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Elle ouvre doucement les paupières. Trop de lumière. Les referme. Après quelques minutes, les ouvre encore et cette fois, observe le monde qui l'entoure.

Elle se trouve dans une pièce dont les murs sont rouge sang. Elle sourit. Malgré ce que pouvaient penser les gens, elle aime le rouge. La couleur du feu, de la chaleur, du risque aussi. Tout cet univers enflammé lui fait légèrement peur mais dieu qu'elle est excitée ! Elle s'assoit en tailleur, palpe son corps, vérifie chaque articulation, chaque petite pore de sa peau, mais rien ne semble avoir changé. Elle est toujours la même. Mais elle ne sait pas qui elle est.

Elle se lève alors, grimaçe en s'étirant puis observe attentivement les alentours. Il n'y a pas de porte, ni de fenêtres, rien qui puisse lui indiquer où elle se trouve. Elle remarque alors les photos sur le mur de gauche. Elles s'alignaient comme si elles indiquaient un ordre précis. Elle s'approche et observe la première image.

Celle-ci représentait une famille. Le père sourait et passait un bras autour des épaules d'une femme, qui souriait elle aussi. Elle tenait dans ses bras un tout petit bébé. Leurs oreilles pointus indiquaient clairement à quelle race ils appartenaient. Elle touche ses propres oreilles. Elles sont longues d'environ dix centimètres. Elle fait jouer entre ses doigts les anneaux d'argent pendus à ses oreilles. Il y'en a sept au total : trois sur l'oreille gauche, quatre sur l'oreille droite, toutes de de taille moyenne. Du bout des doigts, elle peut sentir une inscription sur chaque anneau. Se plaçant devant le miroir, elle tente de les lire mais ces écritures lui sont complètement inconnus.

Elle se concentre sur la deuxième photo. La nuit, une nuit pluvieuse, dans une forêt sombre. Au milieu de l'image, une tombe grise, froide et lugubre. Peu de lumière, juste une petite lanterne qui éclaire l'inscription à moitié effacée par le temps et les intempéries. A genoux, sur la tombe, le visage caché dans les mains, une petite fille recroquevillée sur elle-même. La pluie nettoie ses larmes. Et toujours ses oreilles pointus qui dépassent maintenant de la masse de cheveux blonds plaqués sur sa nuque.

Sur la troisième photo, un village d'elfes. Les habitants se déplacent, vacants à leur occupations et travaux quotidiens ne faisant pas attention aux enfants qui courent entre leurs jambes, les bousculant quelques fois au passage. Parmis ces enfants, une petite fille blonde aux yeux bleus si azurs qu'on pourrait plonger dedans rien qu'en la regardant. Le reflet même de la mer. Elle était mignonne, mais les enfants la rejettaient, ne voulant pas la laisser jouer avec eux.

Elle observe ses cheveux. Dorés comme de l'or et longs, lui arrivant jusqu'aux genoux. Doux et soyeux au toucher, il rendraient jaloux n'importe qui. Elle observa plus attentivement son visage. Un petit nez en trompette, une peau légèrement bronzée, deux grands yeux azurs magnifiques, un menton droit et fier. Des joues rouges, barbouillées de sang. Elle regarde ses mains, elles sont pleines de sang séché. Ses cheveux aussi. Ses vêtements verts déchirés au niveau du ventre et des épaules sont imbibés de sang. Mais pas que du sien. Elle regarde la quatrième photo. Toujours et encore cette jeune elfe mais plus âgée. Sûrement une vingtaine d'années. Elle court dans la forêt, effrayée et se retourne sans cesse comme si quelqu'un ou quelque chose de menaçant la poursuivait.

Sur la cinquième photo, un loup-garou. Sombre et menaçant, il la ragardait comme s'il voulait lui transmettre un message, une invitation. Son regard la rassure comme s'il pouvait la protéger. La protéger de quoi ? C'était la dernière photo. Des griffures serpentent sur ses mollets et une cicatrice se trouve à droite de son front. Elle est sale et couverte de sang. Mais il est séché, ce qui signifie que le combat s'est déroulé il y a pas mal de temps déjà.

Elle s'observe encore et encore dans le miroir, tourne sur elle-même afin de se voir sous tous les angles possibles. Une jupe brune, fendue sur le côté par une lame, une sorte de débardeur vert lacéré au niveau des épaules et du ventre, une armure en argent légère mais en pièces. Des gants de chasse sentant le brûlé, des bottes de chasse elles aussi puis une ceinture retenant une bourse de cuir. Elle arrange un peu ses cheveux et enfin satisfaite de son image, se détourne du miroir. Elle ouvre la bourse. A l'intérieur se trouvent des poils noirs de loup.

Elle remarque qu'un arc est posé à côté d'elle, ainsi qu'un petit sac de voyage. Elle s'approche, l'ouvre et le vide sur le carrelage. Un carquois remplit de flèches, de la nourriture, une gourde, un peu de nectar et de miel, quelques fleurs, toutes sortes de petits objets pointus en métal, des papiers illisibles ainsi que quelques médicaments et des bandages imbibés de sang. Elle se désabille, vérifie encore une fois son corps davant le miroir puis tente de soigner ses blessures avec les médicaments et lotions contenus dans son sac. Après quelques longues minutes, elle remet ses vêtements en lambeau. Elle remet toutes ses affaires dans son sac quand soudain la méoire lui revient. Sous le choc, elle tombe à genoux et se prend la tête entre les mains en gémissant de douleur. Elle revoit toute sa vie passée, mais aucune idée quant à comment elle est arrivée ici. Elle se lève déterminée. Un seul nom important défile sans cesse devant ses yeux.

_ Lunielle Elwindor ... murmure-t-elle.

(voilà j'ai tenue compte de vos conseils et merci beaucoup pour ça, j'espère que cette histoire correspond mieux maintenant)

Elle avance, fait un pas, un autre et encore un autre. Plus elle avance et plus la pièce s'assombrit. Pourtant elle n'a pas l'impression que quelque chose ait changée ... Elle avance encore et soudain se pose des questions. Elle tente de reculer mais une force invisible l'en empêche, la forçant à avancer encore et encore. Alors elle se laisse faire et avance sans rechigner, attendant avec malice et excitation, quoique avec fatigue un peu aussi, ce qui l'attend.

Soudain la salle devient toute noire. Elle tente d'observer les alentours, se disant que grâce à sa vision d'elfe, elle devrait bien réussir à voir quelque chose mais rien hélas, elle ne voit rien d'autre que du noir.

Les battements de son coeur s'accélèrent sans qu'elle puisse les contrôler. Sa peur commence à faire surface, crevant la bulle d'indifférance qu'elle s'efforce de montrer, cachant sa véritable nature. Elle s'arrête soudain, entendant une sorte de bourdonnement au creux de son oreille. Le bruit glisse autour d'elle, joue sur les anneaux d'argent, se faufile entre ses mains et son coeur fragile. Il la pénètre mais s'enfuit, se disperçant dès qu'elle essaie de l'attraper.

Ce bruit se transforme peu à peu en voix. Mais il n'y en a pas qu'une, elles sont plusieurs, se délectant de la frayeur et de l'âme de leur proie.

_ Qu'as tu donc fait ... murmura la première voix.

_ C'est affreux, abominable, écoeurant !!! enchaine une deuxième.

_ Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous me voulez ?! s'écria Lunielle, commençant à paniquer.

Elle a toujours eue peur, peur de l'inconnue, peur du noir, peur des autres. Mais depuis plus de vingt ans maintenant, elle n'a plus peur, grâce à EUX, grâce à LUI.

_ C'est affreux ! AFFREUX !!!

_ Ce sang qui maculle tes mains et ton visage si beau ... Ce n'est pas que le tien !!

_ Arrêtez !!! hurla-t-elle en tombant à genoux et se prenant la tête, tentant en vain d'échapper à ce tourbillon de voix.

_ Tu l'as tué, pauvre folle ! Tu l'as massacrée, réduit en cendres !

_ Non !

Elle se lève alors et dans sa voix forte, les voix perçoivent une note de défi et de révolte.

_ Je l'ai tué, c'est vrai ! Mais ce n'est pas ma faute ! Je n'étais pas moi-même ! Tout ça, c'est sa faute à ELLE !

Elle est déterminée à se défendre.

_ As-tu au moins pensée à ce que ressentent les personnes qui aimaient ta victime ?! Tu la leur à enlevée !

_ Je sais très bien ce qu'elle ressentent, dit-elle d'une voix plus calme. Ce sentiment de vide, d'abandon, de désespoir. Je l'aimais ...

Elle l'aimait, au oui dieu qu'elle l'aimait. Elle avait ressentie tellement de peine lorsqu'il était parti ... cette mélancolie qui ne la quitte plus. Oui elle est mélancolique, triste peut-être mais elle s'efforce d'être courageuse, pour LUI dont elle est encore amoureuse. Pourra-t-elle un jour de nouveau ressentir ce sentiment ?

Les voix se calmèrent légèrement.

_ Pourquoi tu as fuis ton lieu de naissance ? Tu n'étais pas heureuse là-bas ?

_ Ils ne voulaient pas de moi, alors je suis partie. Je n'y étais pas à ma place.

_ Elle n'est pas partie, ils l'ont bannis, c'est différent ! corrigea la deuxième voix.

_ Ainsi donc, tu n'as nul part où allez ... et te voilà ici, pauvre petite âme perdue et sans défense !

_ Si je ne peux pas rester ici, alors je partirai mais un jour, je finirais bien par me trouver une place ! Dit-elle, déterminée. Personne ne m'arrêtera !

Libre comme le vent, elle l'a toujours été. Personne n'a jamais réussie de l'entraver et ce n'est pas faute d'avoir essayé. Elle tient à cette liberté comme elle tenait à LUI. Elle se maudit, mais maudit encore plus celle qui en est la responsable, elle qui le lui a enlevé. Si seulement un jour elle parvenait à la retrouver. C'était ça qui la maintenait debout.

Sa vengeance.

La salle s’illumine soudainement. Les murs sont maintenant d’un blanc éclatant. Elle cligne des paupières. A ses pieds, elle sent un petit courant d’air. Se baissant, elle remarque que ce n’est pas de l’air mais de l’eau. Elle trempe avec plaisir ses pieds sales. Au fond de la salle coule un ruisseau. Elle s’en approche, s’agenouille puis admire son reflet dans l’eau. De petits galets blancs parcourent le ruisseau.

Elle plonge ses mains avec délectation dans l’eau claire et se débarbouille le visage. Le ruisseau emporte un filet rouge sang puis redevient clair. Elle s'observe dans l'eau. Soudain, l'eau se trouble, comme perturbée par un invisible courant et une image commence à apparaitre.

"Celle-ci représentait une famille. Le père sourait et passait un bras autour des épaules d'une femme, qui souriait elle aussi. Elle tenait dans ses bras un tout petit bébé. Leurs oreilles pointus indiquaient clairement à quelle race ils appartenaient." Mirielle et Finarfin, ses parents. Elle poussa un soupir d'admiration. Ils étaient si beaux, ensemble ils formaient le couple parfait. C'était l'un des deux moments de sa vie où elle avait été heureuse. L'image se déplace légèrement, zoom sur le visage de son père, puis sur celui de sa mère. Soudain, les traits familiers se déforment, sur la bouche pulpeuse apprait un rictus sinistre, la peau se noircit, les oreilles rapetissent, deux cornes poussent de la masse de cheveux devenue noire, dans les yeux apparait une cruauté sans limites. Elle recule, effrayée. Sous les traits du doux visage maternelle venait d'apparaitre une beauté mortelle : Shamera Bloodfiever, la démone qui avait assassinée ses parents. La mère de Lunielle l'avait enfermée dans une petite trappe de leur maison, lui faisant promettre de ne pas sortir avant plusieurs heures. La petite l'avait écoutée, sursautant au moindre bruit, entendant toute la scène de l'assassinat de ses parents.

Finarfin regarda sa femme, allongée sur le tapis, morte. La démone venait de toucher l'un de ses points vitaux, il ne lui restait donc plus beaucoup de temps à vivre.
_Pourquoi ? demanda-t-il seulement à la démone. Pourquoi tu nous a attaqué?
Elle parit d'un rire diabolique et s'écria :
_ Parce que je m'ennuiais, tout simplement !
Puis il tomba à son tour. Sa dernière pensée fut pour leur fille, cachée dans une petite trappe, sûrment effrayée par tout ce bruit.
Perdre ses parents aussi violemment avait été un véritable choc pour elle. Après plusieurs heures, elle était remontée et avait trouvée ses parents morts. Quand les villageois sont arrivés longtemps après, ils ont trouvés la petite, couverte de sang (elle avait essayée de déplacer les corps et s'en était mis partout), essayant en vain de réanimer ses parents.

"La nuit, une nuit pluvieuse, dans une forêt sombre. Au milieu de l'image, une tombe grise, froide et lugubre. Peu de lumière, juste une petite lanterne qui éclaire l'inscription à moitié effacée par le temps et les intempéries. A genoux, sur la tombe, le visage caché dans les mains, une petite fille recroquevillée sur elle-même. La pluie nettoie ses larmes." C'est comme l'autre fois, elle est toujours seule, malgré tous ses efforts, malgré les années. Mais cette fois-ci, il n'y a pas de pluie pour cacher ses larmes.

"Sur la troisième photo, un village d'elfes. Les habitants se déplacent, vacants à leur occupations et travaux quotidiens ne faisant pas attention aux enfants qui courent entre leurs jambes, les bousculant quelques fois au passage. Parmis ces enfants, une petite fille blonde aux yeux bleus si azurs qu'on pourrait plonger dedans rien qu'en la regardant. Le reflet même de la mer. Elle était mignonne, mais les enfants la rejettaient, ne voulant pas la laisser jouer avec eux." Après la mort de ses parents, elle avait vécue seule, elle avait alors 25 ans (5 en âge humain). Elle profitait des autres, se cachant derrière eux, n'étant pas encore assez forte pour survivre. Mais ses pouvoirs, liés à la nature, étaient naturellement puissants et jamais les anciens n'avaient vu un elfe si jeune posséder de si puissants pouvoirs. Les habitants avaient peur d'elle. C'est pour cela qu'ils la rejetaient, ne voulant pas penser aux dégâts qu'elle pourrait faire en utilisant ses pouvoirs.

Mais un jour alors qu'elle avait 55 ans (environ 10 ans), l'un des enfants du village, qui habituellement la traitaient de monstre à cause de ses pouvoirs incontrôlables, l'avait frappée. Sa colère avait alors éclatée, elle ne s'était pas retenue. Si les adultes ne l'avaient pas arrêtés, elle aurait sûrement tuée ce gamin. Elle avait ensuite été jugé par le conseil des anciens et avait été bannie de sa forêt natale. Elle a ensuite fuit, voyageant de terre en terre en quête d'amis et d'un endroit où rester masi partout où elle allait les gens avaient peur d'elle. Son bannisement ne l'aidait pas bien entendu.

Elle essuie ses larmes, mais l'une d'elle en tombant dans l'eau, fait disparaitre l'image, et une autre apparait. "Elle court dans la forêt, effrayée et se retourne sans cesse comme si quelqu'un ou quelque chose de menaçant la poursuivait. " Elle sourit. C'était la fois où elle s'était faite poursuivre par un loup-garou. Sa fameuse rencontre avec LUI. Draren Seiwyr, un jeune loup solitaire et affamé, se disant sur le coup qu'une elfe devait être plus appétissante qu'un lapin. Alors, après avoir tout deux courut sur plusieurs kilomètres, ils s'étaient arrêtés et affrontés. Personne de ce combat n'était sorti vainqueur et ils avaient décidés de voyager ensemble, ayant pu évaluer la force brute de l'autre.

C'est peu de temps après qu'ils avaient rencontrés les autres. Owen le guerrier, Apaat l'ange, Ondia la sirène et Laralen la vampire. Etant tous des voyageurs sans but, ils s'étaient joints à la bande et c'est alors qu'est né leur groupe insolite. Ils ont parcourus le monde, suivant les cours d'eau pour Ondia.

Elle sourit davantage. C'était la deuxième fois où elle avait été heureuse. Ils se considéraient comme des frères et soeurs, les uns compensants les défauts des autres, chacun ayant sa place dans le groupe. Néanmoins, Lunielle était petit à petit tombée amoureuse de Draren. Et le jour où il lui a avoué ses sentiments, identiques aux siens, fut le plus beau jour de sa vie. Ils s'étaient aimés, chéris et ne pouvaient plus se séparer.

"Sur la cinquième photo, un loup-garou. Sombre et menaçant, il la ragardait comme s'il voulait lui transmettre un message, une invitation. Son regard la rassure comme s'il pouvait la protéger. La protéger de quoi ?" Sons sourire disparut. C'était Draren qui montrait les crocs. Il avait essayé de s'interposer, d'éviter le conflit mais rien à faire.

Un jour, Laralen a défiée Lunielle car la vampire était elle aussi tombée amoureuse du loup-garou et le voulait pour elle toute seule. Un combat a alors éclatée, un combat à mort. Les deux combattantes étaient mortes de fatigue, couvertes de sang et de blessures et leur dernières attaques allaient anoncer l'issue de ce combat. Mais au dernier moment, Draren s'est interposé et a reçu le coup mortel de Lunielle. Il est mort dans ses bras.

"Au centre de la clairière, une elfe tenant dans ses bras le cadavre d'un loup. Loin derrière une vampire s'enfuit et vers l'elfe, trois crétures tentent de la consoler. Elle se referme sur elle-même et les repoussent. Alors ils reculent et leurs ombres se fondent dans la forêt. Elle creuse un trou avec ses mains, y place le corps et referme la tombe." Ses amis l'avaient abandonnés et le groupe s'était brisé ce jour-là.

Elle assene un coup de poing rageur dans l'eau et l'image disparait, balayée. Elle pousse alors un cri suraigu, un hurlement de douleur du plus profond de son être, le même cri qu'elle avait poussée pendant des heures ce jour-là. Ses amis, déjà loins, l'avaient entendus mais ils ne s'étaient pas retournés. Elle se tait, récupère ses affaires et se lève, déterminée. Elle n'a plus qu'une seule idée en tête.

_Attends-moi, Laralen ! murmura-t-elle.

La bienvenue à toi petite elfette !!!

Soit la bienvenue parmi nous x)

Et hop hop hop, te voilà dans le groupe des elfes, avec la couleur et le petit logo qui va bien, enjoy!

Ah et j'ai failli oublié, pense à te recenser Ici!

Bon jeu ♥

Bienvenue parmi nous Bon jeu à toi !

Bienvenue princesse! êt joue bien ! <3

Bienvenue à toi ! Et amuse toi bien ici (normalement y a de quoi faire ! )

Merci beaucoup ^^ je connais déjà certain d'entre vous mais je suis contente de voir de nouvelles têtes XD (PS : Pam, viens je t'attends :3 )

Bienvenue bienvenue^^ Ravie de te rencontrer