(J’essais le style a la première personne ^^’’ si c’est trop laid dit le et je change)

J’avais tellement mal dormit… il faut dire que les racine ne font pas un bon matelas et les feuilles n’aident pas. Qui dormirait la dedans de toute façon me demanderiez-vous? Un fou qui est maudit par les loups. Le soir je me couche, le matin me je réveille ailleurs. Pas très pratique niveau localisation. La géographie n’avait jamais été mon point fort quand j’étais jeune de toute façon, alors le jour je me promène comme un esprit errant. Des esprits, croyez-moi j’en voix pas mal, chaque jour je dois tenter de fuir ces monstre qui veulent ma peau. Réel ou non, je les fuis. Je ne sais pas pourquoi je m’accroche autant en la vie alors qu’elle ne m’apporte rien. Pourtant, je continu chaque jour à me lever et marcher.

Je ramasse mes avoir avant de partir pour une nouvelle journée ennuyeuse. Je replaçai mes deux épées à ma taille et je me mis en marche. Je commençais à peine à marcher que l’ombre montre la bout de son museau. j'accélérais le pas jusqu'à se que j'entende ces pas de plus en plus près, alors, je me mis à courir. A vive allure, j'évitais les arbres et les branches qui m'aurait emmener inévitablement a ma mort.

M'agrippant au branche assez solide, je les utilisais pour me propulser de l'avant. S'était un petit truc que j'avais appris d'un de mes souvenirs de loup-garou. Lors de ces poursuite, mon esprit changeait presque complètement. Je courais pour protéger ma vie et ces dans ces moments que je comprenais que ma vie était précieuse. Je chérissais tout les moments, même les plus pénible comme celui-ci, je vivais pour la sur dose d'adrénaline que mon corps m'envoyait. Oh non, je ne mourrais pas aujourd'hui.

Évitant un gros arbre par la gauche, le sol céda sous mes pieds et je fit une chute de plusieurs mètre dans un éboulement de terrain. J'atterris devant un groupe d'homme a cheval. D'un rapide coup d'œil je m'aperçus qu'ils étaient tous armées. Ils avaient du faire un piège a animal, et j'étais tomber dans leur patte comme une bête stupide, enrager je sortis mes lames alors qu'ils se moquaient de moi. J'avais bien vu qu'ils étaient des brigands. Le premier avait dit en me voyant:

-Prenons lui ses armes et son armures, on pourra les revendes a bon prix.

Ne tenant pas a me laisser faire docilement, je me débattis comme l'animal en cage. (Attention scène un peu sadique ^^'')
D'un coup droit de mon épée, je trancha les jambes du cheval en fasse de moi, celui-ci s'écroula et son cavalier chuta sur mon arme. Je fit une pirouette sur moi-même pour me redresser et d'un bond je fus sur mon autre assaillant, celui qui bandait son arc. Faisant un gras arc, je lui trancha un bras et quelque doigt. Avec ma seconde épée, je le vis mourir sur le sol, laissant sa monture fuir. Me servant de mon épée comme d'une arme de lancé, j'atteignis l'homme a la lance qui fonçait sur moi. Avant qu'il ne touche le sol, je retiras ma lame de son cerveau tendis que son sang recouvrait le sol. Je bondis sur le quatrième homme, mon épée pleine de sang lui trancha la gorge tendis que j'effectuais une acrobatie dans les airs pour éviter un coup de hache provenant du dernier de la bande, probablement le chef. Je sentais mon sang pomper dans ma tempe, mon souffle était rogue et j'avais une douleur aigüe dans les cotes. Je bondis que sur le quatrième cheval pour tomber derrière le chef. En deux coups son corps soulager de sa tête s'écroula sur le sol et la tête roula un peu plus loin.
(fin du gore)

Sur le cheval, je continus mon chemin. Je voyais bien que dans les bois, la bête sombre me fixait. Je me rendis dans le village le plus près. Avant d'y entrer, je me nettoyas dans un petit ruisseau non loin, rapidement quand même, je ne désirais pas m'arrêter trop longtemps au même endroit. Mon corps était tout endoloris du combat qui avait pousser mon corps a ses limites. Quand l'esprit de guerre animal prenait le dessus, j'étais fort, mais fragile. Après mettre séché, je rentra dans la ville avec le cheval. J'aperçus au loin une jeune personne. Elle semblait désorienter, mais en voyant sa tête je me demanda si elle était une des Nékos qu'il avait entendu parler.

Peut-être qu'en l'interrogeant j'aurai des réponses a fournir a sa curiosité. je m'approcha d'elle et mit pied a terre. je faisait assez curieux quand même, assez grand avec la barbe et les cheveux noirs. Assez pouilleux on dirait. Ma grande cape cachait mon corps et mes armes. N'étant pas dupe, je vis qu'elle semblait avoir faim, et le stand semblait l'intéresser. Je décida de fouiller dans les sacoches du cheval et pour mon plaisir, j'y trouva du pain et des pommes.

-Venez avec moi et je vous partagerais mon repas, lui offrit-il.

J'avait vu un endroit calme a l'entrer de la ville ou nous pourrions discuter en paix. Si elle n'avait pas peur de moi comme toutes les autres...

Je marche donc tranquillement quand j’aperçois ce magnifique stand de fruits et légumes. Les clients se bousculent et attrapent des pommes, des poires et des oranges, sans gène et les passent au marchant qui cri à tue tête : « Venez gouter mes fruits et mes légumes, ils sont bons, ils sont frais, et en plus ils ne sont pas chers ! » Il répète cela encore et encore comme une bande passante.

Je ne bouge pas et reste à l’ombre en attendant que le marchant soit entièrement occupé. Mais alors que je m’approche pour saisir une pomme rouge, lorsque j’entends la voix grave d’un homme résonner dans mes oreilles.

« Venez avec moi et je vous partagerais mon repas »

Je me retourne lentement et regarde l’homme qui semble s’adresser à moi, Il est grand, du moins par rapport à moi et est recouvert d’une grande armure qui lui recouvre le corps, je peux deviner que deux armes métalliques, ou deux lames peut être se cachent sous sa grande cape, mais bon peu importe, il me propose de quoi manger et je meurs de faim. Je le regarde et lui sourit, c’est quand même sympas de sa part de me proposer sa nourriture.

Je remarque alors que tout le remue ménage qui se faisait autour de moi, semble s’être arrêté. En effet, la populace prés du stand, nous observe et nous scrutent sous toute les coutures. Je sens mon visage se réchauffer et mes joues rougirent, moi qui déteste attirer l’attention c’est loupé. En même temps, l’homme est plutôt grand et son cheval, impressionnant. Je me retourne vers lui, et commence alors.

« Merci à vous c’est très gentil de me proposer cela, je suis affamée. »

Je lui souris et le contourne, je suis maintenant derrière lui et le regarde.

« Cela, ne vous dérange pas si nous allons ailleurs, cet endroit est plutôt bruyant »

Le bruit semble revenue autour de nous à présent, le marchant à recommencer à crier sa phrase habituelle et les gens affluent à grand nombre. L’homme ne me répond pas mais marche lentement aux côtés de son cheval, comme une idiote, je le suis sans rien craindre de sa personne, je sais pourtant qu’il a des armes, mais il ne dégage rien de mauvais.

Le temps est frais la ou nous arrivons, il n’y a plus de bruit, le vent semble être le seul à se manifester dans les arbres et l’herbe verdoyante. Je le vois s’asseoir dans cette herbe, non loin d’un grand arbre, je m’avance alors et fait de même. Je suis plutôt relâché, et loin d’être sur mes gardes ce qui n’est pas prudent, je ne connais pas cet endroit ni ses habitant et pourtant, je me laisse mener au milieu d’un terrain vague, ou seul le vent semble nous surveiller.

Je regarde toujours autour de moi, lorsque mon regard se pose sur l’homme, il à un visage serein, et à une odeur de fer, un peu comme le sang, je dirai, mais je n’y connais pas grand-chose donc je ne m’avancerai pas là-dessus, ses joues sont à peine creuses et ses yeux transmettent une légère fatigue. Je me demande encore qui il peut bien être. En tout cas il à une apparence et une voix humaine. Mais je ne connais rien, je suis vraiment perdue, c’est un peu comme quitte ou double, suis-je ou non tombée sur une bonne personne ?

Je l'emmène avec moi, le regard des gens ne me gène pas, j'ai l'habitude d'être regarder comme un animal ou un être bizarre. Certains jours, j'aurais peut-être voulu mettre quelque énervant en pièce, mais j'ai compris avec le temps que j'étais mieux de garder, ou du mieux d'essayer, un profile bas. On dirait qu'ils le savent qui je suis. Mais quand mon coté animal a bien mangé, je me sens plus calme, plus serein, jusqu'à se qu'on me poussent a bout, évidemment. Et pour cela, il n'en faut pas beaucoup.

Rendu a l'endroit désigner, je lui offrit une pomme avant de m'assoir par terre près d'un arbre. J'étais vraiment épuiser et cela me dérangeait. Mais bon, je devais faire avec. Je sortis mes deux épées et je les plantas dans le sol, les lames étaient encore un peu rouge, mais je ne m'en préoccupa pas. Je pris un grande boucher dans une pomme et l'avala s'en même sembler mastiquer. Le goût des fruits et légume m'étaient rendu dérisoire face a la viande, mais je n'en avais pas sur moi.

-C'est quoi ton nom? Demandais-je après qu'elle est finit sa pomme.

Après un moment, je cherchas une bonne façon de poser mes questions, puisque j'en avais quelques unes. Cela m'étonnait qu'elle m'est suivit, mais je ne m'en plaignait pas.

-Hum... alors dit moi, on est ou au juste? Quel pays et quel ville?

Si j'apprenais au moins cela, je pourrais évaluer ma situation et peut-être me faire une carte, a peut près utile. Je sortis deux miche de pain et lui en donna une. Je n'avais malheureusement rien a boire. Elle devait se poser des questions, car je bougeais la tête d'un bord a l'autre, comme si je me méfiais de quelque chose sans même m'en rendre compte. Je me méfiais d'une ombre qui n'existait que dans ma tête. Et oui j'étais un peu fou sur les bords, mais qui pourrait bien me le reprocher?

Je commença a me faire des plans. Je devrais premièrement vendre le cheval puisque aucun animal ne me suivrais bien longtemps. Avec l'argent, Je pourrais m'acheter de la nourriture ou un truc du genre, mais a quoi bon? Je perdrais tout a ma prochaine transformation de toute façon. Aucune chaine et aucune barricade ne pourrait retenir mon coté animal, alors tout aussi bien continuer comme je faisais, quoique je commençais a avoir froid des pieds, heureusement mon système m'avait rendu immuniser contre les maladies normal comme la grippe. Au moins il y avait sa de bien...

J’avais suivit l’homme que je ne connaissais pas et que je ne connais toujours pas d’ailleurs, jusqu'à cette grande prairie verdoyante. Je ne le quitte pas du regard, pour essayer d’anticiper un minimum ses faits et gestes, un peu pour mieux comprendre qui il est, mais il semble rapidement apparaitre comme quelqu’un de simple et de pacifique. Mais je n’y connais rien, le fait d’être sur mes gardes se fait naturellement. Il est sur je ne suis plus comme je l’étais avant, mon apparence physique à changé, mes sens ainsi que mes capacités sont toutes autre, même si pour le moment je n’ai pas encore eu l’occasion de tester quoi que ce soit, je le ressens au fond de moi-même.

Enfin revenons au moment présent, l’homme toujours debout semble trifouiller dans la sacoche toujours accrochée au cheval. Il en sort alors deux belle pomme verte et m’en envoie une, je l’observe alors et lâche dans un murmure, un simple merci. Il ne tarde pas par la suite à sortir deux grande lames précédemment attachée à sa ceinture pour les planter dans le sol. J’observe les lames qui laissent apparaitre une couleur rougeâtre. Mais j’en détache rapidement mon regard lorsque j’entends l’homme s’assoir, dans un bruit lourd, ce qui se comprend étant donné le poids de l’armure porte sur lui. Je me rends compte ensuite que je suis toujours debout et prend place en face de lui. La pomme toujours entre mes mains et mon ventre cri qui famine de plus belle, comme si lui aussi avait compris que dans mes mains se trouvait de la nourriture. Je jette un coup d’œil rapide à l’inconnu et imite ses gestes en croquant dans la pomme. La saveur sucrée et à peine acidulée de cette pomme verte réveille mes papilles. Même s’il ne s’agit que d’une simple pomme, je suis bien heureuse de pouvoir la manger.

J’ai maintenant finis ma pomme, lorsque l’homme commence d’une voie roque :

« C'est quoi ton nom? »

Je le regarde et lui répond simplement

« Mon nom est Uzu »

Je m’apprête alors à lui renvoyer la question mais il poursuit, d’une voix un peu plus lente.

« Hum... alors dit moi, on est ou au juste? Quel pays et quelle ville? »

Cette question était aussi une, parmi les nombreuses que je me posais. Je n’en sais absolument rien et lui répond clairement.

« Je suis désolée mais moi aussi j’ignore ou nous somme… Je suis totalement perdue ».

Je m’étire un instant et observe le ciel bleu, il faisait vraiment beau même si le vent lui était plutôt frais. Je me frotte un peu les mains pour les réchauffer et commence à le questionner à mon tour.

« Et toi comment t’appelles tu ? Es-tu ici depuis longtemps ? »

Je ne vais pas aller plus loin dans mes questions pour le moment, car peu être que lui est ici depuis longtemps et que je vais lui paraîtres bizarre, ce que je n’espère pas vraiment. J’observe à nouveau le ciel qui comme dans mon monde est le même, tout semble identique d’une certaine manière mais d’une autre façon tout est différent. Je me comprends…

Je regardais un peu partout, je ne voyais pas l'ombre elle même, mais je voyais les traces qu'elle avait laissé tout autour du champs. Elle me surveillait. Je dévoras le pain rapidement après qu'elle m'est répondu. Alors la sa avait été du gaspillage de temps et de nourriture. Elle ne savait rien comme moi, mais comment avait-elle fait pour se retrouver ici sans savoir ou s'était? Surtout qu'avec son physique, je doutais fort qu'elle soit capable de se défendre contre des brigands, surtout qu'elle semblait pas trop sur d'elle dans son corps. Elle m'intriguait quand même beaucoup. Pourquoi avait-elle l'air humaine tendis qu'elle était animal? Puisqu'elle ne pouvait pas mettre utile pour me localiser, je pris l'initiative de m'informer sur sa race.

-Tu n'es ni véritablement humaine, mais tu n'es pas animal non plus, qu'est-ce que tu es?

La question était simple, mais je me demandais si elle même le savait. Je me rappelais avoir déjà rencontré des êtres que j'avais appeler hybride, mais je n'avais pas réussit a les interroger puisque j'avais du les tuer. Un peu du gâchis, mais peut-être que j'allais avoir mes réponse finalement, qui sait, peut-être que sa pourrait mettre utile. Quoi étrangement j'en doutait fort.

Dans ma mémoire le combat était encore frais. Les hybrides que j'avais combattu avait des griffes et des crocs qui m'avait salement amocher. Ils étaient quatre, mais seul le dernier m'avait vraiment amocher. S'était un grand mâle avec des muscles puissant. Il évitait mes lames avec aise et labourait mon corps, mon linge et mon armure comme si sa aurait été du beurre chaud. Je me rappelle du combat comme s'y cela aurait été hier, peut-être même que se l'était. Tout se que je me souviens vraiment ces que d'un coup, alors que je me relevais, j'ai lâché un grognement avant de perdre connaissance. Probablement que mon coté animal ma sauver, puisque je me suis réveiller en vie.

Simplement me souvenir de se moment humiliant dans ma vie me faisait rager, alors je tentas de changer de sujet dans ma tête, comme si je revenais des nuages, je portas mon attention sur la jeune fille et je m'excusa en lui demandant de se répéter. Je faisais un peu idiot, demander des trucs avant de partir dans la lune. Mais a vrai dire, j'avais toujours été ainsi. J'étais assez lunatique.

A oui ces vrai, elle m'avait demander mon nom je crois.

-Je m'appelle Serph, et je viens de par la, dis-je en pointant la forêt.

Toujours assise dans l’herbe, je jette de temps à autre de bref coups d’œil à l’inconnu devant moi, il semble comme quelque peu dans la lune et un tantinet absorbé par quelque chose. Je ne sais pas moi-même de quoi il s’agit car j’ai beau regarder dans sa direction je n’aperçois que de l’herbe et quelques arbres par-ci par là. Peut être que quelque chose le suis et que ca l’inquiète du moins c’est ce qu’il laisse transparaitre à être ainsi sur ses garde et à sans cesse observer avec attention chaque bruit, qu’il puisse être un craquement de branche ou le vent soufflant dans l’herbe.
Enfin son regard se pose à nouveau sur moi, qui fais mine de rien et il me demande alors, question à laquelle je ne m’attendais pas d’ailleurs.

« Tu n'es ni véritablement humaine, mais tu n'es pas animal non plus, qu'est-ce que tu es? »

A ce moment je prends une grande bouffé d’air et m’apprête alors à lui répondre d’emblé : « Bien suis que je suis humaine ! ». Mais je serai passé pour une idiote, mon corps a changé je ne suis plus la même, il est dur de ce le mettre dans la tête mais il faudrait un jour que je l’accepte. Je repris mon calme intérieur, et lui répondit calmement.

« Je suis désolée, mais je ne sais pas moi-même qui je suis, je me suis réveillée ainsi dans une ruelle du la ville d’où nous venons. Je ne sais pas plus sur moi, mis à pas que mes sens semblent plus développé, que sur ma tête ont poussée deux oreilles blanche et dans le bas de mon dos une queue de la même couleur. »

Je ne sais pas vraiment à quoi il pense mais cela devait sans doute à se résumer en un « elle est idiote ou quoi », ou peut être « elle ignore ce qu’elle est ? Elle se fou de moi, ou quoi ? » Mais j’étais sincère et ignorait vraiment qu’est ce qu’était cet endroit et encore plus ce que j’y faisais avec ce corps… Il y eu pendant une dizaine de minutes un blanc, qui semblait interminable mais je préférai me taire plutôt que d’empirer les choses. Enfin il semblait perdu dans ses pensées et j’espérai vraiment qu’elles ne me concernent pas. Il répondit ensuite à ma précédente question, que j’avais à vrai dire oubliée.

« Je m'appelle Serph, et je viens de par la, dis-je en pointant la forêt. »

Il s’appelle donc Serph, un prénom court comme le mien, ou peut être un surnom, je ne sais pas et puis cela n’est pas important la ou nous sommes. Ne savant pas quoi dire, je lui pose la même question que moi.

« Et toi tu es un humain n’est ce pas ?»

Je ne suis pas sur de ce que j’avance, mais d’après ce que je peux voir, il ne cache aucune métamorphose animale. Enfin après tout qu’il soit animal, humain ou autre chose ne risque pas de me surprendre, vu que moi-même j’ignore ce que je suis. Je continue dans ma lancée.

« Dis tu connais des gens ici, ou tu sais qui pourrai m’aider à savoir que je suis ».

Je ne suis pas sur d’obtenir une réponse mais ce qui est sur c’est que je commence à fait un peu confiance à cette homme nommé Serph.

Je l'écoutais a moitié, j'avais pris l'habitude de tout faire a moitié avec le temps. Une partit de moi l'écoutait et l'autre surveillait les ombres. J'étais probablement devenu fou avec la paranoïa, mais je ne tenterais pas la chance. Après m'avoir répondu qu'elle n'en savait rien, je commença a me poser des questions. Ma première idée fut qu'elle était folle, mais si elle l'était je devais aussi l'être. Après tout je ne savais pas se qui avait bien pu lui arrivé et elle non plus ne semblait pas au courant.

Se serait assez facile de la déclarer folle et de partir, mais cela m'intéressait alors j'avais envie de savoir se qui lui était arrivé. Si sa se trouvait elle était peut-être dans la même situation que moi. Mais je ne dirais pas la même situation, car elle semblait capable de se contrôler parfaitement tendis que moi... quand sa commençait je n'étais plus moi même.

J'avais passer les dernières années a essayer de vivre avec, mais ma fatigue se voyait probablement. Je ne dormais plus beaucoup, je combattais beaucoup, mais j'étais plus lent. J'avais l'impression que mes périodes de monstre était plus longue et mêmes lors de mes périodes humaines j'avais l'impression que l'instinct animal prenait souvent le dessus. La question ne se posait pas de si j'allais résister, mais plutôt de combien de temps me restait-il a résister. Pas longtemps a se rythme, mais que pouvais-je faire? Tout le soir je devais m'éloigner des villes dans la densité de la forêt pour ne pas blesser personne. Quoiqu'il arrive je me refusais a tuer des villageois innocent, s'en serait la fin du peu qu'il restait de ma santé mental. S'il en restait encore.

Elle me revira maintenant ma question, je n'avais pas eu le temps de répondre a se qu'elle avait tellement j'étais absorber dans mes pensés. Sa question me troubla un peu. Je n'avais pas eu de mal a la posée, sa avait été très facile même, mais maintenant que je faisais face a celle-ci, la seule réponse qui me vint a l'esprit fut:

-Tout dépend de se que tu considère un humain.

Peu après l'avoir dit je me rendis compte que s'était un échappatoire. Une façon pitoyable de fermer les yeux sur mon destin et de tenter a faire comme si tout était normal chez moi. Mais quoi que je fasse, ma vie était déjà fixer sur la roue du destin et je ne pouvais rien faire contre cette réalité. Elle avait poser une autre question rapide avant que j'ai vraiment le temps de répondre a la première. Alors j'étudiais la question un moment. Si nous n'avions tout les deux aucune réelle connaissance de cette endroit, ma journée s'avérait tourner assez mal, car je devrais fuir dans les bois avant la tombé de la nuit.

-Malheureusement non, comme je t'ai dit je viens du bois et je suis un peu perdu moi-même.

Je commençais a envisager des façon de me retrouver, mais comment faire sans trop attirer l'attention sur moi.