Aïklando
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"Homme libre, toujours tu chériras la mer !"
"La mer enseigne aux marins des rêves que les ports assassinent."
"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit."
"Il est des moments où les rêves les plus fous semblent réalisables à condition d'oser les tenter."
"Le voyage est une suite de disparitions irréparables."
"Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil."
"Dieu nous rêve. S'il s'éveille, nous disparaissons à jamais."
"Nous trouverons un chemin... ou nous en créerons un."
"Le rêve de l'homme est semblable aux illusions de la mer."
"Il n’est pas de vent favorable, pour celui qui ne sait pas où il va…"
"Il y a trois sortes d'hommes : les Vivants, les Morts, et ceux qui vont sur la Mer."
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 Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!

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Wilaine
~¤Centaure¤~

Wilaine

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MessageSujet: Re: Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!   Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!! - Page 2 EmptyJeu 07 Juil 2011, 17:41

Je galopais tant bien que mal derrière les autres, ralentie par le poids de Kaplen et le baril de poudre, qui, hélas, était vide. Je le laissais tomber devant les gardes, faisait chuter plusieurs d'entre eux, qui se relevèrent bien rapidement. La situation devenait vraiment critique et je commençais à perdre patience, ce qui ne m'arrivait jamais en temps normal. Ou lorsque cela m'arrivait, j'avais mon épée à portée de main, et je faisais un massacre digne de hanter mes rêves pendant plusieurs mois.

Nous passâmes les portes de la ville, Niüna et Pampelune en premières, suivies de Lunielle et Unded. J'arrivais dernière, et les gardes à pied commençaient à fatiguer sérieusement. Bon point pour nous. Jusqu'à ce que j'entende la garde montée arriver au galop.

J'étais à bout de souffle, exténuée, meurtrie comme pas possible. Mais j'accélérais encore, passant devant le reste de la troupe, et arrivant avant les autres devant l'Opale. Une partie de l'équipage avait déjà mis une barque à flots pour nous rejoindre, et deux hommes avaient déjà accostés. Je posais Kaplen dans la barque, ou le jetais, trop fatiguée pour maîtriser mes gestes. Les deux hommes virèrent au blanc en voyant l'état du capitaine. Ils comprirent d'eux même l'urgence de le ramener à bord, et je leur demandais, à bout de souffle, de m'amener mes affaires. J'avais fait mon choix.

Je n'avais aucune arme sur moi et Lunielle avait réussi à abattre la plupart des gardes. La deuxième barque accosta, et plusieurs membres de l'équipage, armés, coururent en direction du reste des gardes. Pampelune et Niüna sautèrent habilement de leur montures respectives. Les deux animaux tremblaient de fatigue et de peur. Unded et Lunielle sautèrent dans la barque avec les deux jeunes femmes, et tous me regardèrent. Ils m'attendaient. Je continuais à fixer la bataille, deux marins s'étaient déjà écroulés, mais aucun des huit gardes restant. L'un d'eux monta une corne de brume à sa bouche, appelant à l'aide. Je reprenais doucement mon souffle, tandis que Pampelune me hurlait de monter sur la barque.

Les hommes qui avaient portés Kaplen revirent, mes affaires dans la barque. Je les attrapais, les attachais en un rien de temps sous le regard incrédule du reste de la troupe. Les hommes tentèrent de sortir de la barque pour rejoindre leurs compagnons au combat, mais je les en empêchait, les repoussant à chaque fois. Je regardais en direction du combat. Les cinq matelots étaient morts, et les gardes venaient dans notre direction. Je poussais la barque à l'eau, criant aux autres de partir vers l'Opale, puis galopais en direction de la forêt, poussant un hennissement strident. Les gardes n'en avaient que faire de moi, et poussèrent les chevaux à entrer dans l'eau pour rejoindre les barques. Seul bémol, les chevaux n'entreraient pas dans l'eau, vu que je leur avait fait comprendre qu'ils n'en sortiraient pas vivants si ils mettaient les sabots dans ce liquide.

Je continuais à galoper vers un promontoire, proche de l'orée de la forêt. De là, je pouvais voir les deux barques arriver à hauteur de l'Opale, et les gardes ainsi que leur renfort rester bredouilles sur la rive. Je me retournais, contente que la situation ait évoluée en notre faveur, puis entrais dans la forêt.


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Kaplen yl Tyr's
*Humain*

Kaplen yl Tyr's

*Humain*

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MessageSujet: Re: Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!   Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!! - Page 2 EmptyJeu 07 Juil 2011, 23:33

Froid, douleur... Kaplen tanguait entre deux eaux. Il oscillait entre conscience et inconscience et plongeait de plus en plus vers l'obscurité. Par moment, ses oreilles portaient jusqu'à lui des hurlements étouffés, des éclats d'explosions qui semblaient aussi lointaines qu'imaginaires. Il sentait son corps, par longues vagues brûlantes et douloureuses. Des chocs, du mouvement, le sang chaud qui se refroidissait sur sa poitrine et sur son ventre. Des odeurs: le sang, cuivré, métallique, écoeurant, l'odeur de Pampelune qui le tenaillait encore et encore jusqu'au plus profond de ses rêves.

Puis plus rien. Le néant.

Lorsqu'il se réveilla, le jeune capitaine eut du mal à émerger. Que se passait-il? Où était-il? Ses derniers souvenirs remontaient à la prison... Puis après... Y avait-il un après d'ailleurs?
Il ouvrit les yeux. Mais la brûlure de la lumière lui fit si mal qu'il les referma immédiatement. Brûlure... Douleur! Il se souvenait!

Dans sa tête, l'ensemble ressemblait encore à un tableau que l'on aurait baclé, mais il voyait tout. Le gibet, Unded, les combats, le sabre, le sang, les gardes, les morts, Pampelune, les coups de pistolet, les rats... Et puis cette douleur qui avait irradié depuis sa poitrine. Les deux tranchants de la lame contre sa propre chaire. Leur brûlure, leur morsure... Kaplen se releva d'un bond et poussa un cri de douleur. Les yeux grand ouverts, il put distinguer autour de lui Pampelune, Unded, Niüna et Lunielle qui avaient visiblement été plus surpris encore que lui par son réveil.

Pampelune se sépara de Keinvor et vint à son chevet. De lourdes larmes de joie roulaient sur son visage et elle lui supplia de rester sagement allongé. Niüna et Lunielle s'avancèrent à leur tour et lui demandèrent comment il se portait. Si la douleur était supportable... Kaplen ne répondit pas. Il fixait le hublot de la cabine avec intensité... Depuis quand était-il sur l'Opale. L'Opale? Les flots noirs de l'océan bougeaient comme s'ils avançaient eux mêmes....

-Nous...?

-Garde ton énergie pour autre chose que les questions. Tu en as besoin. Le coupa Niüna.

Le jeune homme obtempéra mais il sentait le flot de questions se masser à l'entrée de sa bouche.
Il jeta un regard en direction de sa poitrine, mais cette dernière était bandée. Et il n'avait pas si mal que ça au final. Il allait même plutôt bien. Tentant de se lever, il fut rapidement arrêté par Niüna et Pampelune qui le contraignirent à rester allongé.

-Il y a toujours un risque que les plaies ne se rouvrent. Ajouta la jeune elfe.

-Pourtant Lunielle tu avais réussi à la guérir...

-C'est une elfe, tu es un homme. On ne cicatrise pas tous à la même vitesse.

-Je veux savoir ce qu'il s'est passé... Après...

Pampelune prit la main de Kaplen en souriant tristement et commença à lui expliquer comment ils étaient parvenus à s'enfuir. Niüna, Lunielle et Unded complétaient et ils finirent par parler du départ de Wilaine, aussi rapide qu'imprévu. Kaplen se doutait qu'elle ne reviendrait pas. Sa place n'était pas sur un bateau.... Mais il avait désormais une dette envers elle. La dette de sa propre vie.

Le jeune capitaine se redressa, faisant fi des mains qui se collaient contre lui pour le maintenir en position allongée. Il ne supportait pas cela. D'autant plus que l'Opale voguait et qu'il n'était pas là pour s'en occuper. Plus qu'une torture, c'était pour lui un déshonneur.

-C'est bon je vais bien merci. Se contenta t-il de dire, exprimant ainsi son désir de solitude (pour pouvoir enfin se lever)

Unded ne se fit pas prier. Il fut suivi par Lunielle et Niüna, qui le quittèrent avec un oeil mauvais. Pampelune resta à ses cotés. S'asseyant sur le bord du lit, il lui expliqua que les deux elfes avaient vraiment fait du bon travail et qu'il se sentait vraiment bien.

-Elles m'ont dit de ne pas te laisser quitter ton lit!

-M'en fiche. Grogna t-il entre ses dents.

Accompagnant le geste à la parole, le jeune homme se leva. Il se rendit alors compte qu'il ne portait rien... Ou peut être fusse le regard de Pampelune qui visait un peu en biais dans une direction plus que douteuse qui le lui apprit. Ne pouvant s'empêcher de rougir devant la femme avec qui il avait eu un enfant, Kaplen se précipita (à la vitesse d'un blessé) en direction de la malle et y sortit un pantalon qu'il enfila le plus prestement possible.

Lorsqu'il eut enfin retrouvé son intégrité, le jeune homme s'approcha de son épouse et lui prit les mains. Elles étaient douces malgré toutes les épreuves qu'ils avaient enduré... N'y tenant plus, il l'embrassa avant de s'esquiver sur le pont. Une bien mauvaise feinte, pensa t-il. Mais au moins était-elle sincère. Kaplen aimait Pampelune plus que tout au monde, mais il n'aurait pu la laisser lui rendre son baiser... Une question d'endurance tout simplement.

Lorsqu'il sortit sur le pont, l'iode et la brise marine se jetèrent sur son visage comme des amis retrouvés après de longues années en solitaire. Cela faisait du bien, mais pas autant que de se savoir au bord de l'Opale. Ils s'en étaient finalement sortis... Avisant le bandage qui lui ceignait le torse, Kaplen se félicita intérieurement d'avoir accepté des elfes dans son équipage. C'était rudement pratique mine de rien.
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Lunielle Elwindor
*Elfe*

Lunielle Elwindor

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MessageSujet: Re: Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!   Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!! - Page 2 EmptyVen 08 Juil 2011, 17:51

Je soupirais puis sortis à contre coeur de la cabine en jettant un regard noir au capitaine. Si les blessures se rouvraient, c'était sa faute, il avait été prévenu. Je descendis ensuite sur le pont, laissant Niüna et Unded vaquer à leurs occupations. Je soupirais encore. Je ne connaissais pas grand monde dans l'équipage pourtant, j'avais le sentiment d'être à ma place sur l'Opale.

Je m'approchais de la rambarde de tribord et regardais les vagues s'écraser sur la coque, projetant de l'écume blanche tout autour. Je ne savais absolument pas ce qui avait poussé Wilaine à partir, ni si elle allait revenir un jour. Pourtant, la centaure était une camarade non ? Une amie. Je ne comprenais pas son choix mais je n'avais pas à le comprendre, c'était sa vie pas la mienne.

Je levais ensuite les yeux, les laissant se perdre dans l'horizon lointain. Le Vent s'engouffra alors dans mes cheveux, les ébouriffant et me soufflant au visage un parfum de sel et de coquillages. Je respirais à pleins poumons cet air si frais. J'avais déjà vécu quelques temps sur un navire mais je ne savais pas quel était ma place à bord. Car l'équipage comportait maintenant deux elfes. Niüna et moi étions pourtant bien différentes.

Je souris enfin et me retournais, fixant le grand mât. Tout en haut se trouvait la vigie. Étais-je encore capable de chevaucher le Vent ? Cette question m'obsédait depuis plusieurs jours. Je n'avais pas pratiquée depuis longtemps et ces exercices nécessitent une énorme quantité d'énergie. Mon sourire disparut, mon visage se fit concentré et je m'approchais à pas lents du mât.

Une fois au pied, j'enlevais mes cuisardes et promenais mes pieds nus sur le bois du pont. Sentant chaque veine, chaque petite coupure dans le bois, je fermais les yeux et laissais le Vent jouer avec mes anneaux d'argent. Puis, saisissant une corde qui pendait, je me hissais d'un bond agile. Je me déplaçais rapidement, faisant tournoyer le Vent autour de moi afin de ne pas tomber. À mi-chemin de la vigie, je relâchais la pression et me laissais tomber dans le vide, tenant toujours le cordage. Me balaçant allégrement de gauche à droite, se me coulait entre les différents courants d'air et j'arrivais enfin dans la vigie.

J'atterris souplement et repris mon souffle. Puis j'observait l'horizon de là-haut. La vue était magnifique, comme toujours. Je fis ensuite un petit tour sur la barre du grand hunier et m'assis dessus, les jambes dans le vide, le coeur léger. Puis je me laissais bercer par les caresses du Vent, heureuse d'avoir retrouvé la forme.
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Unded
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MessageSujet: Re: Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!   Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!! - Page 2 EmptyMer 13 Juil 2011, 15:51

-C'est bon je vais bien merci.

Je me pressai de sortir,sans cacher un certain soulagement, je n'aimais pas veiller les blessés, une perte de temps inutile. Sur le navire, les marins s'activaient,essayant de mettre le plus vite possible une bonne distance entre nous et la ville. Mon épaule, rafistolé à la va vite me démangeai, me faisait encore souffrir par moment.

Lorsque nous étions montés sur le navire les elfes c'étaient précipitées sur le capitaine. Les ignorant j'avais été dans la cale pour trouver une aiguille du fil, et une bonne bouteille de Rhum. Le fil et l'aiguille pour me rafistoler, la bouteille pour me donner du cœur à l'ouvrage ! Lorsque l'aiguille pénétra ma chaire je ne pus retenir un gémissement. Cela dura une ou deux minutes...pendant lesquelles j'avais presque fini la bouteille, heureusement que je tenais bien l'alcool... Ensuite j'allais me laver de tout le sang qui maculait mon corps, puis je m'étais endormi dans un sommeil sans rêve. Au bout d'un moment, l'on me réveilla, me demandant de rejoindre les autres dans la cabine du capitaine, remarquant que j'étais encore nu,je m'habillais en vitesse et remontais vers le pont.

Tout ce dont j'avais envi maintenant, c'était une bonne clope. Avisant un marin fumant non loin ,je lui pris une de ses cigarettes et m'assis sur le pont, fixant le grand mât, puis la vigie, j'aimais beaucoup cet endroit, l'on y était tranquille,un endroit à part. Soudain, je vis la nouvelle se mettre à grimper le cordage qui menait jusqu'à la vigie. Elle semblait bien s'adapter à la vie sur le navire, enfin, ce n'était pas mon problème. Je me perdis dans mes pensées un petit moment, puis je m'endormis, rêvant d'évasion de prison et de course poursuite...

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Pampelune
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MessageSujet: Re: Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!   Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!! - Page 2 EmptyMer 27 Juil 2011, 21:04

La jeune femme regarda son mari sortir de la cabine. Elle s'approcha de l'endroit ou dormais Keivnor et sourit tristement. Elle savait qu'elle avait pour chéri un homme de la mer mais parfois c'était trop. Elle voyait bien qu'il souffrait. Les blessures qu'ils avaient, étaient bien trop importante pour que l'on y prenne pas garde. Dans certain moment comme celui ci elle ce demandait si son mari n'était pas son deuxième enfant. Il n'avait donc pas conscience de ce qu'il pouvait arriver? Que ferait elle avec Keivnor si à cause de la négligence de Kaplen elle et Keivnor se retrouvait seul? Leur vie deviendrait alors encore plus compliqué qu'à l'heure actuelle. Ils n'avaient pas de maison et ils étaient tous rechercher mort ou vif par les gardes de Lan rei. Le bateau était beau et confortable mais jamais elle n'en pourrait devenir le capitaine ou serai accepter avec un enfant à y rester "par confort. Elle soupira et câlina quelques minutes le bébé. Elle était songeuse.

Elle reposa l'enfant, attrapa son sac de matériel pour dessiner et en sorti une grande boite. Elle l'ouvrit et admira sont contenue. Kaplen lui avait offert cette tablette aux multiples couleurs à la naissance du petit. Elle la posa sur une chaise à côté de la table vira les cartes. Elle en avait par dessus là tête de certain saut d'humeur du capitaine et son dessin allait le lui montrer. Elle attrapa un charbon et commença à tracer
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MessageSujet: Re: Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!   Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!! - Page 2 EmptyMer 27 Juil 2011, 21:26

Kaplen profita un long moment du pont avant de lancer un regard entendu à ses marins et de rentrer. Rester dehors ainsi demeurait une torture, à la fois physique (même s'il n'osait l'avouer, son corps le faisait affreusement souffrir) et morale. Il voyait tous ses hommes travailler comme si de rien n'était alors qu'il était lui même quasi incapable de donner le moindre ordre.

Le jeune capitaine traversa le couloir du château puis entra finalement dans sa cabine. Il allait se poser sur son bureau, pour profiter de sa quasi immobilisation pour travailler ses cartes (où allaient-ils pouvoir aller?) lorsqu'il se rendit compte que Pampelune s'y trouvait déjà et qu'elle griffonnait sur la table. (Griffonner sur la table? HEIN? QUOI? NON MAIS ÇA VA PAS LA TÊTE!!!). Kaplen se pencha dans sa direction pour essayer de distinguer ce qu'elle dessinait. Lorsqu'il fut dans la bonne position, il s'approcha du bureau et parvint enfin à apprécier l'ensemble du dessin.

-Je rêve de rencontrer un vrai dragon. Dit-il simplement en grimaçant (ses contorsions le faisaient souffrir plus que de raison).

En effet, Pampelune était en train d'exécuter une magnifique représentation de plusieurs animaux qui se battaient.
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MessageSujet: Re: Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!   Quand la chance nous quitte, on se retrouve dans la m****. SHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!! - Page 2 EmptyJeu 28 Juil 2011, 14:00

Appliqué sur sont dessin elle n'avait pas vue arriver Kaplen.

-Je rêve de rencontrer un vrai dragon.
Elle sursauta et hurla de peur. Elle se retourna en rigolant.

-Ce n'est pas n'importe quel dragon c'est toi.

Elle pose le pinceau qu'elle tenait et se blottit contre lui puis soupira d'aise.

-Le dragon c'est toi, l'iguane et son oeuf représente ton fils et moi. Les autres créatures plus ou moins difformes représentent les ennemis et les danger qui pourraient se dresser contre nous.


Elle planta son regard azur dans celui de son amour et le sourire qui avait quelque temps auparavant envahi avait disparut et seul le sérieux luisait.-J'ai envie de te faire comprendre que la vie est dangereuse. J'ai paint se tableau... enfin cette table pour te montrer ce qui peux arriver.

Elle posa deux doigts au niveau des dangers.

-Ils peuvent venir de n'importe ou.
Elle passa d'une des créatures à une autres, puis encore une autre.

-Ils sont nombreux et peuvent venir de n'importe où. Peut etre de la mer, du ciel ou même de la terre.

Elle passa la mains une étrange crétures ressemblant à un serpent avec une tête humaine puis sur un dragon qui venait du ciel avec une langue fourchu et enfin sur un monstre rouge avec un corps de bouc et à la tête d'une effigie d'une religion ancienne.

-Le dragon au centre, toi, prend des risques. De nombreux risques. Trop de risques. La griffe de la bête de la mer risque de le transperser ou la gueule du dragon s'illumine signe de la naissance du feu à l'intérieur de lui.

Elle savait que son mari suivait chacune de ses paroles et buvait ces mots.

-La mère iguane, moi, risque de se retrouvé seule. Mais comment fera elle une fois que son mari sera mort ou blesser trop gravement? Elle n'a pas d'ailes, elle ne peut pas fuir, elle ne crache pas de feu et ne peu donc pas se défendre.

Elle se retourna vers son mari tout en recouvrant de sa main l'oeuf.

-Si elle meurt parce que son mari n'a pas sur la protéger et que les ennemis était bien trop nombreux pour qu'elle puisse se défendre, que deviendra l'oeuf? Jveux que tu réfléchisses à ceci.

Elle l'embrassa en douceur et passa ces mains sous sa chemise attendant une réponse.


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