-Je suis désolé pour ce qui viens se passer. Je... c'est la première fois que j'ai... un coup de foudre de se genre... J'ai froid...

La jeune femme était maintenant calé entre mes bras, en une douce étreinte, suite à ce qu'elle venait de me dire je ne savais que répondre, ne trouvant pas de mot je resserrais légèrement mon étreinte, essayant de la réchauffer un petit peu. Dans mon cerveau, la voie était entrain de me dire de me lever et de m'enfuir mais j'étais comme paralysé, et je n'avais pas envi de bouger, si seulement ce moment pouvait durer éternellement ! Finalement j'ouvris la bouche pour bégayer quelque chose :

-N... non, ce n'est pas votre faute... c'est plutôt la mienne... j...j'aurais dût vous repousser...

Puis plus bas, tandis que mon visage devenait de plus en plus rouge :

-E... Et puis, j... je dois avouer que je ressens quelques chose pour vous.

Puis j'éclatais d'un rire gêné, presque nerveux :

-O...on ne se connait même pas !

Puis je frissonnais de froid malgré la douce chaleur à l'intérieur de mon corps, je retins un éternuement et dis d'une voie enjoué :

-N... nous devrions aller nous rhabillé...

-N... nous devrions aller nous rhabillé...

Je hochais la tête. Je jetais un coup d'oeil autour de nous a la recherche de nos vêtements. je ne voulais pas rompre le contact de nos deux corps. Je clignais les yeux aux moments même ou je me rendais compte que quelque chose clochais... Mes vêtements n'étais visible nulle par à l'horizon comme ceux de mon amant... Je fronçais les sourcils et repassait le coin au peigne fin. Nan... Ils n'étaient pas là... Je regardais le vaste étendue d'eau du lac Olia quand je compris ce que c'était passé. Lors de nos ébats nous avions envoyer nos vêtements à la flotte sans y prendre garde et le courant les avant emporter. Le reste de mes vêtements eux aussi étaient parti lorsque l'eau avait monter et avait submerger les rocher ou étaient poser mon haut et ma jupe...

-Unded... Nos vêtements on disparut... Emporter par le courant...

-Unded... Nos vêtements on disparut... Emporter par le courant...

Nos vêtements emportés par le courant ? J'éclatais soudainement de rire à cause de l'étrangeté de la situation. Une petite voie me chuchota qu'une personne pouvait passer au lac, et en imaginant la tête qu'elle ferait, mon rire redoubla.

- Et bien, j'espère que personne ne se pointera !

Je me calmais enfin tandis que le soleil réussit à percer la couche de nuage, l'eau froide me fit frissonner.

- Nous devrions au moins allumer un feu pour nous réchauffer... l'autre c'est éteint.

Je me redressa lentement avant de rompre à regret le contact de nos corps et de me diriger vers un endroit à peu près sec, je rassemblais un petit peu de bois et tandis que j'essayais de faire jaillir les flammes je demandais :

- Et sinon, que veniez-vous faire ici ?

Spoiler:

Je m'acharnais sur le feu qui refusait de prendre lorsqu'un rire retenti, je tournais la tête vers la jeune femme et la vis s'approcher de moi en balançant les hanches. Je sentis ses bras qui m'entourais, sa poitrine se presser contre moi, l'étreinte me fit frissonner mais provoqua du plaisir, puis elle chuchota :

- Tu sais mon tit loup... L'endroit est trop humide pour un feu avec des cailloux. Si tu veux avoir chaud vient te réchauffer contre moi...

J'éclatais de rire en entendant le surnom, elle ne pouvait pas être plus proche de la vérité ! Je me retournais et déposais un baiser timide sur ses lèvres avant de la serrer dans mes bras, nos regards se croisèrent.

- J'accepte la proposition !

Puis, ma parole allant plus vite que mon cerveau je lui dis :

- Il faut que tu saches quelques choses, je... je suis un lycan ...

Lorsque je compris ce que je venais de dire, mon sourire disparut, je rompis le contact de nos corps et reculais légèrement, attendant de voir la réaction de la jeune femme ...

- Il faut que tu saches quelques choses, je... je suis un lycan ...

Pam sursaute et se tourna vers lui. Il se décolla d'elle d'un air mefiant et inquiet. Un lycans... Oui... Un loup garous quoi... Elle avait entendu parler comme des êtres incapables du moindre sentiments... elle le regarda droit dans le yeux et vie la solitude et la peur qui s'y côtoyait. elle s'appporcha et le pris dans ses bras comme une maman le ferais et le calina. Elle avait touours envie de lui.

-Tu sais... ma meilleure amie est neko et tourne parfois vraiment.... Sauvage... C'est pas pourtant que je lui tourne l dos... Tan que tu ne me mord pas...

Elle commença par l'embrasser doucement sur le nez, puis sur le menton, le front, les joues, les paupière et pour terminer les lèvres.

-Tu vois. Cela ne change rien pour moi pour l'instant...

-Tu vois. Cela ne change rien pour moi pour l'instant...

J'étais dans ses bras, raide comme un piquet, une expression surement comique sur le visage tellement j'étais surpris. Une vague de souvenir m'assaillis, c'était l'une des seules femmes à m'avoir répondu cela, à se foutre de se que j'étais. Je la serrais soudainement dans mes bras, déposant un léger baiser sur son cou tandis qu'une larme unique et salée traça un trait humide sur mon visage avant de tomber je ne sais où.

- J... J'ai dévorer ma famille une nuit, tu sais, je pourrais aussi te tuer....

Pourquoi lui avais-je chuchoter ça ! Merde ! Ce passé appartenait pourtant à une autre personne, et cette personne était morte ! Elle allait surement me fuir maintenant ! Enfin, c'était peut être mieux, ainsi je ne la blesserais pas ! Je relevais la tête et la fixais droit dans les yeux, attendant sa réaction...

- je pourrais aussi te tuer....

Ces mots l'atteignir en plein coeur et elle ouvrit de garnd yeux. Un souvenir venait d'effleurer sa conscience et une myriade d'images vinrent frapper sa rétine. Images qui ne tardèrent pas à faire un film...

-C'est à cette heure que tu rentre jeune fille?
Son oncle avait encore bue... Elle haussa négligemment des épaules, posa son sac remplis de coquillage pour servir de récipient à sa peinture et se dirigeât vers l'escalier qui menait à l'étage et à sa chambre. Elle n'avait pas fait deux pas qu'une main d'ours vint se poser sur son épaule et la jeune fille sursauta. Elle n'avait pas imaginer qu'il fut aussi ivre à cet heure de la journée. D'habitude à 7heures il venait d'enfiler sa troisième bouteille pas suffisamment pour divaguer à se point. Elle regarda d'un oeil vitreux ce qu'il y avait derrière l'homme et appercut une dizaine de bouteille vide et l'un des amis de son oncle affaler par terre rouge. Son oncle la plaqua contre le mur, bu une gorgée de la pisse alcoolisé qu'il tenait et passa distraitement les doigts dans la chevelure or de la jeune fille et approcha sa bouche humide du coup de la jeune fille qui esseya, surprise et dégoutter, de le renvoyer. Elle ne réussit qu'a l'excité davantage.le rouge lui montait au joue et son entre jambe devant dure contre son ventre. Elle se mit à pleurer.
-Tu sais ma douce,je pourrait aussi te tuer...

[/color]La vision d'horreur s'estompa peu à peu... Elle ne voulait pas se rappeler ce qui s'était passé après. C'était trop douloureux pour elle... Elle secoua la tête et ne lacha pas Unded. Si elle le faisait elle allait le regretter toute ça vie.

-Tu n'es pas comme lui... NON!

Elle avait hurler. Le souvenir la hantait toujours. Il la regardait droit dans les yeux. Elle avait du mal a le regarder mais devant le faire.

-Dis moi que je peux te faire confiance... Dit moi que tu ne me tura pas... Dis le moi....

Elle ferma les yeux et plaque ses lèvres violemment contre celle d'Unded, tellement fort qu'elle senti le détail de ses dents contre sa bouche.

-Jveux pas gâcher se moments là... On va surment se quitter sans jamais se revoir.. Fait moi cet promesse...

-Dis moi que je peux te faire confiance... Dit moi que tu ne me tueras pas... Dis le moi....

J'ouvris la bouche pour lui dire que je ne pouvais lui promettre ça que lorsque le jour était levé mais que la nuit j'étais une bête, que je ne pourrais pas respecter cette promesse. Avant que je puisse dire un mot ses lèvres se plaquèrent sur les mienne avec force, me bâillonnant aussi surement qu'un bâillon. Puis ses lèvres s'écartèrent et elle recommença à parler.

-Jveux pas gâcher se moments là... On va surment se quitter sans jamais se revoir.. Fait moi cet promesse...

Puis la certitude que je ne pourrais la blesser, que je ne pourrais la tuer m'envahis lorsque mon regard replongea dans le sien et mes lèvres bougèrent d'elle même, prononçant une promesse impossible :

- Je te le promet, je ne te blesserais pas, je ne te tuerais pas... je m'enchainerais, je briderais ma liberté... je te le promet...

Tout en parlant j'avais détourné le regard vers le soleil, bientôt il allait disparaitre, laissant place à la nuit. Mais pour l'instant le soleil était bien là et faisait remonter mes souvenir à la surface, moi enfant au milieux de cadavre, moi avec le sang de ma famille sur le visage. Mes yeux plongèrent de nouveaux dans se de Pampelune tandis qu'une larme solitaire coula le long de ma joue, captant la lumière du soleil.

- Je voudrais que le soleil ne se couche jamais...

-Mais j'aimerais en profiter encore une petite demi heure mon tit loup d'amour.

Elle me lança un regard simple à déchiffrer tandis qu'elle me caressait les fesses. Je lui déposa un baiser dans le creux du cou, puis sur le front, pour enfin l'embrasser passionnément. Mes mains faisaient des aller retour dans son dos en la caressant, puis nos lèvres se séparèrent et je dis:

- En profiter encore une demi-heure, je pense que c'est possible.

Soudain, je la fis basculer, la retenant avec mes bras, je me penchais vers elle et l'embrassa longuement et sensuellement, nos langues entamant une valse endiablé. Nos bouches se séparèrent à nouveau et je la fis se redresser, puis mes mains descendirent le long de ses côtes pour finir sur ses hanches et commençaient à la caresser sensuellement.

- Une demi-heure ? Ne serait-ce pas un peu court pour... hum... s'exprimer notre amour ? déclarais-je avec un sourire en coin.

Je lachais un rire joyeux.

-Oui trop court! Surtout qu'a cet période de l'année le soleil se couche a un peu plus de 9heures!

Je reculais et montait sur un petit roche pour que je sois un peu plus grand. Je l'embrassais doucemement , l'attrapait par le coup et l'attirais contre moi. Je les descendis ensuite au niveau de sa poitrine et les accompagnais de mes dents qui vinrent titillez le renflement de sa poitrine qui durcit en conséquance. Je m'écartait ensuite et mes mains remontèrent le long de ses hanches et je me mis a imiter chacun des actes du jeunes hommes.

Je lui donnais un autre baiser, puis ma bouche descendit sur son cou, laissant une trace humide, tendis que mes mains étaient passé derrière la jeune femme, lui caressant les fesses. Je fis un pas en avant et la pierre sur laquelle Pampelune était monté bascula, la faisant chuter sur moi. En essayant de la rattraper je tombai en arrière, la jeune femme se retrouva au dessus de moi. Je la fis basculer sur le coter, de façon à ce que je me retrouve au-dessus d'elle. Ma langue repassa lentement sur son cou, puis passa sur ses seins, dont je me mis à mordiller le boue...

J'embrassais à nouveau Pampelune tandis qu'elle me massait les fesses, chacun des baiser était plus passionné que les autres, plus long, plus sauvage aussi. Mes mains passèrent dans son dos, y faisant des allé retour, parfois mes ongles s'enfonçaient légèrement dans sa peau, puis mes doigts descendirent, passant sur ses fesses en de douce caresse avant d'effleurer son intimité à plusieurs reprises. Mes lèvres rencontrèrent son cou, que je mordillais légèrement.

La nuit est proche, je le sens dans tout mon être, mes yeux rougissent, prennent une teinte sanglante, mes dents, deviennent de petit crocs tandis qu'en moi une faim inhumaine s'éveille, un instant je me demande qu'elle gout à la chaire de la jeune femme, une vision parvient à mon esprit, moi, du sang sur le visage, Pampelune égorgée. Mes lèvres se sépare de son cou, je me mord violemment, jusqu'au sang. Ça marche, mes yeux redeviennent gris, la vision disparait...

Doucement je tournais la tête vers ma compagne, du sang coulant de ma lèvre inférieur, j'ouvris la bouche et murmurai :

- Désolé, la nuit approche ...