*Ce n'est pas l'océan* Fût la première pensée qui lui vînt à l'esprit.

La caresse de la brise sous marine avait laissé la place à un air froid et sec. Sa volupté habituelle avait cédé la sienne à une pesanteur intolérable. Ce sentiment lui était si peu familier qu'elle se crût en plein rêve et ne voulût point ouvrir les yeux. Elle les maintenait ostensiblement fermés croyant avec une certaine naïveté que si elle les gardait ainsi, ce cauchemar et cette douleur sourde prendrait fin d'eux même. Elle avait si mal...D'ailleurs cela ne pouvait être qu'un cauchemar, elle avait dû bouger et se cogner...Ça ne pouvait être que ça.


Elle essaya de se rappeler de ce qu'elle faisait la veille, essaya de toute ses forces, mais aucun des souvenirs de la veille ne lui apparaissaient clairement. Ce ne fut que masse informe, imparfaite, souvenirs caricaturaux. Peut être était ce à cause de cette douleur. Douleur???? Elle ouvrit brusquement les yeux.

« Ce n'est donc pas un rêve »

La stupeur lui fit oublier pour un temps l'état de prostration qu'elle ressentait depuis son réveil. Autour d'elle il y avait...non il n'y avait pas...Ou était passé son océan?? Que faisait elle dans cette pièce de sang? Elle était sûre de n'avoir jamais vu cet endroit. Elle eut un bref instant de panique, et ferma de nouveau les yeux pour se redonner courage.

« Un...deux...trois... » Se força t'elle à compter pour dissiper la frayeur grandissante qui lui enserrait la poitrine.

Retrouvant peu à peu son calme, elle rouvrit les yeux afin de regarder plus attentivement la pièce et trouver par la même occasion un moyen de s'enfuir quand son état se serait amélioré. Se faisant elle remarqua des cadres accrochés aux murs mais étant au milieu de la pièce, elle devait bouger pour les examiner. Heureusement, remarqua t'elle, sa nageoire avait fait place à de (magnifiques) jambes. Elle pourrait se déplacer plus facilement en marchant qu'en se traînant. Même si elle préférait, et de loin, son mode de déplacement natal. Rien n'égalait les ondes, les vagues de l'océan.

S'approchant du mur sur sa droite, elle comprit que ce qu'elle avait en face d'elle...C'était ELLE. En fait non, c'était plutôt des images d'elle, faite à tous les moments de sa vie, du plus banal au plus intime. Elle se revit dans les bras de sa mère, à la disparition de son père, dans son école sous marine, entourée de coraux, à la chasse, à sa première sortie dans le monde des humains avec ses amis, même ses transformations y étaient, chaque degré chaque étape avait été immortalisé...

Toute sa vie avait été prise en image et s'étalait devant elle, comme des trophées, des témoignages naguère oubliés, d'autres cher à son cœur. Trop interloquée pour se mettre en colère, elle passait d'un mur à un autre, sans même sans rendre compte, remarquant ici et là, parsemés entre les photos comme pour mieux la narguer, des miroirs petits et grands lui renvoyant son image d'humaine. Jeune femme aux cheveux soyeux d'argent bleutés, lui arrivant au niveau des épaules, grande environs 1m70, elle était mince et de constitution assez fragile. Le teint pâle qu'aucun rayon de soleil n'avait bruni dû à sa vie sous marine, elle avait les traits de visage légèrement soutenus, des yeux gris profonds ou l'on distinguait en cette instant une profonde mélancolie qui ne la quitterait plus désormais, les sourcils épais, le nez un peu trop prononcé et la bouche sensuelle et pulpeuse, une poitrine normale, des jambes fuselés, voici tel qu'elle était en cet instant, complètement à l'opposé de son apparence de sirène. Si elle se souvenait bien de ses cours, son âge humain devait être de 23 ans. Cette apparence était à l'opposé de son corps normal qu'elle trouvait mille fois plus beau. Sirène dont la queue visqueuse mesurait près de 2m, affublée d'écailles d'une couleur vert bleuté qui lui recouvraient tout le corps. Deux collerettes composées de nageoires autour de la taille, dont 3 retombants sur ses hanches. Elle en avait également le long de ses bras, dans son dos et à coté de ses branchies. Yeux blancs sans pupilles, griffe aux doigts, corne frontal, ses cheveux d'une égal couleur à sa peau, un corps fait pour supporter la pression, elle se fondait alors parfaitement dans les profondeurs abyssales, son royaume natal. Penser à cela, lui fit également se souvenir de sa transformation intermédiaire, qui elle, était un mixte des deux. A la surface, lorsque son corps prenait le temps de s'habituer à la température de l'eau, elle avait le haut du corps humain et seule sa longue queue rappellait son apparence de sirène abyssale.

A la fin de son exploration, elle n'avait trouvé aucune porte, fenêtre ou même trou pouvant l'aider à s'enfuir. Elle avait bien essayé de décrocher les photos et les miroirs mais ce fut impossible. A bout de ressources, exténuée elle s'assit en face d'un miroir. Peut être que son reflet pourrait répondre à cette simple question:
*Comment l'avait t'on fait entrer dans une chambre close?.*

De l'eau...Elle ne rêvait pas le miroir se remplissait peu à peu d'eau. Obnubilée par cette délicieuse vision elle ne prit pas garde au reflet différent du sien qui la contemplait, elle n'eut à cet instant que la vision fugace de son apparence d'avant.

Spoiler:

Recevant quelques gouttes d'eau sur le visage, elle revint à l'instant présent, à cette réalité qui désormais serait sienne. Cherchant avidement d'où pouvait venir cette manne céleste, elle vit ou plutôt ne vit plus la pièce de sang, à sa place s'étalaient les ténèbres dans un silence entrecoupé de bruit de verres brisés. Ses yeux pourtant habitués depuis toujours à la noirceur de l'océan, ne purent distinguer quoique se soit dans cette nouvelle pièce. Elle eut beau approcher ses doigts de son visage et se concentrer de toutes ses forces rien n'apparaissait, pas la moindre lueur.

« Ton indécision lui a couté a vie »
Saisit Kyllian, se retourna.

« Qui es là?»

Comme si ils ne l'entendaient pas, les voix continuèrent.
« Es tu fière de toi? » « Enfant égoïste » « Jeune Kyllian, c'est à cause de toi qu'il est mort » « Fille indigne »

« ARRETER !!! Dit-elle en se bouchant les oreilles. Elle avait compris aux premières paroles que ces voix accusatrices lui parlaient de son père.

« Je voulais y aller, c'est lui qui a insisté pour combattre à ma place »

« Reconnaît ta faute » «Cesse de te mentir à toi même » « Tu voulais vivre à sa place »
Surtout pas, elle ne voulait surtout rien reconnaître, sinon cela signifierait qu'elle avait envoyé son père vers son destin à elle.

« Tu savais qu'il était malade » « Tu n'as rien fait pour l'arrêter » « Tu l'as envoyé sciemment à la mort » « C'était ton destin »

Sans qu'elle ne pût rien y faire des larmes coulaient le long de sa joue, un torrent de larme qu'elle ne pût endiguer, les souvenirs relatant son père. Était ce vrai? Savait elle pertinemment que son père n'avait aucune chance de s'en sortir vivant? Ne l'avait elle pas vu 2 jours plutôt couché malade à en cracher du sang? Aurait il préféré que la dernière survivante de ses enfants périssent et que sa lignée s'éteigne avec elle?

« Reconnais tu? Reconnais tu ta faute? »

Elle avait pris sa décision
« Non » Dit elle d'une voix mal assurée.

Kyllian le savait, elle ne se leurrait pas sur son caractère, dépendante de sa mère, d'une froideur extrème. Elle avait bien conscience que chaque jour serait un combat contre elle. Depuis cette bataille, elle avait toujours préféré les livres à la compagnie des autres. Se serait une chose nouvelle pour elle que d'apprendre à exister par elle même. Laisser de côté sa peur de s'attacher, de souffrir à nouveau. Car en faîte s'était bien de cela qu'il s'agissait, sa froideur, sa réserve envers les autres découlait de la peur! Elle ne voulait pas créer de lien parce-qu'elle ne voulait pas souffrir. S'enfermer dans son monde et repousser tous les intrus à jamais. Elle ne voulait plus ressentir cette sensation de malheur, ce poignard enfoncé dans son cœur, cette état second qu'on ressentait à la mort d'un être cher, puis d'un autre et d'encore un autre jusqu'à oublier ce que signifie être heureuse. C'est pour cela qu'elle se contraignait à ne plus se lier. Pour elle les sentiments s'étaient associée à la souffrance, si l'on ne aimait pas l'on ne souffrait pas, c'était logique! Elle s'était conditionnée toute seule...Il lui faudrait tout réapprendre désormais, tous ses sentiments que les être vivants ressentaient et qui l'avaient fui emporté dans un déluge de détresse, devaient à nouveau se retrouver en elle. Se serait son but, trouvé qui elle était vraiment, réellement. Le chemin serait dur mais elle se promit d'y réussir.

Respirant profondément, elle se força à calmer les battements précipités de son cœur. Les voix semblaient attendre la suite.

« Non! » prononça t-elle plus fermement, « Une personne de chaque famille devait combattre dans cette guerre de clan, il a lui même choisi sa mort. Il ne voulait pas qu'elle me fût destinée. Mais que je vive, moi la dernière descendante, l'héritière de son nom. Je ne connais rien aux sentiments d'autrui, je suis froide et garde mes distances, la peine, la douleur, la jalousie ou le bonheur me sont inconnus certe mais j'apprendrai. Elle savait que pour celà, pour se découvrir elle devrait s'éloigner de sa mère. Du clan des sirènes, elle devint Mermaïde.

En prononçant ces paroles, elle sut qu'elle avait raison. Cette mort n'était pas pour elle, sa culpabilité n'avait pas lieu d'être. Elle se sentait calme et apaisée, cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps. Il ne fallait plus regarder en arrière, seul son futur, si elle en avait un, comptait à présent. Sans regret elle enfouie dans son subconscient les souvenirs de sa vie d'avant, s'accordant de penser une dernière fois à son passé et attendit sereinement que les voix reprennent leur lithanie mais il n'y eut même pas un léger murmure. Avait-elle...Avait-elle gagné?

Jouait-on avec elle?....Était la question récurrente qu'elle se posait depuis un moment. Elle avait beau les héler pour leur demander ce qui se passait les voix restaient sourdes à tous ses appels. Peut être était ce la fin après tout? La raideur de son corps, l'anéantissement de son âme...Âme? En avait-elle au moins une?

« Qu'est ce que...? » Ce fut la chute. Une chute lourde, soudaine, inattendue, chute imprévisible, la laissant sans voix. Tombant pendant d'interminables heures ou peut être secondes? Le temps ne semblant pas avoir d'emprise dans ce monde. Une faible lueur blanche douce apaisante, comme un baume cicatrisant son âme torturée, lui parvenait d'en bas, était ce ça la mort? La sensation de tomber dans le vide, la lumière qui se rapprochait détruirait-il son corps? La disperserait-elle au gré du vent?

« Aïe » fut le mot qu'elle prononça quand ses fesses touchèrent le sol. Elle était parvenue dans une nouvelle pièce, celle ci contrairement à la précédente avait l'air chaleureuse, accueillante. Kyllian sentait même une brise d'air frais se diffuser le long de son corps assis. Baissant le regard, pour comprendre d'où pouvait venir cet air, elle eut la surprise de constater que ce n'était ni plus ni moins que de l'eau. Mais quelque chose clochait....

Elle n'avait pas repris sa forme initiale. Et oui c'était bien ça, cette eau...ou ce qui semblait l'être. Non ça ne devait pas en être puisque son corps n'y réagissait pas. Et pourtant ça y ressemblait, elle pouvait même voir à travers des sortes de petites courbes. Mais qu'était-ce donc dans ce cas??

Soudain, sur sa gauche un reflet attira son attention. Tournant la tête pour examiner cet espace, elle se rendît compte qu'il s'agissait d'une image, se penchant pour mieux distinguer ce phénomène, elle fût happée, tirée dans les profondeurs de cette eau.

« Mais c'est moi », se dit-elle étonnée, « Moi, oui mais jeune sirène » Cette scène la montrait encore enfant, ensommeillée, dans les bras de sa mère, chantant pour l'endormir. L'image se brouillait pour réapparaître encore plus claire mais dévoilant une autre scène, la naissance des jumeaux, ses chers frères morts trop tôt. Même si elle l'avait voulu, elle ne pouvait détourner le regard de cette succession de scènes montrant son passé, apparaissant et disparaissant dans une quasi régularité. Ici son village un peu en retrait d'Ermaliss, là c'était sa première sortie dans le port de Reilor, elle vit des pécheurs, connu le sable fin, la première transformation de son corps en humaine. Tout lui apparaissait, le raccourcissement de sa queue, la disparition progressif de ses écailles ainsi que le remplacement de sa couleur naturel pour devenir blanc pâle. Elle s'était vraiment amusée ce jour là, incapable de se mettre debout puis obligée de se tenir à la rambarde du port pour marcher. Que de fous rires, que de souvenirs enfouis. La vue de ces premiers humains, l'odeur de la mer différente, tout lui revenait en mémoire. Les scènes se succédaient sans le moindre répit, elle se vit dans les forêts sous marine, dans la ferme de son père, jouant au schibs...

« Non » « Pas ça », elle ne voulait pas voir cette scène là! Elle ne voulait pas revivre ces instants de douleur. Mais la force du lieu l'y contraignit, ni pitié, ni compassion ne pouvait avoir place ici. Elle fut obligée de voir la lente agonie de ses frères, toussant, vomissant, crachant du sang bleu, leur corps d'habitude si froid devenant brulant. Seule de la famille à ne pas avoir été touché par cette étrange maladie. Elle devait continuellement passé d'une pièce à une autre, d'une chambre à une autre, également s'occuper des Zashis dans leur enclot. Malheureusement maladie inconnue, aucun antidote n'avait été prévu, et l'on devait attendre que les savants du roi trouve la solution. Et puis se fût la mort.....Vanir fût le premier à mourir, il mourut alors qu'elle était dans la chambre de ses parents. Un regard vitreux fut tout ce qu'elle vit de lui quand elle rentra dans la pièce. Mais elle ne pleura pas, non elle ne pouvait se laisser aller, qui s'occuperait des autres si ce n'était elle? Elle prît juste entre ses doigts, caressant ce frère bien aimé, quelques mèches de cheveux, les embrassant une dernière fois. Quelque jours plus tard se fut Ullvir, elle lui tenait la main, souriant dans son délire, appelant son frère sans répit. Ses yeux s'ouvrirent puis se tournèrent, son regard rencontra un instant celui de son aînée.« Kyl.. » Un léger trésaillement....et ce fut la fin... Comme la première fois Kyllian enferma sa douleur au plus profond de son être.Chassant tout sentiment de tristesse de son cœur, toute velléité de rébellion contre ce destin injuste. Il fallait s'occuper de ses parents....et d'un autre enterrement.

Une nouvelle scène apparut. Population diminuée de moitié, population affaiblie de douleur...Là, au loin, apparaissaient des tritons en armes. Le chef du village ordonna que toutes les familles envoient les membres de leur famille valides au combat. La son père à peine remis de sa maladie, lui interdisant formellement de sortir. Elle le vit prendre son arme, le trident emblème de la mer, et se joindre à la résistance. L'image se changea, le chef du village exhortant les villageois à combattre, il ne fallait surtout pas se laisser déposséder des Zashi.

Enfermée avec sa mère, bruit de combat au loin, regardant droit devant elle, attendant pendant des heures que s'ouvre la porte et voir rentrer son père. Et puis la porte s'ouvrant enfin....mais ce ne fut pas lui. Elle entendit à peine Valern annoncé que celui-ci était mort, elle entendit à peine sa mère sangloter de douleur, entendit à peine ce triton leur raconter le venue de l'armée pour arrêter cette bataille fratricide, les exhorter au calme. Elle regarda avec indifférence ce messager de la mort déposer le trident familiale et s'en aller. Qu'importait tout cela? Elle ne souffrait pas, comment un être dépourvu de sentiments pouvait souffrir? Elle se demandait seulement si désormais tout lui serait perçu de la même manière, mais peut importait, l'indifférence, son indifférence la protégeait à présent. Sa carapace était forgée , elle devint froide pour éviter de s'engager, ferma son cœur aux autres. Ne plus penser, ne plus aimer serait sa nouvelle doctrine...telle était le prix à payer pour ne plus souffrir.

Elle se vit de nouveau entourée par les villageois, écoutant l'un des savant du roi Sulesgal venue d'Ermaliss, leur annoncer qu'un antidote avait été trouvé. Cette maladie venait d'une nouvelle espèce d'algues que les Zashis avaient consommé. En mangeant la chair du Zashi, ils s'étaient contaminés. Quelle ironie du sort. Ceux pour qui son père était mort, étaient la cause de leur malheur.

Et puis le néant, l'eau un temps sombre redevint transparente et inerte, coulant le long de ses doigts, comme si sa vie avait pris fin à cette époque. Était-ce là, le prélude de sa mort?

Je te souhaites la bienvenue officieusement, Kyllian ^.^

Merciiiiii c'est très gentil

@Ether: J'ai changé le roi contre un de ses savants^^

Et ravie de faire partie officiellement de ce forum

Héhé bienvenue officiel Kyllian !

Tu vas bientôt pouvoir rpppp haha !

Oui bienvenue ! Amuses toi surtout ! ^^

Alors alors…
Me revoilou enfin avec mon piti internet ! Désolé pour le temps, finalement je n’ai pas eu accès au net (mais, façon vu le boulot que l’on avait, je n’avais pas franchement le temps ni la tête à ça) Bref…assez parlé de moi !

Alors moi l’histoire me va très bien !

Juste petit chose pour le passage de la mort en écume. Ce n’est pas possible cela en fait XD. Si tu te réfères à l’histoire des sirènes, il y a eu une période où les humains les péchaient
pour les manger. Alors, si elles se transformaient en écume ça aurait été pas franchement pratique, nan ? XD
Voilà, il ne faudrait que changer cela et ce sera tout bon !


Edit: Si tu pouvais aussi modifier "maire" par "chef de village" ca concorderait plus au fait que l'on soit en monarchie. ^^

pas de problème je ferais ça plus tard dans la journée^^ (je viens de rentrer hé hé)

Ah voila, c'était le maire aussi qui m'avait fait tiquer à la première lecture mais que je retrouvais plus XD

Bref, pas d'inquiétude Kyll, on a pourri ta fiche avec pleins de messages, mais quand tu me diras que tu as modifié ce qu'il faut, je nettoierais tout ♥

Voila voila^^ Tout a été changé selon vos désirs :p

Et puis vous n'avez pas pourri ma fiche^^

oh, je vois un petit "maire" qui se balade

Sinon c'est bon pour toi!

Juste un rappel par rapport a ton esquisse: Les sirènes peuvent passer, grand maximum, une demi journée en dehors de l'eau en s'hydratant régulièrement. Pas vraiment toute les 12 heures donc... (après, pour faire plus, elle peut faire une loooongue baignade dans la rivière pour tenir le coup, mais rien ne vaut l'océan pour une océanide/mermaïde. ^^)

Allez! Bon jeu!! Tu vas avoir ton rang à bubulles!

Et voilà, tu es dans le groupe des sirènes et tu as ton rang à bubulles comme dit Arhid!

J'en profite pour te souhaiter la bienvenue, officiellement cette fois!
Encore merci de ta patience, t'as été super =)

Ouais vive les bubulles xD

A moi les rp xD