Evelyn

Invité

Evelyn s'était endormi dans cette même obscurité qui l'enveloppait tant le jour que la nuit. Ce ne fut pas son chien ou le chant des oiseaux qui l'extirpa de ses rêves, mais plutôt le battement de son cœur. Il résonnait. À vrai dire, il se débattait. On aurait pu le confondre à un solo de batterie. Elle était bouillante, le sang qui courrait dans ses veines avait réchauffé son corps en entier. Sa respiration resta forte durant un court moment. Un cauchemar, pensa-t-elle. Une drôle de sensation continua pourtant de l'habiter. D'instinct, elle savait qu'il y avait qu'elle que chose d'anormal. L'ambiance de la pièce était différente. Elle était plus lourde qu'à son habitude. Se trouvait-elle toujours dans sa chambre, là où elle était certaine de s'être couchée? Son corps se parsema de frissons, lorsqu'elle n'entendit que les pulsations de son sang dans ses oreilles. Pourquoi, n'entendait-elle pas le souffle du vent cogner contre sa fenêtre et les craquements de la pièce? Puis, elle y a eu cette odeur agaçante. Elle était ferreuse, aussi bien qu'elle pût s'imaginer être entourée de sang. S'agissait-il du sien? Elle tâta son frêle corps, mais n'y sentit aucune zone humide.

Le silence de la pièce lui fit penser qu'il n'y avait plus de danger, s'il y en avait réellement eu un. Elle décida donc de se lever. C'était une jeune femme qui ne se démarquait pas par sa grandeur, mais plutôt par son raffinement et sa délicatesse. En effet, elle n'était ni petite et ni grande. Ce qui attirait l'attention des autres sur elle, s'était l'effet contrastant de sa chevelure rousse, de ses yeux d'un bleu fascinant, de sa peau si pâle et de ses magnifiques lèvres rosées. Après un tel spectacle, c’était difficile d'imaginer un seul défaut à cette créature. Elle finit par faire quelques pas. Ils étaient lents, quasi sensuels. La pointe de ses orteils frôlait le sol à chaque mouvement. Dans sa tête, elle comptait... Un, deux, trois.... finalement, avant d'atteindre se qui aurait dû être la porte de sa chambre, elle heurta un mur. Evelyn paralysa un moment. Où était-elle! La panique commença à l'envahir. Elle décida de ne pas sombrer dans la démence, mais de longer la pièce en gardant la moins droite bien appuyer sur ce même mur qui la gardait prisonnière, afin d'y trouver un issu. Ce qui fut en vain! Impossible, pensa-t-elle. Elle recula et fit un tour sur elle-même.

Bien qu'elle avait glissé les doigts sur plusieurs affiches et photos, elle ne s'y attarda pas. C'était encore plus désolant de constater qu'elle était indifférente à son reflet. Mais aurait-elle pu faire autrement? Cette aveugle, ou cette personne ayant une déficience de la vue ~~(pour les plus gentils)~~ n'avait jamais eu autant le goût de voir qu'aujourd'hui!

Terriblement Sexy... Ayant volé à ma visiteuse son apparence pour la revêtir, je me trouvais vraiment irrésistible. Evidemment, ça ne me servait pas à grand chose, je restais cloitré derrière mon miroir, à la singer, elle qui gachait le potentiel de ce fabuleux corps. Mais c'était d'un tel confort...! Je repensais à toutes ces fois où j'avais été contraint de me glisser dans le reflet d'une créature hideuse, un troll bedonnant, une humaine trop poilue... Yeurk! Alors là, forcement, je savoure!
Lorsqu'elle se tourne enfin vers moi, je le dévore des yeux. Visez moi ce regard! Certes, le mien n'a rien à lui envier, elle le constatera par elle même tout à l'heure...enfin, non, elle ne peut me voir. Mais pour une humaine, elle se défend bien! Si je n'étais pas un simple reflet, je me mettrais volontiers à roucouler de plaisir.

Lorsqu'elle se detourne de moi sans même m'avoir aperçu, j'en profite pour me mirer, je me tourne, contemple ma nouvelle paire de fesses, je fais la moue, teste divers expressions sur ce charmant minois. Je minaude, mes yeux verts et féminins ayant pris place dans cet appetissant tableau. Je lui fais un de ses plus beaux sourires, tout en sortant une lourde clef rouge d'une de mes poches. Je fais jouer l'objet sur mes lèvres, souriant toujours. Je n'ai pas envie de la laisser partir et de renoncer à mon nouveau corps de Vénus. Mais ai-je le choix? Comme pour la remercier d'avoir passé un si bon moment en sa compagnie, je lui fais un clin d'oeil malicieux me moquant qu'elle le voit ou non. Aussitôt, la clef se liquéfie, laissant une trace rouge sur ma bouche et mon menton. L'instant d'après, la pièce est entièrement plongée dans le noir, il n'y a plus rien, juste son âme, perdue.

Evelyn Clrougeno6

Invité

Déjà après quelques minutes, l'atmosphère changea et cette odeur agressante disparut. Toutefois, elle se sentait aussi seule et démunie. Cela lui semblait irréel. Comment un endroit pouvait-il être ainsi dépouillé?

Soudain, elle entendu des murmures. Elle s'arrêta de marcher et tenta de trouver d'où ils provenaient. Elle était persuadée qu'il y avait une autre personne avec elle. Toutefois, ces derniers semblaient venir de partout et de nulle part à la fois. Ces sons pratiquement inaudibles laissèrent peu à peu la place à des voix androgynes. Celles-ci étaient moins chaleureuses qu'elle l'aurait espéré. Elles semblaient parfois neutres, accusatrices et perplexes. Puis, celles-ci finirent par lui poser une question.

-Tu ne crains pas le Noir... Le Noir de cet endroit?

Incertaine, Evelyn hésita à répondre.

-Non... non pourquoi? Le devrais-je?

-Tout être humain normal, ils accentuèrent ce qualitatif, devrait craindre l'obscurité totale.

Elle ne répondit pas, ce fut comme un coup de couteau en plein cœur. Normal... Ce mot résonna dans sa tête. Combien de fois, avait-elle envié ces gens « normaux » qui pouvaient donner une forme à ce qui les entoure? À de nombreuses reprises, on l'avait plaint! Si tu voyais ces roses, elles sont magnifiques! Elle aurait tant aimé pouvoir contempler le soleil couchant qui semble si beau à regarder. Toutes les couleurs semblaient si belles! Pourquoi l'avait-on privé de cette capacité?

Durant toutes ces années, elle avait appris à camoufler cette défaillance. Aussi bien qu'elle en trompait plus d'un sur cet aspect de sa vie. Elle fonctionnait comme n'importe qui, elle était autonome! Elle allait au marché et travaillait. Être aveugle n'empêche pas de vivre! Elle était si sociale, si douce et si intentionnée que tout le monde tombait sous son charme. De plus, elle semblait assurée et confiante, personne n’aurait pu penser qu'elle était anormale. Puis après tout, elle ne voyait peut-être pas, mais son cerveau, lui, fonctionnait à cent à l'heure. À défaut d'une vue pratiquement inexistante, ces mains, son nez et ses oreilles étaient devenus des capteurs sensoriels indéniables. Son imagination, quant à elle, était sans limites, elle lui fabriquait un monde virtuel qui dépeignait sa réalité. Elle était la propre artiste de sa vie. Sa réflexion la mena à se questionner sur l'essence même de ce mot. Normale, normale,... qu'est-ce la normalité? Finit-elle par penser. Ce terme est tellement relatif et pourtant son antonyme est si blessant! Puis les voix s'incrustèrent dans son questionnement philosophique.

-Très bien,... les voix semblaient un peu maussades, passons maintenant aux choses sérieuses. Tu sais, tout comme nous, que tu n'es pas la gamine innocente que tu sembles être. Tu es une menteuse et une manipulatrice. Trop souvent tu as défiguré la réalité...

Ces deux dernières phrases jouaient en boucle et de plus en plus forte. Elles se faisaient harcelantes et intimidantes. Aussi bien qu'elle ne pût s'empêcher de crier.

-ARRÊTEZ, Arrêtez, je vous en supplie arrêtez...

Elle avait l'impression que son crâne allait se fendre tant elle sentait la pression de son sang montée à son cerveau. C'est vrai! Elle n'était pas qu'une romantique naïve. Evelyn était elle-même, en n’étant pas ce qu'elle est. Elle se jouait du monde. C'était une tacticienne née. Calculatrice et manipulatrice, tout ce qu'elle faisait était pensé préalablement. Peut-être en était-il question de sa survie. Non, c'était elle. C'était sa nature humaine. Elle se l'était avouée.

L'entrée dans notre antre ne se fait jamais sans dommage. Nos visiteurs ne devraient pas entrer avec tant de désinvolture et comme des harpies jalouses de leur territoire, nous le leur faisons comprendre. Nous sommes des oiseaux cruels qui s'acharnent sur leur victime et nous sommes toutes les douleurs du monde. Toutes les peines que cette humaine a créé. Il y en a tant. Je la haïs. Comme les autres, je me jette sur elle, le bec en avant, ma voix plus accusatrice que la plus outragée des victimes. J'ai la même voix qu'une femme trompée, la même intonation qu'un ami à qui on a volé, les mêmes inflexions que celles d'un enfant à qui on a promis la lune sans la lui donner. Et puis je hurle, de temps en temps. C'est l'expression pure de mon accusation. Toi qui te tiens au milieu de notre cercle, pourquoi as-tu abandonné? Nous aimerions entendre tes réponses mais tu n'articules que quelques phrases sans goût. Nous ne sommes pas là pour trouver le pardon. Simplement pour comprendre. Trouver la vérité. Au fur et à mesure, nos cris se perdent, se font moins sûrs, hésitants, plus faibles. Une à une, on se tait, le noir se perce de ce silence alourdi par nos présences devenues lettres mortes. Les charognes sont rassasiées. Un peu confuse de notre comportement toujours si emporté, le repentir apportant une sorte de honte, je viens mordre la peau de notre victime, une dernière fois. De mes dents tombe un objet qui émet à la rencontre du sol un tintement léger. Par terre, un carré de lumière se dessine. Nous sommes condamnées à toujours voir nos visiteurs disparaitre par cette bouche blanche.

Evelyn Clnoireyv6

Invité

Il y avait maintenant de l'eau à ses pieds. Elle en était certaine. Celle-ci se confondait en vent, mais le bruit de la collision des petites vagues contre le mur ne laissait aucun doute dans son esprit. C'était tout léger et réconfortant. Au sol, elle pouvait sentir la douceur des petites roches lisses. Toutefois, cette sérénité laissa sa place à un sentiment de rancoeur.

Ces tendres caresses tièdes, lui rappelèrent celles qu'elle n'avait jamais eu. Ses parents, faisant partie de cette classe dont on ne pouvait pas se permettre d'avoir un pli mal placé, n'avaient rien à faire d'une petite inachevée de la nature. En fait, pourquoi s'encombreraient-ils d'une telle responsabilité? Selon eux, un échec humain.... C'est avec ce genre d'arrière pensé qu'ils allèrent l'abandonner dans un pensionnat. C'était un dépotoir où on y laissait les jeunes que personne ne voulait. Certains étaient handicapés et d'autres avaient des troubles de personnalités. Aujourd'hui, on dirait qu'ils souffraient de bipolarité, d'autisme, de schizophrénie, de troubles envahissants du comportement, du symptôme de la tourette, d'hyperactivité, etc. Ce n'était pas si mauvais en soi. Elle y avait été bien traitée. De plus, côtoyé ces personnes, qui n'étaient en fait pas si différentes d'elle, lui apporta énormément de compassion et de sensibilité. Son altruisme et sa sociabilité se développèrent particulièrement très vite. Toutefois, cela n'égalerait jamais ce qu'elle aurait espéré ressentir auprès d'une mère aimante. Ce sentiment de fierté et d'amour lui était encore inconnu. Vivre en ce lieu n'était pas si pire que cela pouvait le laisser croire. Les tuteurs, bien que trop surchargés par le nombre d'enfants veillaient à ce qu'ils ne manquent de rien. Toutefois, pour les remercier de combler leurs besoins primaires, ils attribuèrent des tâches à chacun des résidents. Evelyn devait veiller au jardin, qui était déjà dans un piteux état. L'herbe y était si sèche, qu'elle lui blessait les pieds. La douleur de l'ortie était si intense qu'elle marquait d'un rouge violacé sa peau. Évidemment, ce fut long avant qu'elle obtienne quoi que ce soit de cette cour arrière. Bien qu'elle n'y voyait rien, elle avait fini par faire refléter son havre intérieur. De magnifiques roses immenses s'y étaient développées, et ce, s'était sans y compter les dizaines de variétés de pivoines, d'hostas, d'hémérocalles et de graminées. Elle n'avait que fait revivre la faune déjà présente et oublié. Elle en prenait tant soin, que la terre n'aurait pu la remercier autrement.

Une fois la majorité atteinte, elle décida de quitter cette « maison ». À cet âge, on se sent si invincible! Elle se rappelait qu'à ce moment le monde aurait pu lui appartenir. Elle s'était sentie si libre. Mais cette liberté s’était vite transformée en cauchemar. Rapidement, elle constata que la société n'était pas faite pour les minorités. Le simple fait d’essayer de se trouver un logement pour la nuit était une tâche ardue. À de nombres repris, elle avait du mentir et voler pour survivre. Mais le véritable supplice était de supporter le silence des gens, lorsqu'ils comprenaient son invalidité. C'est pourquoi elle décida de revenir là où sa vie avait commencé. Évidemment elle n'était plus pensionnaire, mais employée. Elle s'occupa toujours du jardin, faisait les courses et s'occupait des gamins. Sa vie n'était en rien glorifiante, voire intéressante et enviable.

Un jour, une troupe d'artistes méconnue alla au village. À ce même moment, Evelyn Rose descendait le sentier pour aller chercher de nouveaux draps. Ce chemin, elle l'avait fait des dizaines de fois. Il n’avait pour elle aucun secret. À l’affût des moindres sons, elle évitait les gens qui faisaient la même route. Évidemment, devant sa beauté plusieurs tournèrent leur regard, mais elle en semblait nullement dérangée. D'autres femmes qui assistaient à la scène auraient pu être gênées ou choquées. Seuls les commentaires et les sifflements pouvaient faire réagir la belle. Plus elle s'approchait du village et plus l'ambiance était à la fête. Il y avait de la musique et beaucoup de personnes. La foule s'attroupait et ce déplacé était devenu très difficile. Evelyn se fit bousculée un peu et elle accrocha au passage plusieurs personnes. Sur la scène les hommes la remarquèrent rapidement. L'un d'eux alla la rejoindre et les musiciens cessèrent de jouer. Ce même homme prit la parole. Elle se souvint qu'il l'invita à danser. Evelyn embarrassée rougit. Soudain, la musique recommença. Cet air, elle la connaissait bien. Avant qu'il ne l’entraîne dans une cadence folle, elle lui confia qu'elle ne savait pas danser. Toutefois, qu'elle chanterait pour se faire pardonner. Elle ne laissa aucune chance à l'air endiablée qu'elle mena d'une voix juste. Aucun habitant ne pouvait résister à plier les genoux ou à se dandiner. C'est avec cette prestation qu'elle rejoint ce groupe d'artistes.

Après avoir repassé ses moments de sa vie, plus rien ne défila dans sa tête. Elle en était rendue là et attendait son destin.

Raconte-Nous une histoire!

Raconte-Nous ton histoire...

Celle qui t'a égratignée. Celle qui t'a poussée.
Celle qui t'a détruit puis reconstruit.
Celle qui t'a porté. D'abord une mère, puis les genoux et les mains. Et les pieds, après tout ça.

Comment survivre à cette déchirure narcissique? Tu n'es pas Nous. Tu n'es pas le monde. Tu vis à Nos dépends.
Nous sommes la pluie, le vent. Tu n'es qu'une pauvre tomate dans Notre potager. Et si Nous le décidons, tout peut s'arrêter.

Et après? Et après... Dis-Nous! Tu n'es qu'un parmi des milliers, qu'avons-Nous loupé? A la surface toutes ces plaies, et leurs pansements. Certains peuvent s'écarter, encore, d'autres semblent cicatrisés. Une blessure peut-être réellement cesser de saigner? Nous la grattons, pour voir... Parfois l'écho laissé à l'intérieur est si grand que Nous sommes capables de Nous y engouffrer tout entier.

C'est ainsi que Nous comprenons qui tu es. Les lignes primaires sont fragiles, mais ensuite tout est sutures, soudures, un bricolage de sentiments entremêlés pour mieux ficeler la carcasse. Un chef d'oeuvre abstrait que seul l'auteur n'essaye pas d'interpréter... Alors, tu es libre. Prends la clef, éteins la lumière. C'était une belle histoire...

Evelyn Clblancheyq8

( Bienvenue à toi!

Tu peux enfin commencer à RPs !
Pour faire tes demandes tu as le topic
Qui cherche trouve... ou tu peux directement faire une demande via MP à la personne de ton choix. ^^

Ensuite tu as la toute nouvelle section
Les Miroirs où dès que tu auras commencé un peu, tu devras aller demander un espace unique pour ton perso (avec des liens pour tes RPs, tes relations, son journal intime, ect... tu trouveras toutes les explications là bas ^^).

Et bien sur tu peux Flooder dans le Flood! ^^

Bon jeu !

Et bien je te souhaite officiellement la bienvenue sur l'Archipel Evelyn Smile

Je viens d'ajouter ton logo et de te mettre dans le groupe des Hommes.

Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à nous demander, on se fera un plaisir de t'aider, que ce soit le Staff ou les membres!

J'espère que tu te plairas ici,
Bon Jeu!

=Aïkologue= Nombre de messages : 2039

Bienvenue Maman!

Je pensais pas te voir un jour ici, jvais avoir du mal à m'y faire... Surtout fouille pas trop dans le flood =)

Ah et si jamais tu fouilles quand même, si tu vois des messages un peu déplacés, c'est pas moi en fait. C'est Ether qui édite mes posts.

Voilà. Bisous.

Invité

Arhid Gramar -» Merci d'avoir répondu rapidement et de m'avoir guidé, ça été très apprécié.

Ether-» Merci, je n'y manquerai pas

Rana-» Merci! Mais maman -_^-? je ne savais pas que j'avais une fille...

Comme c'est plaisant de voir tant de nouveaux... Bienvenue Evelyn sur ce fabuleux fofo \o/ J'espère que tu y trouvera ton compte, je te souhait un bon jeu !

Invité

Et bien, les nouveaux se bousculent au portillon. Je me demande ce qu'Ether vous a promis...^^

Soit la bienvenue parmi nous et amuse toi bien Wink

Ps: très joli avatar Smile

Invité

Merci Balsa et Dante

-» Dante: Pourquoi? Généralement, il y a une récompense??? Pour se qui est de l'avatar, j'ai longtemps hésité, mais je crois avoir fait le bon choix.

*Succube* Nombre de messages : 397

J'aime beaucoup ton personnage. J'ai lu vite fait mais tu narres très bien l'handicap de ton protagoniste. Je suis époustouflée.
ET puis les pensées qui vont avec sont si naturelles. Poétiques et philosophiques. Non vraiment j'aime beaucoup!!
Chapeau!

~¤ Chaton ¤~ Nombre de messages : 2814

Bienvenue ici ! Very Happy

Et après avoir parcouru rapidement, moi aussi (mais très rapidement, avouons le ^^) vrai que ton personnage promet d'être sacrément intéressant à jouer ! Wink

Amuse toi bien ici en tout cas héhé, tu vas avoir de quoi, normalement ! Very Happy

Bienvenue !

(Pour info, si Rana t'appelles "Maman" c'est parceque tu as le même prénom que la sienne xD )

Bon jeu sur l'Archipel Wink

Bienvenue bienvenue ^^

C'est vrai qu'il y a de plus en plus de nouveaux ^^

Amuse-toi bien Wink