Aymas se réveille, il se réveille doucement... Il entend son cœur, son cœur qui bat, qui bat si fort, si fort qu'il emplit son esprit... Cela pourrait rendre fou n'importe qui mais il résiste. Il commence à ouvrir les yeux, doucement, calmement...

*Qu'est ce que... Ou suis-je ? Mais comment je suis arrivé ici ?*

Il n'en croyait pas ses yeux, il était troublé mais restait calme. Quoi qu'il arrive il restait toujours calme. Inutile de paniquer, cela ne sert à rien. Il restait calme mais cachait son énervement, une légère colère... Il ne comprenait pas, il ne savait pas qui avait bien put l'amener ici, car il y avait vraiment un Qui.

*Reste calme, reste calme... Il y a bien une raison...*

Ce qu'il avait devant les yeux était peu commun. C'était une salle fermée, totalement close et sans aucune porte. Vraiment étrange... Après le mépris, la colère, l'énervement du à la découverte de son enfermement, un léger amusement apparut en lui. Les mystères sont un régale à résoudre. On ne pouvait l'avoir emmuré vivant en une nuit, ni utilisé une quelconque téléportation... impossible.

Mais qu'elle est donc cette salle, ces murs tous de vermeils... Et ces photographies, ces photographie cachant presque les murs. Ces photographie qui représentaient... Qui le représentait lui ! Encore plus étranges... l observa le mur face à lui de bas en haut, Aymas enfant, adolescent, au présent enfin... Les trois autres murs de même. Mais quelque chose bougeait parmi les photographies. Encore lui, des miroirs, c'était lui dans des miroirs.

Sur le mur d'en face, il ne l'avait pas vu avant, il était apparut comme cela... Comme Aymas dans cet étrange pièce. Et dans ce miroir, il pouvait voir ses yeux gris cendrés barré d'une raie noir verticale qui l'observait. Autour de ses yeux, son visage félin mais masculin avec des mâchoires saillantes à l'air puissant. Son visage apparaissait sous une chevelure grise cendrée comme ses yeux, mis-court et coiffée en bataille. Deux pointes d'oreilles apparaissait dans cette chevelure. Pas des oreille pointues d'elfe mais de nature féline toutefois dénuée de poils.

Sa bouche entrouverte laissait entrevoir des crocs de canidés. En effet, C'était un nékothrope qui avait hérité plus des loups que des chats. Les ongles de ses mains étaient grâces à cela solides et pointus mais ce n'était pas des griffes.

Pour le reste de son corps, il mesurait en tout et pour tout un mètre soixante pour soixante kilogrammes, ce qui le rendait assez léger et légèrement plus petit que la moyenne des humains. Il était musclé mais quand même assez fin. Sa peau était assez mat sur tout le corps.

Oui, c'était bien lui qu'il regardait dans ce miroir, lui Aymas Ha'Sinss. Avec ses yeux au regard profond et scrutateur. Il détacha enfin son regard de lui même pour revoir les différentes photographies autour de lui avec des mouvements de tête précis et de mouvement réfléchis. Intrigante cette pièce...

Paisible reflet, j'observais ce felin au centre de mon royaume. Impassible et caché, je le regardais découvrir mon empire qui, pour un temps, lui était consacré. Il ne semblait pas si dérangé par ce qu'on lui avait volé: son apparence. Plutôt intrigué, troublé. Il tournait dans la pièce, fauve en cage. Et puis enfin, il me dévisagea, longuement, moi qui l'attendait froidement dans le miroir. Je gardais un temps son visage, ses mimiques, ses expressions, puis, avec un petit sourire, le reflet que j'étais se fit rebelle. Les yeux gris que je lui avais empruntés commencèrent à fondre, devenant mes prunelles sauvages et brûlés, celles d'un félin affamé. Sans attendre de savoir s'il me regarde, je plaquais mes mains contre la surface insensible de la glace. Aussitôt, mon côté du miroir commença à être envahi par l'eau. La montée était régulière: les chevilles, les genoux puis bientôt les hanches. Un vrai cauchemar pour le petit chat qu'il est. Sur le liquide, une clé d'un rouge blasphématoire flottait bien qu'elle sembla taillée dans un métal pesant. Mon torse fut noyé, puis mon menton. Je fermais les yeux avant de les rouvrir sous l'eau. Je prenais plaisir à imaginer la torture que ça devait être, de se voir noyer ainsi. Puis enfin, le miroir entier fut saturé d'eau. La clé se mit à couler, et plus elle s'enfonçait plus elle semblait se désagréger. Quand il ne resta rien de l'objet rouge, le miroir éclata, dispersant seulement quelques gouttes d'eau. Là où je me tenais l'instant d'avant, le passage noire attendait la venue de mon jumeau, le cadre du miroir devenant le seuil du passage.




[Bienvenue à toi, et bonne chance pour la suite de ton entrée!
Je n'ai rien à redire, mais si tu pouvais te trouver un avatar et également remplir la partie "Esquisse" dans ton profil, ça serait bien. Ce n'est pas urgent hein, pas de panique, mais disons que c'ets mieux si c'est fait avant que tu commences le rp, pour ta validation donc

Merci, et à très vite!]

L’eau remplissait petit à petit le miroir devant lui bien que cela aille tout de même assez vite. Un sentiment de dégout envahit soudain le nékothrope qui à cause de sa nature raciale appréciait peu se genre de situation. Il avait apprit de lui-même à se maitriser pour se sortir de situation de ce genre et ne pas paniquer comme il l’aurait fait sinon. Malgré cela, une eau apparaissant d’un coup comme cela de nulle part était angoissant. Mais il se rendit compte qu’il ne la sentait pas.

Le miroir se brisa tout à coup par la pression de l’eau de l’autre côté. Tout cela paraissait irréel tendit que les bout de verre s’envolaient avant de disparaitre sur eux même. L’eau elle-même parut jaillir mais le jeune homme ne sentit qu’une goutte de cette eau irréelle lui caresser le visage donnant une réalité tout à fait vraisemblable sur le phénomène.

Soudain touché par tout cela, tendit qu’il ressentait chaque chose dans la pièce, Aymas ressentit un manque. Il lui manquait quelque chose, quelque chose dont il était proche. Quelque chose dont il s’était habitué à la présence presque familière et très amicale. Peut-être la seule chose ou plutôt la seule personne dont il avait confiance. Ce Qui était une fée, la fée qui l’accompagnait partout et avec qui il passait la plupart de son temps : Alisia !

"- Alisia ! Alisia ! Ou es-tu ? Alisia !"

Rien d’autre qu’un silence de mort pour seul réponse tendis qu'il cherchait du regard dans la première salle. La compagnie de son amie commençait à lui manquer maintenant qu’il s’en rendait compte. Il s’en voulait de ne pas avoir pensé à elle plutôt. Mais comme c’était lui qui faisait les bêtises, elle était comme un ange gardien pour lui. Sûrement les avait-on séparés lorsqu’on les avait mis ici. Mais il espérait qu’il ne lui était rien arrivé…

A la place du miroir se tenait désormais devant Aymas un trou un peu plus grand que lui-même d’une profondeur insondable de par l’ombre envahissante qui y régnait. Une issue ? Peut-être, ou un piège… Mais tout le reste de la salle dont le rouge en emplissait la surface commençait à réapparaitre tendit que les murs se débarrassaient des différentes photos et miroirs pour retrouver un aspect effrayant de sang séché. Cela n’impressionna pas le jeune homme qui n’y faisait guère attention car plutôt attiré par ce qui se passait devant lui.

Lorsque tout les débris eurent disparus, il n’y avait plus qu’un silence de mort. Comme si l’antre devant lui absorbait sons et lumière, Aymas n’entendait ni ne voyait quoi que ce soit de l’autre côté. S’il y avait un moyen de sortir, ce devait forcément être par la. De toute façon quelque chose d’inexplicablement attirant l’assaillait comme souhaitant fortement qu’il entre là-dedans mais Aymas n’obéissait qu’a lui-même quoi que soit l’entité qui donne les ordres.

Le nékothrope fit un pas à travers l’ouverture sans ressentir quoi que ce soit de spécial. Il entra totalement dans l’antre vide et dénué d’apparence. Tout restait noir malgré la lumière inquiétante venant du passage sur la première salle. Il tendit ses bras en avant, il les voyait à peine. Mais tout à coup la lumières commença à disparaitre tendit qu’en s’en rendant compte le jeune homme se retournait en direction de l’entrée… Trop tard ! Il fit quelque pas vers le lieu ou aurait du se trouver au moins un mur mais rien… Rien non plus quelque soit la direction qu’il prenait. Il ne voyait désormais plus rien du tout d’autre qu’une vision noir et sombre envahissante comme s’il était aveugle. Un noir irréel.

C’est alors qu’Aymas entendit des voix, une, deux puis trois et quatre, une dizaine une centaine et enfin des milliers qui lui faisant des reproches ou des éloges… Qui n’étaient pas d’accord, ni féminines ni masculines et produisant un vacarme assourdissant de conversations houleuses sortant de nulle part et de toutes les directions à la fois. Comme si des esprits tournaient autour de lui. Le nékothrope tenait bon. Il était prêt à fléchir mais résistait malgré que cela pouvait rendre fou n’importe qui… Il était réellement au bord de la folie mais il se contrôlait.

"- Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? Arrêtez de parler tous en même temps… STOP !"

Les voix se turent d’un seul coup et toutes en même temps. Elles venaient de disparaitre laissant un bourdonnement étrange dans les oreilles du jeune homme. C’était sûrement préférable au silence assourdissant précédent. Puis un voix s’exclama, seule et monotone, sans l’ombre d’un sentiment quelconque et d’un calme inquiétant :

"- Je parlerais pour Tous. Nous sommes… les seules à pouvoir te faire sortir d’ici. Mais Nous sommes très curieux. Inutile de poser des questions elles seront vaines et sans réponses. Ne mens pas et tu sortiras… Que réponds-tu ?"

Aymas était troublé, tout cela était vraiment étrange, ce devait être un mauvais rêve. Il se décida alors à répondre en faisant le moins de chichis possible. Il devait sortir d’ici au plus vite et retrouver Alisia… Elle devait s’inquiéter aussi. Il resta calme, pensant maitriser la situation et répondit :

"- Je suis d’accord, allons-y !

- Tout d’abord, te crois-tu intelligent ?

- Je pense pouvoir dire que je le suis effectivement. Je sais jouer avec les mots et résoudre des mystères. Je ne le suis pas exceptionnellement mais bien assez. J’ai apprit beaucoup de choses grâce à cela et même à réfléchir sur moi pour me comprendre et m’améliorer."

Aymas répondait sincèrement et posément. Il se doutait qu’il ne fallait pas jouer sur ce coup. Il voulait réellement partir d’ici bien que tous ces mystères soient intriguant.

"- En effet tu parais être intelligent puisque tu ne joue pas avec Nous. Quels sont tes qualités ?

- En toute sincérité, je pense pouvoir dire que je suis poli au possible et respectueux… certes pas quand on me kidnappe. Mais je suis également amical, patient et surtout serviable.

- Bien, et quels sont tes défaut jeune nékothrope ?

- Pour moi je n’ai point de défauts sinon je m’emploierais à les corriger mes aux yeux du monde je suis orgueilleux, égoïste, paresseux et surtout indiscipliné.

- Tu Nous as répondu honnêtement ce qui se trouve être vrai pour ton cas et même en en disant plus, juste ce qu’il nous fallait. Va et poursuit ton chemin."

Puis les voix réapparurent, remplissant encore ce lieu plongé dans la pénombre. Certaines donnaient leur acquiescement et remerciaient sa franchise, celle-là étaient satisfaites tandis que d’autre non. Encore des débats mais elles s’évanouirent et s’estompèrent finalement toutes. Le laissant seul avant de voir ce qu’il l’attendait. Seul comme un aveugle dans la nuit ou comme un sourd dans une bibliothèque dans ce noir et ce silence malgré ses yeux et ses oreilles plus efficaces que celles d'un humain normal. Il ressentait tout son corps tandis qu’il avait l’impression que toute cette pénombre l’envahissait.

*Que va-t-il se passer maintenant ?*

Un bruit métallique retentit surpassant le silence envahissant régnant sur la pénombre de la pièce. A l'origine du bruit, une clé noire tombée par terre comme la clé rouge de la première salle. Un petit carré lumineux grandissait à deux mètres d'Aymas avec en son centre l'objet ouvreur de portes.

Arrêtant de s'élargir en longueur et en largeur, la structure lumineuse prit de la hauteur, comme un porte sortit du sol. Bientôt tout ce qui se trouvait devant le nékothrope n'était qu'une façade blanche semblant vouloir attendre qu'il bouge, qu'il fasse un geste ou une action dans sa direction. Le jeune homme sentait la soudaine lumière lui brûler les yeux. Il cligna pour tenter d'atténuer cette douleur. Ces yeux sensibles eurent du mal à s'habituer mais y parvinrent quand même.

Voilà la sortie promise, l'espoir, mais un sentiment en lui, même s'il était sûr d'en être proche, lui faisait penser qu'il n'était pas encore à la fin de cet étrange périple. Il entra tout de même dans cette béatitude blanche et douce qui ressemblait à un paradis immaculé à perte de vue bien que cette vue soit réduite par un flou incessant. Dans son dos, l'ombre se déclina sur elle-même. Encore une fois il n'y avait plus d'issue. Il devait encore y avoir un genre d'épreuve ou de découverte à faire. Cette découverte serait sûrement encore sur lui-même.

Sa peau sentit alors une brise légère lui caresser les chevilles nues tendit que ses oreilles sensibles entendait un léger et tranquille clapotis. Le jeune homme regarda ses pieds et vit qu'il s'agissait d'eau qui formait un petit courant allant droit devant lui. Le clapotis est produit par la force de l'au s'écrasant sur l'arrière de ses chevilles. Plusieurs reflets légèrement éblouissant attirent l'œil du nékothrope tout autour de lui.

Soudain, à sa droite, la lumière d'un reflet s'anime de lui même bientôt rejoint par une gerbe d'eau laissant une brume. Cette bruma produit un arc-en-ciel lorsque la lumière la traverse. Puis la brume aspire les couleurs de l'arc-en-ciel pour devenir opaque mais transparent à la fois. Et c'est l'image en trois dimensions du reflet qui apparait, comme si l'eau exécutant une scène prenait vie.

Ce qu'Aymas peut voir, c'est deux personnes. Une fille un peu plus vielle que lui de quelques années et plus petite. Des cheveux blonds et des oreilles de chat. Une grande queue et des yeux gris cendré. Elle est magnifique. La tenant dans ses bras, un autres nékothrope à peu près du même âge qu'elle. Lui avait une chevelure gris cendrée et des yeux verts mais pas de queue. Dans les bras de la femme apparut un bébé. Les cheveux de son père et les yeux de sa mère. Ces personnes étaient ces parents et lui.

Puis l'image disparut en s'effondrant ne laissant que des remous et vaguelettes sur l'eau. Puis une autre apparut derrière lui de la même façon. Elle s'anima et montra la mort de son père, se noyant pour le sauver des flots carnassiers de la mer. Son père était un homme fort, intègre et travailleur mais il n'eut pas l'occasion d'apprendre beaucoup de choses à son fils. Le jeune nékothrop avait cinq ans et c'était retrouvé au milieu des eaux, se faisant surprendre par la marée.

Son père qui avait accouru à son secours puis ramené tant bien que mal en des eaux moins profondes. Mais à peine avait-il relâché son fils qu'une lame le remportait au lointain et qui eut raison de lui et de sa fatigue. Depuis Aymas avait appris à nager pour que plus personnes ne meurt de sa faute. Il s'habitua à se débrouiller seul malgré son jeune âge mais la vision de sa mère toujours triste lui remémorait toujours cette image.

La brume s'effondra encore une fois pour laisser place à une autre image à sa gauche. Cette fois-ci, il en avait peur en voyant les deux autres images, il voyait sa mère malade. Elle ne s'était jamais remise de la mort de son mari. Sa seule consolation avait toujours été son fils qui se débrouillait tant bien que mal pour les faire survivre. Il se débrouillait pour tout.

Sa mère ne faisait plus grands choses désormais et se laissait dépérir.Au début elle avait beaucoup pleuré en s'occupant d'Aymas, elle lui apprit à cuisiner à s'occuper de nettoyer les vêtements, a raccommoder ses vieilles affaires, etc... Puis elle errait seulement dans la cabane, la maintenant en état comme elle pouvait et enfin elle avait fini cloué dans son lit par des symptômes étranges. Il la revit expirer son dernier souffle alors qu'il se voyait, lui Aymas, douze ans, perdre son dernier parents alors qu'ils étaient loin de tout. L'image disparut tandis que le nékothrope sentait une larme lui couler tendrement sur la joue.

Une autre image se matérialisa derrière lui. Il avait treize ans, il était dans la forêt, survivant seul. Dans la petite cabane de ses parents. C'était le jour ou il avait rencontré Alisia prêt d'une cascade. Elle paraissait perdue elle aussi et il lui avait proposé de venir avec lui. Espérant enfin avoir un peu de compagnie. Et tout c'était bien passé. Elle était souvent revenu et ils étaient devenus très affectueux l'un envers l'autre. L'image se brouilla pour faire passer le temps et fit apparaitre plusieurs moments où elle venait le retrouver. Après un dernier flou sur l'image, la fée apparaissait hésitante. Ce jour la, Aymas avait décidé de partir, il avait quinze ans. Il voulait découvrir le monde et oublié ce lieu, laisser à l'abandon ces vestiges du passé et souvenir de deuil.

L'image changea pour d'autres tout autour de lui. Chacune représentait un moment de sa vie passée avec Alisia, à aider les vieilles personnes à résoudre de petits problèmes et/ou mystères... Ici la disparition étrange d'un tableau de valeur sentimentale. Là, un chat ne sachant plus descendre de son perchoir floral. Ici encore, des vols mystérieux de fruits chez un marchand. Quatre ans d'histoire... Il aperçut une image ou il avait dix sept ans depuis peu et sa réputation grandissante de découvreur de mystère se faisait connaitre. Il se voyait collaborant pour la première voit pour une quelconque autorité.

Évidemment Alisia était auprès de lui... et heureusement. Tout deux bien qu'intelligent avaient souvent besoin l'un de l'autre pour résoudre leurs enquêtes. Lui fonçant souvent tête baissée et les mettant dans des embrouilles impossible et créant des ennuis plus ou moins grave. Elle rattrapant souvent le coup, rattrapant les pseudo-erreurs de son compagnon. Elle lui manquait déjà énormément. Rares étaient les moments ou ils se retrouvaient chacun seul de leur côté mais c'était parfois pour la bonne cause. Ils étaient leurs propres confidents.

Puis les images disparurent une à une ne laissant que le flot constant du courant vers un côté du lieu étrange dans lequel il se trouvait. C'était son histoire... son histoire qui venait de lui être présentée. Il ne la connaissait que trop bien. Mais il voulait maintenant retourner à sa vie d'aventure avec son amie pour la vie... Mais ou était-elle donc ? Aymas regarda en l'air. Il eut un sentiment de vide après avoir passé en revue tout ce qu'il était, physiquement mentalement et historiquement... Voilà sa vie...