Aïklando
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"Homme libre, toujours tu chériras la mer !"
"La mer enseigne aux marins des rêves que les ports assassinent."
"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit."
"Il est des moments où les rêves les plus fous semblent réalisables à condition d'oser les tenter."
"Le voyage est une suite de disparitions irréparables."
"Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil."
"Dieu nous rêve. S'il s'éveille, nous disparaissons à jamais."
"Nous trouverons un chemin... ou nous en créerons un."
"Le rêve de l'homme est semblable aux illusions de la mer."
"Il n’est pas de vent favorable, pour celui qui ne sait pas où il va…"
"Il y a trois sortes d'hommes : les Vivants, les Morts, et ceux qui vont sur la Mer."
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Aelix Sith
*Démon*

Aelix Sith

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Localisation : vers une nouvelle aube, quelque part au delà des apparences
Métier/Fonction : pianiste démoniaque

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MessageSujet: Journal   Journal EmptyMar 08 Mai 2012, 02:16

Voyons, encore toi ? Faut il que je te raconte mon histoire, pour me débarrasser de ta présence ? Eh bien, allons y. Tout est là, je t'en prie, fouille. Et disparais.



    ♦ Au chat en boîte

Karot
Ayant envie de jouer, j'ai déclenché, avec l'aide d'une de mes serveuses, une bagarre de taverne qui a assez mal tourné. Voyant que mon mobilier, relativement neuf, risquait d'en payer le prix, j'ai demandé à un voyageur remarquablement calme de m'aider. L'affaire a, grâce à son étrange force, été réglée très rapidement. Malheureusement pour lui, mon personnel a rapidement compris sa nature, et l'une de mes serveuses a été chercher la garde, les lycans étant très peu appréciés en ville depuis quelques temps...
J'aurais pu simplement les laisser emmener celui qui m'avait aidé à régler mon problème. ça ne m'aurait pas vraiment posé de cas de conscience. Mais voilà. Ces gardes, ces humains, étaient particulièrement agaçant. Alors, je les ai suivi, alors qu'ils emmenaient Karot vers la caserne, leur nid d'idiots mal embouchés.
Je leur ai parlé, et j'ai même poussé ma générosité jusqu'à leur offrir une chance de survie.
Ils n'en ont pas voulu.
Et longue nuit de chasse a commencé pour le loup garou et moi.


    ♦ un tout petit voleur

Zeviehl
L'atmosphère de la taverne me pesait.
Enfin, plus exactement, l'absence de liberté me pesait.
Ça ne faisait pas longtemps que je tenais la maison, mais il devenait de plus en plus urgent de changer d'air. De chasser quelque chose de plus consistant que des énergies d'hommes avinés et oublieux.
C'est pour cela que j'ai décidé d'aller me promener. Dans les collines.
Je ne sais pas exactement ce que j'imaginais faire. Tuer, profiter, simplement explorer ? Qu'importe, le destin a décidé pour moi : ce soir là, j'ai fait deux rencontres importantes.
Un chat, d'abord, un idiot de chat qui m'a honteusement volé une brioche, avec lequel j'ai pu partager jeu et défis.
Un homme, ensuite. Un homme séduisant, bien que moins enchanteur qu'Aelix. Un homme a l'odeur dangereuse, chaotique.
J'aurais aimé rester bavarder avec les deux, mais la forêt et ses créatures étranges en décidèrent, là encore, autrement.
Un chaours nous pris en chasse, jusqu'aux premières ondulations des collines d'or, où nous pûmes enfin le mettre à mort. C'est là que je découvrit la véritable nature de cet homme, Zevielh. De ce vampire.
S'en suivit une longue conversation où j'ai, je crois, tenté de comprendre la tempête de ses émotions de jeune créature chaotique. Nous nous sommes ensuite quittés, sur la promesse de se retrouver plus  tard, à Reilor.



    ♦ En route pour une nouvelle vie !

♣ Jordane
Après avoir laissé Zeviehl filer en direction de la mer, avec la promesse de proches retrouvailles, je me suis allongée, simplement, au milieu des hautes herbes qui nimbent d'or la base des monts d'El. Je comptais me reposer enfin, profiter du lever de soleil et du calme, me promener un peu, explorer les environs tout en rentrant en ville... Et puis je l'ai trouvée. Une petite gamine, qui ne savait même pas qu'elle était... et bien, une "elle". Amusant, non ? Toujours est il que, sur les incitations d'Ael, j'ai pris la demoiselle sous mon aile. Enfin, je l'ai menacée, lui ai bandé les pieds en résistant tout juste à l'envie de mettre des plantes urticantes dedans, et je l'ai forcée à marcher malgré ses blessures et sa fatigue. Je pense que j'aurais tout aussi bien pu la laisser errer dans les collines, au fond. Mais voilà, je me sentais... "Gentille". Ahah. Allons, soyons sérieux. Disons... Plus magnanime que d'accoutumée. Alors, je l'ai prise avec moi, j'ai mis en déroute ses poursuivants, et je l'ai entraînée à Reilor.
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