait et regarda la dragon. Contrairement à la photo il était en couleur de rouge et de bleu. Elle inspecta ensuite son visage et se redécouvrit. Après avoir vue l'enchainement de ses transformation elle pouvait retrouver chacun des détails qui la composait et qui avait d'elle ce qu'elle était maintenant. La même cicatrice sur son visage, les même yeux, le même profile parfais à ses yeux, la cicatrice sur son torse et le dragon sur son dos tout était là bien à sa place. Elle était jeune. seulement 17 ans et déjà tan de souffrance passagère inscrite sur son corps. Elle soupira remis sa robe puis ferma les yeux... |
| | | ¤Fantome des courants¤
Nombre de messages : 592 Localisation : ~*~ Entre deux eaux... ~*~ Métier/Fonction : ~*~ Fantome des courants... ~*~
| Sujet: Re: Pampelune Sam 29 Mai 2010, 10:27 | |
| Huuuuuuum… Je n’apprécie guère la venue des ces êtres dans mon palais, ma salle, ma tanière, mon domaine. Je n’aime pas voir mes beaux murs sanglants se recouvrir de ces images futiles et sans intérêt. C’est une véritable invasion. Malheureusement j’ai besoin d’eux pour avoir un corps un temps aussi fugace soit-il. Tsss…
La femme apparaît face à la glace et moi, son reflet pour un temps, fait de même. Je mime chacun de ses gestes avec un ennui certain, le moindre battement de cil, le moindre froissement de vêtements. Je soupire mentalement tout en suivant le mouvement, retirant ses vêtements.…
Une grimace aurait put venir malmener mes traits. Je ne suis absolument pas ravi. Ce corps est moche, banal, peu intéressant à revêtir et affreusement balafré!. Je l’aime encore moins nu… Tsss… Pour la suite des événements, au lieu de continuer à le singer, je prends possession de mon corps. Mes yeux, eux magnifiques et dignes d‘attention, viennent embellir son visage. Je cligne paresseusement des paupières. Mes cils incroyablement longs laissent entrevoir de manière hautaine ma pupille d’un rose éclatant. Une touche de féminité magnifique sur ce corps qui ne pourra jamais ateindre mon élégance…
Il est temps de me débarrasser de ce parasite. D’un air absent je lève ma main et je toque, trois petits coups pour attirer son attention… Puis le plus naturellement du monde je lui montre la clef rouge qui peut la libérer. A cet instant précis toutes les photographies explosent dans une cacophonie peu élégante. Il ne reste que moi et elle, moi toujours impassible la clef dans la main. Ma salle est devenue un vrai dépotoir. Je grimace et fait demi tour dédaigneuse, après quelques pas je me souviens que le parasite est toujours là. Je me tourne à demi, lui lançant la clef qui au contact du verre fit exploser le miroir laissant ainsi le passage noir vers l’autre salle… Tsss… [Bienvenue à toi. ^^ Pense juste à remplir ton esquisse et mêtre un avatar. Bon courage!] |
| | | *Humain*
Nombre de messages : 310 Localisation : Je ne sais pas ... Métier/Fonction : Dessinatrice de passage
| Sujet: Re: Pampelune Sam 29 Mai 2010, 18:00 | |
| Il est temps de me débarrasser de ce parasite. D’un air absent je lève ma main et je toque, trois petits coups pour attirer son attention…
La demoiselle sursauta violemment. Elle aperçut alors une élégante silhouette sans parvenir à l'identifier.
Puis le plus naturellement du monde je lui montre la clef rouge qui peut la libérer. A cet instant précis toutes les photographies explosent dans une cacophonie peu élégante.
Cette fois l'explosion la fit reculer de trois pas et la silhouette disparut de son champs de vision la faisant reculer.
Il ne reste que moi et elle, moi toujours impassible la clef dans la main. Ma salle est devenue un vrai dépotoir. Je grimace et fait demi tour dédaigneuse, après quelques pas je me souviens que le parasite est toujours là. Je me tourne à demi, lui lançant la clef qui au contact du verre fit exploser le miroir laissant ainsi le passage noir vers l’autre salle… Tsss…
Après l'explosion du miroir lorsque la clef passa à travers elle récupera l'objet. Elle était rouge et permettait sans doute l'entré par la porte en face d'elle qui avait remplacer le miroir. Elle introduisit la vieille clef dans la serrure ouvrit la porte et s'introduisit sans attendre. Elle voulait avancer. La porte se referma d'un coup après qu'elle soit entrée. Elle commença à paniquer. Elle était claustrophobe et avait peur du noir depuis sa plus tendre enfance. Elle avait vécut des choses trop horrible dans le noir. Elle essaya d'avancer lorsqu'elle entendi un bruit. Elle s'arreta et écouta. Des gens parlaient. Aucune voie était reconnaissable. Tout d'un coup l'une d'elle sembla se rapprocher et murmura à son oreille:
-POurquoi as tu peur de moi...?
La jeune fille paniqua. Qui était se moi!?
-As tu peur de l'inconnue?
Elle haucha la tête malgré elle. Oui elle avait peur de l'inconnue depuis sa plus tendre enfance pour les mêmes raison qu'elle avait peur du noir. A cause d'EUX ! La fureur l'envahi comme a chaque fois qu'elle y pensait.
-Je vois... Aime tu quelqu'un? Le bonheur viens souvent de la pour les humains.
Le visage du garçon de la photo passa pendant quelque seconde dans sa tête et sa fureur baissa d'un cran. Elle se souvaint alors pourquoi elle n'était plus avec lui est cette fois sa colère laissa place à la tristesse.
-Cette tristesse qui te semble si coutumière...Sera tu un jour heureuse?
-Je ne sais pas et je commence à en douter...
C'était la première fois qu'elle parlait depuis son réveille. Sa voir plutôt grave traduisait le temps qu'elle avait passer sans dire un mots. Elle se mit à pleurer comme toujours lorsque l'on lui pose cette question... Pourquoi faut 'il qu'on le lui la pose? Elle à presque toujours été malheureuse. Ces seul moment de bonheur elle les a elle même détruis... Tous ce qu'elle veut maintenant c'est rencontrer des gens à aimer. Elle savait qu'elle était pitoyable mais c'était elle. POurquoi la changer? Un ami doit l'aimer comme elle est.
-Regrette tu leurs morts?
Elle s'arreta. Fixa le gouffre d'obscurité devant elle et secoua la tête sans répondre oralement. Non elle ne le regrettait pas. Seulement une en fait.
-Je vois tu te sentira éternellement coupable de ça.
Le souffle étrange se calma sur cette phrase qui semblait exaspérer par quelque chose qu'il n'aurait pas du entendre! Elle l'avait penser et la voie avait quand même été capable d'entendre. la panique la repris. Oui elle était peureuse, oui elle était malheureuse, oui elle regrettait son passé, mais que cela pouvait il faire à cette voie!?... Un vent fort s'engouffra alors dans la pièces plongé dans l'obscurité et les voies qui jusqu'à maintenant c'était tenue éloigné s'approchèrent. Auparavant elles étaient indistincte mais maintenant elle entendait ses soit disant amis, sa famille... Elle en souffrait. Comment être heureux. le vent produit par les voies s'intensifia et elle se mit à pleurer et a se recroqueviller sur le sol. Tout a coup tout s'arrêta... |
| | | ¤Fantome des courants¤
Nombre de messages : 592 Localisation : ~*~ Entre deux eaux... ~*~ Métier/Fonction : ~*~ Fantome des courants... ~*~
| Sujet: Re: Pampelune Sam 29 Mai 2010, 19:11 | |
| L'entrée dans notre antre ne se fait jamais sans dommage. Nos visiteurs ne devraient pas entrer avec tant de désinvolture et comme des harpies jalouses de leur territoire, nous le leur faisons comprendre. Nous sommes des oiseaux cruels qui s'acharnent sur leur victime et nous sommes toutes les douleurs du monde. Toutes les peines que cet homme a créées. Comme les autres, je me jette sur lui, le bec en avant, ma voix plus accusatrice que la plus outragée des victimes. J'ai la même voix qu'une femme trompée, la même intonation qu'un ami qu'on a volé, les mêmes inflexions que celles d'un enfant à qui on a promis la lune sans la lui donner. Et puis je hurle, de temps en temps. C'est l'expression pure de mon accusation. Nous aimons entendre tes réponses. Pas pour trouver des pardons. Simplement pour comprendre. Au fur et à mesure, nos cris se perdent, se font moins sûrs, hésitants, plus faibles. Une à une, on se tait, le noir se perce de ce silence alourdi par nos présences devenues lettres mortes. Les charognes sont rassasiées. Un peu confuse de notre comportement toujours si emporté, le repentir apportant une sorte de honte, je dépose un pieu baiser sur les lèvres de notre victime pardonnée. De mes lèvres tombe un objet qui émet à la rencontre du sol un tintement léger. Sur le sol, un carré de lumière se dessine. Nous sommes condamnées à toujours voir nos visiteurs disparaitre par cette bouche blanche. |
| | | *Humain*
Nombre de messages : 310 Localisation : Je ne sais pas ... Métier/Fonction : Dessinatrice de passage
| Sujet: Re: Pampelune Dim 30 Mai 2010, 16:37 | |
| Lorsque le silence ce fit elle rouvrit les yeux se redressa et remarqua la blancheur lumineuse de la l'ouverture qui se trouvait fasse à elle. Elle se releva d'un saut et se précipita dans cette nouvelle pièce. Là, elle eu la surprise en avançant de se retrouver dans un pièce au mur blanc. Elle avança de quelque pas et senti un courant d'air sur ses cheville. Lorsqu'elle baissa les yeux elle se rendit compte que ce n'était pas un courant d'air mais un courant d'eau à température ambiante. Il cachait quelque galets d'une blancheur immaculé. Cette pièce si lumineuse avait un côté rassurant... POurtant après deux salles qui avait mis sa douleur a jour, qui lui avait rappeler ce qu'elle était que lui reservai cette pièce? Au moment même ou elle le pensait un petit tourbillon vint stopper le rythme régulier du ruisseau. Elle s'en approcha doucement comme pour ne pas troubler le repos du cours d'eau. Lorsqu'elle vit ce qui apparaissait elle laissa échapper un gémissement. La photo de la mère et de son bébé réapparaissait.
[Une femme avec un regard égaré regardant un bébé dans un berceau. La cigarette à la main la jeune femme semblait pleurer. Son regard bleus azure était le même que celui du bébé qui regardais l'objectif de grands yeux ouvert. Il portait sur sa joue une coupure toute fraiche ce qui était étrange pour un si jeune enfants. ]
L'image fit un saut et l'image commença a évoluer. IElle était devenue un film. On y voyait la mère écraser sa cigarette dans un cendrier pousser un soupir.
-Qu'est ce que je vais faire de toi... Pas d'argent, pas d'homme, pas de maison et j'ai même pas pris le temps de te donner un nom...
La femme sursauta alors. Une porte venait de claquer et un homme entrait dans la pièce.
-Encore en train de boire.
Il pris la bouteille que tenait la femme.
-Lorena. Tu n'as pas honte! Tu as un bébé à charge et tu bois et fumes. Comment veux tu t'en sortir!?
Il s'approcha du berceau, regarda le bébé releva son regard vers la femme.
-Explique moi d'ou vient cette coupure?
Elle baissa les yeux, écrasa son mégots et se remis a pleurer.
-Je sais pas. Richard est passé récuperer ses affaires et a essayer de coucher avec moi. Je l'ai repousser et il est parti furieux. J'étais mal et j'ai bu... Lorsque j'ai repris conscience le lendemain, la petite était par terre dans les débris de bouteilles. Elle pleurait pas et me regardait avec un air accusateur. j'ai pas supporter, je suis parti me débarbouiller. Quand jsuis revenue elle avait cette coupure. J'ai paniqué. Je l'ai soigner et depuis je la touche plus. je lui donne juste son biberon.
L'homme la regardait les yeux écarquiller.
-Tu as abondonner ta fille pacque tu as peur d'elle! Je suis ton frère Lorena. je peux pas cautionner ça. Jvais l'emmener avec moi jusqu'a ce que tu aille mieux. Jveux pas d'une mère irresponsable, jveux pas que cette gosse ai une mère comme la notre.
Lorena sa mit a trembler violemment lorsque l'homme pris le bébé dans ses bras.
-T'a choisi un nom ou pas?
-Je... je sais pas...
Elle parcourut le pièce du regard et remarqua un mots sur un livre poser sur une mâle. Il racontait l'histoire d'une princesse du nom de..
-Pampelune.
L'homme ramassait les affaires du bébé et lorsqu'il entendit se nom il se retourna. Son regard s''était adoucit.
-Soeurette, tu as toujours voulut etre une princesse... Lorsque tu ira mieux je t'emmenerais dans les pays des rois et des reines d'antan avec ton bébé.
Il porta son regard sur le bébé qui était silencieux les yeux grand ouvert.
-Avec toi Pampelune Gwendalia.
La film se troubla et Pampelune se laissa tomber dans l'eau choquer. Son oncle paraissait si gentil... Elle savait que ce n'était que des promesse en l'air mais il avait l'air tellement bien dans cette vision. Sa mère était morte quelque moi plus tard sans avoir put revoir sa fille. Son frère avait refuser toute visite. Lorena était morte un soir après avoir trop but. Son oncle l'avait adopter quelque temps plus tard. Il buvait lui aussi et se droguait mais au moins elle avait un foyer. C'est ce qu'avait penser les grand parents de la jeune fille. Pampelune n'avait jamais rencontrer son père, ni sa famille du côté de celui ci, elle doutait même qu'ils soient au courant de son existance. Son oncle avait commencer à la battre après la mort de sa femme en couche. Elle avait alors 4 ans. Les coups n'était pas très fort à l'époque et était suffisamment espacer pour que les bleus soit pris pour ceux dû à une chute. Elle se mit a pleurer toute seule dans le petit ruisseau. Elle voulait une famille qui l'aime... Un second tourbillon apparut à quelques mètres d'elle. Elle avança a quatre pattes.
Un jeune homme, pouvant etre qualifier de mignon, se tenait assi au bord d'une table en bois. Il regardais en rigolant la jolie Pampelune qui essayait de sortir d'un drap. Elle était empêtrer et gesticulait afin de s'extraire mais faisait plutôt office de théâtre. Le jeune homme se leva et la sorti en moins de temps qu'il faut pour le dire de son piège. Elle fit semblant d'être vexer et le jeune homme l'attrapa par la taille et lui fit un câlin avant de l'embrasser passionnément. Elle lui sourit lorsqu'elle en ressorit tout essoufler. Ils prirent ensuite des long manteau rouge et sortir en se tenant par la mains sous la pluie battante. Ils empruntèrent plusieurs ruelles étroites et débouchèrent sur la mer. Là ils s'assirent. le film se mis a accélérer. Les paroles devinrent inaudible et finir par s'arrêter lorsque la jeune fille se mettait debout et se précipitait jusque dans les bras d'une jeune fille blonde. Après il se dirigèrent tout les droit vers la falaise. Elles dirent en revoir à Alexandre, le garçon. L'une par une simple accolade l'autre par un énorme baiser. Elles s'éloignèrent et tout un coup entendirent un cris. Elle se retournèrent et virent Alexandre tomber de la falaise et s'éclater contre les rocher plus bas.
L'image se floutta alors et se qui se passe par la suite déroule en accélérer. Illisible. Toute la scène avait parut irréel à Pampelune. Elle l'avait vécut et ressenti de multiple sentiments dont elle se souvenait parfaitement et en avait rêver tellement de fois. La revoir sans en être elle même, mais une simple spectatrice lui semblait trop irréel. Elle se tenait responsable de ce qui s'était passé. Il n'y avait pas de raison particulière à ça mais la culpabilité l'habitait depuis se jour là. Tout a coup le déroulement en accélérer s'arrêta sur une autres scène qui s'était dérouler deux jours plus tard.
On voyait son oncle, mal raser, une bière à la mains en train de la pointé du doigt. Ni son, ni couleur, juste un doigt accusateur. Il l'engueulait, prenait un sac en jutte et la frappait. Elle était prostrée par terre et essayait de se protégeait tan bien que mal. Lui, assommé par l'alcool, faillit alors basculer en arrière à cause de son manque d'équilibre. Elle se remit pendant se temps debout, récupéra le sac. Elle se mis à le frapper de plus en plus fort pour évacuer la rage qu'elle avait en elle. Lorsqu'il réussit un reprendre le dessus il la fit reculer jusqu'à la porte. Pris une bouteille casser par terre et la la menaça avec. Il finit par bondir et lui trassa une longue estafilade de l'apaule jusqu'à la hanche. Elle hurla, sauta sur lui, lui arracha la tesson et le frappa en pleins cœur.
Le film se trombla de nouveau mais cette fois disparut. L'oncle s'était enfui tout de suite après et la blessure n'était que superficiel. Elle avait été placé dans une famille d'acceuille gentille, ses voisins .Elle avait mis trois mois a se remettre des dommage physique. A 17 ans elle était toujours sous le choc de la mort de son petit ami et de la violence de son oncle envers elle. POur ces 17 ans elle avait eu le droit de se faire tatouer par un homme de renommer. Au moment ou elle y pensait l'eau se troubla de nouveau et au milieu du tourbillon apparut Pampelune assise sur un banc au côté de sa mère adoptive.
Elle était en train de dessiner son futur tatouage sur l'arrière d'une feuille. Lorsqu'elle eu finit sa voisine lui demanda si elle était sur de vouloir un si grand tatouage. La jeune fille lui exposa son point de vue. Elles en parlaient depuis pas mal de temps et la femme avait accepter car cette jeune fille savait ce qu'elle voulait malgré les chocs qu'elle avaient subit.
On voyait ensuite les deux demoiselles se rendre chez le tatoueurs, un l'homme chevelu, qui accepta la demander et commença la tatouage dès qu'elles furent installer. Le film s'accelera alors mais à vitesse suffisamment lente pour que l'on puisse voir se qui se passait. Pampelune put alors voir à quel point l'homme avait mis du temps et tout son talent afin de lui faire l'œuvre qu'elle avait elle même créer. Elle en était fière.
Le tourbillon se troubla et elle put détacher son regard de l'image. Après cette séquence elle se sentait calme et détendu. Sa voisine avait déménager depuis cette époque, et depuis elle vivait seule dans la maison de son oncle. Elle était entré dans chez un maitre d'art de la capitale Est de Lan Rei afin d'en apprendre davantage sur toutes les techniques. Maintenant elle cherchait quelqu'un qu'elle pourrait aimer et chérir sans qu'elle souffre. Un ami. Un amoureux. Une famille. Son plus grand rêves était de voyager en compagnie de personne qu'elle aime.
Dernière édition par Pampelune le Lun 31 Mai 2010, 23:13, édité 2 fois |
| | | ¤Fantome des courants¤
Nombre de messages : 592 Localisation : ~*~ Entre deux eaux... ~*~ Métier/Fonction : ~*~ Fantome des courants... ~*~
| Sujet: Re: Pampelune Mer 02 Juin 2010, 19:57 | |
| Voir ces gens revivre leur passé, se souvenir, regretter, vouloir oublier... C'était mon opium. Pire qu'un vampire attendant du sang nouveau, pire qu'un junkie réclamant sa dose. Il me fallait des vies à défleurer, des souvenirs, des enfances malheureuses, des amours contrariés, des proches morts, des combats, des réussites et des échecs. Je m'en contentais, faute de n'avoir une vie qui me soit propre. Je vivais par procuration, j'essayais d'imaginer la douleur ou le bonheur. Des termes tellement lointains pour le passeur que je suis. Celle-ci avait une flopée de souvenirs a montrer comme tous les autres. Cette pointe de jalousie me taraudait tandis que je revivais avec elle ces sombres tranches de vie. Je savourais ses moments de vie romanesques, mais j'appréciais encore plus de contempler ce visage étrange tiraillé par divers sentiments. Lorsque tout s'apaisa et que la jeune femme décida de se laisser aller dans le flot de ses souvenirs, je déclenchais la fin, un peu a regrets, comme à chaque Nouveau Départ.
Apparaissant dans une serrure inexistante jusque là, sur le mur, une petite clé blanche apparut. Ma main invisible s'occupe de la tourner. C'est comme avoir placer son coeur de glace au dessus d'une flamme. Je suis satisfait. Une ouverture apparait et toute l'eau s'y deverse, entrainant la jeune louve... (C'est fini tu peux commencer le rp. ^^ Bienvenue bienvenue! Le sujet "Qui cherche trouve" dans l'Espace membres/admins est là pour les demandes de rp, tu peux aussi envoyer un mp. ^^
P:S: Ton avatar est plutot petit, tu l'as bien lier à partir d'un autre site? ^^ ) |
| | | ~¤Chimère¤~
Nombre de messages : 1074 Localisation : Quelque part, entre Ciel et Terre Métier/Fonction : chercheur d'Or / Conteuse / MJ du jeu Assassin ^^^
| Sujet: Re: Pampelune Jeu 03 Juin 2010, 05:06 | |
| Hi hi ^^^ bienvenue à toi, Pamprelune ^^^
(et cette fois, j'ai l'impression que ton avatar est trop grad XD)
Hâte de Rp avec ton perso ^^^ PS : sympa le nom ! |
| | | ¤Admin¤
Nombre de messages : 10629 Localisation : ¤ Là où la mer et le ciel se rejoignent, sur l'horizon, là où le Rêve existe encore ¤ Métier/Fonction : ~¤Maître du Jeu¤~ / ~*Conteuse*~
| Sujet: Re: Pampelune Jeu 03 Juin 2010, 12:24 | |
| Non non, la taille est bonne, c'est pile les dimensions maximales autorisées ^^ Soit la Bienvenue parmi nous, amuse toi, profite, et n'hesite pas à "t'incruster" partout |
| | | | Sujet: Re: Pampelune | |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|