"Homme libre, toujours tu chériras la mer !" "La mer enseigne aux marins des rêves que les ports assassinent." "La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit." "Il est des moments où les rêves les plus fous semblent réalisables à condition d'oser les tenter." "Le voyage est une suite de disparitions irréparables." "Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil." "Dieu nous rêve. S'il s'éveille, nous disparaissons à jamais." "Nous trouverons un chemin... ou nous en créerons un." "Le rêve de l'homme est semblable aux illusions de la mer." "Il n’est pas de vent favorable, pour celui qui ne sait pas où il va…" "Il y a trois sortes d'hommes : les Vivants, les Morts, et ceux qui vont sur la Mer." |
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| Auteur | Message |
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Invité
| Sujet: kairfur Ven 17 Sep 2010, 19:27 | |
| Toujours le même rêve, toujours le même cauchemar, voir ma bien aimée allongée sur le planche, le corps déchiqueté par mes propre crocs. Ce corps, recouvert de sang, se sang si rouge si beau, mais si présent dans ma mémoire…
Si présent dans cette salle où je me réveille, mon corps tout entier ressenti un frisson. La salle toute entière était faite de rouge, ce rouge vermillon si proche de celui du sang humain, dont j’ai si souvent eu l’occasion de voir,… de faire coulez… Mais ce n’est pas tout des cadres sont aussi accroche, mes yeux mette du temps à s’habituer mais je distingue une silhouette qui mais familière, je l’est déjà vu c’est sur.
Mee oui c’est moi, je n’en reviens pas je suis en photo sur tous les murs de la pièce. A des moments différents de ma vie, de mon ancienne vie …. Je dois avouez que je ne suis pas souriant sur la plupart d’entre elles, mais comment pouraige l’être ?
Je me lève puis je constate que un cadre, un miroir plus précisément est dispose sur le mur devant moi. Es vraiment moi ? Je le pense, tout se que je me rappelle de moi y est. Ma taille, proche des 2 m, ma carrure assez imposante, les longues journées à courir dans la foret pour fuir y sont pour quelque chose. Mon tors assez muscle je dois dire, ainsi que mes bras et me jambes, tout me ressemble. Mon visage, avec ma barbe de plusieurs jours. me long cheveux noir qui descend sur mon dos.Je tâte alors le bas de mon dos, elle y est… cette cicatrice, cette morsure fait il y a des années mais qui m’aura value cette existence que l’on pourrait qualifier de terrible, ou d’amusante celons sont point de vu.
Je ne suis habille que d’un short, déchirée comme d’habitude après mes maintes transformations. Je pivote un peux sur moi-même afin de regarde plus en détaille ces photos. Sur la plupart je ne suis pas moi-même, enfin je veux dire je ne suis pas dans l’apparence que je suis à présent. Sur certaine on peut encore voir ma gueule pleine du sang des personnes dont j’ai haute la vie. Sur d’autre on peu me voir courir a travers champs, poursuivie par les villageois avec leurs fourches et leurs torches… Mon regard revins sur le miroir, j’examine alors ma dentition, mes crocs sont toujours la, pourquoi ne serais t »il plus la d’ailleurs ?
J’approche ma main du miroir, puis la pause dessue. Aussitôt le contact froid de la matière me fit comme sursaute, la matière avait l’air vivante et on n’aurai dit qu’elle ne voulait qu’une chose…
Me dévoré….
edit: quelque modification apporte. |
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| Sujet: Re: kairfur Sam 25 Sep 2010, 17:38 | |
| Ces créatures sont toutes les mêmes. Rien que des bêtes ignorantes et prétentieuses. Certaines prennent une apparence qu'elles espèrent noble, d'autres se montrent sous leur jour animal. Je ne sais si c'est un choix, une sorte de franchise, ou s'il le font par dépit. C'est peut-être une punition divine, de ne pouvoir se masquer. Je ne sais pas si j'ai un peu de sympathie pour ce démon, qui possède le physique de ce qu'il est réellement. Il me répugne. Ecoeuré par nos images jumelles, je me recule, mais ses yeux ne discernent pas ce mouvement. Les miens, luisants sur son reflet, écarquillés, observent cette pauvre chose. Du fond du coeur, je la plains. Et je la maudis. Les vivants se trouvent toujours malheureux, ils ont mal, ils ont froid, ils voudraient toujours devenir un esprit pur. Mais ils sont vivants, ils ont un corps, ils voyagent. Cette enveloppe est peut-être une prison, mais ils peuvent la déplacer, la modeler, s'en servir. Moi je reste prisonnier et je les envie, au fond. La clé sanglante apparait enfin dans ma main. Mes yeux s'aggrandissent et la folie rit sur les lèvres que je lui ai empruntées. Maintenant qu'il s'est accepté, je peux enfin détruire cette enveloppe charnelle. Je saisis la clé comme un poignard que je tiendrais à deux mains, la lame tournée vers ma poitrine de démon. Et je me martèle de coups. La clé s'enfonce pour créer des plaies, des serrures. Mes gestes sont rapides, mon visage fou. Je jubile. J'espère qu'il ne manque rien de la scène. Son reflet est son assassin. Je le libère. Soudain, percé de toute part, je m'arrête. Je tourne la clé vers lui, elle est levée au dessus de ma tête. Je l'abats comme pour le clouer à son tour. Mon bras n'atteint que la glace que je viens de tuer. Nous nous écroulons dans des éclats de verre, il peut fuir par le passage noir.(horriblement désolé pour le retard ) |
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