[RP Fini] Une eau plutôt très... Chaude dirons nous... (RP sexuel, âmes sensibles s'abstenir.)

Pampelune s'étira. Elle était contente de faire une escale d'un bon mois à terre. Cela faisait un long moment qu'elle voyageait et elle était heureuse d'avoir les pieds sur le plancher des vaches. Elle aimait énormément la mer mais les forêts lui était beaucoup plus chère encore. Elle avait décidé de faire une excursion car le capitaine rendait visite à sa mère prêt du lac Olia et certain membre de l'équipage avait envie de l'accompagner pour voir du pays. Elle en faisait parti. Les autres restaient sur les côtes, là ou la majorité des villes se situaient et où ils avaient de la famille. L'équipage avait, deux jours plutôt, fait accoster le bateau sur une plage afin de mettre la cale à sec et de réparer tout les dégâts qu'avait subit le bâtiments lors des tempêtes, des attaques pirates ou tout simplement ceux dû à l'usure. Et le second avait même pour mission de faire échanger tous ce qu'il avait voler contre des pièces sonnantes et trébuchante. Tous avait donc plus ou moins une tâche important à accomplir. POur la ballade du jour elle avait décidé d'être seul et prenait pour la première fois de puis longtemps le temps de pensé et de marché à son rythme tout en s'arrêtant de temps en temps pour dessiner sur le carnet qu'elle avait amener avec des bâtonnets de charbon. Elle souris et entra enfin dans la dernière clairière de la forêt qui donnait ouverture sur le lac.

Elle traversa deux dernier arbre et éclata de rire. Elle était enfin arrivée! Heureuse... Elle était vraiment heureuse car elle se sentait libre, plus qu'elle ne l'avais jamais été. Elle courut rejoindre le bord de l'eau, posa son sac et rentra dans l'eau très fraîche en éclatant de rire. Elle sauta partout pour essayer de se réchauffer mais rien n'y fit . Elle continuait pourtant à rire au éclats. Depuis la mort d'Alex elle ne s'était pas senti une seule fois aussi libre. Même sur ce bateau elle se sentait prisonnière de l'océan. ici tout lui clamait "LIBERTÉ". Après un bon nombre de minutes à barboter dans l"'eau glaciale, elle sortie. Elle était frigorifiée et savait qu'elle n'allait pas pouvoir se réchauffer comme ça. L'eau du lac était trop froide et de nombreux vents serpentaient dans se bassin fermé au reste de Lan Rei. Elle enleva son manteau qu'elle posa à plat sur une pierre exposé au soleil qui le sécherait peu à peu. Il lui restait le midi et l'après-midi avant de rentré, elle avait tout son temps. Elle commença par récupérer du bois sec, puis ensuite découpa des bûche plus ou moins grosse pour alimenter le feu. Elle commençât par faire un cercle de galet, a installer les branches puis ensuite à mettre le feu. Une fois que cela fut fait elle déposa de la viande fraiche qu'elle avait amener afin de le faire griller sur un énorme galet plat qu'elle avait trouver. C'est seulement après avoir fait tout ça qu'elle enleva la tunique tremper ainsi que son pantalon de toile qui lui collait à la peau et qui la refroidissait aussi surment que la neige en hivers. Vêtu de sa seule chemise du dessous et d'une espèce de culotte blanche retenue par un ruban rouge récuperer lors d'une des attaques vécut sur le bateau. elle fit sécher le reste sur une branche pas trop loin du feu et exposer au soleil afin que tout sèche plus vite. Elle se traita intérieurement d'imbécile lorsqu'elle frissonna à cause d'un courant d'air qui avait eu la bonne idée de pénétré dans ses vêtement qui lui restait dessus. Elle s'approcha au plus prêt du feu s'assit sur un petit rocher et commença à dessiner une paire d'ailes représentant la liberté qu'elle avait éprouver en arrivant et se fit la promesse qu'elle irait se le faire tatouer bientôt dans le dos. Tout à coup un énorme "splacth" la fit sursauter puis hurler.

Je scrutais l'obscurité du bois, immobile tel une statue de pierre, attentif au moindre détail. Les odeurs de la forêt se mélangeaient et embrouillaient mon odorat développé. Merde, pourquoi avait-il fallu que je perde ma bouffe ? Maintenant j'en étais réduit à chasser comme ma forme nocturne ! Misère ! un bruit attira mon attention, des feuilles craquaient ! Je m'en approchais doucement, sans faire de bruit.

Devant moi ce tenait un magnifique chevreuil ! Si je l'attrapais, ce soir je n'irais peut être pas chasser ! Je dégainais ma dague, et me préparais à bondir sur ma proie, mais malheureusement, au moment où j'allais bondir les feuilles craquèrent sous mon poids et l'animal tourna la tête vers moi. Un instant nous nous regardâmes et l'animal s'élança dans une direction opposé.

Je m'élançais à sa suite, bon dieu ! Qu'il était rapide, il commençait à me distancer, et pourtant j'étais rapide ! Le chevreuil pris un virage serré et en voulant le suivre je trébuchais et m'écrasais à terre.

- Oh non, tu ne t'échapperas pas !

A peine, remis debout je courais à nouveau après ma future nourriture. Enfin, l'animal ralentissait ! Je commençais à me rapprocher, soudain ma proie s'arrêta et me décocha un bon coup de sabot avant de reprendre sa route, j'esquivais le coup mais, le chevreuil avait reprit son avance bien qu'il avait ralenti.

Je me tenais maintenant juste derrière lui , je me préparais à lui sauté sur le dos lorsque le sol se déroba sous mes pieds. Un froid intense me surpris, tendis qu'un liquide envahissait mes vêtements. Soudain un cris résonna, je me relevais rapidement et en découvris l'origine, il provenait d'une jeune femme. Sa tenu était pour le moins simple, chemise et culotte. Le rouge me monta au joues et je dis:

- Excusez-moi de vous avoir surpris, ce bain n'avait pas été prévu !

Je cherchais le chevreuil du regard lorsque je vis le feu :

- excusez-moi, est-que je pourrais partager votre feu ?

- Excusez-moi de vous avoir surpris, ce bain n'avait pas été prévu !

Après un temps de pause.

Excusez-moi, est-que je pourrais partager votre feu ?

Je regardais interloquée le garçon qui me faisait face tremper et rouge de confusion. Je ne savais pas comment réagir. Je hochait donc la tête lentemenet et lui montrait une place de libre à côté de moi. Il vint s'assoir de l'autre côté du feu et commença à le regarder fixement comme si c'était la chose la plus attirante du monde. L'odeur qui commençait à se dégageait, il est vrai, était excellente mais pas au point de le transformer en idole... je secouais la tête. Pourquoi est ce que j'étais jalouse d'un morceau de viande! Je pris doucement le pain que j'avais apporté pour accompagner la viande cuite, et tendit un morceau au jeune homme. J'en profitait pour le détailler. Il était plus grand que moi. cela se voyait à la longueur des jambes qu'il avait plier sous lui. Son torse, bien que dissimulé par une veste semblait être musclé. Venait ensuite son visage. Une énorme balafre barrait sa peau lisse en deux. Blessure de guerre peut etre. Ou accident. Je rencontrait alors les yeux gris de cet homme... Dans la vingtaine d'année, il devait avoir vécut comme moi pas mal de souffrance. Mon regard redescendit, lorsque je senti qu'il me prenait le pain des mains, et s'arrêta par inadvertance sur sa bouche. Bouche rose qui donne envie d'embrasser. Je rougis brusquement à cette pensée et nos doigts en profitèrent par se frôler. Je fermais les yeux... Lorsque l'odeur de la viande qui commence à brûler arriva à mes narines, je me précipita toujours confuse sur mon déjeuner et récupéra la viande avec mes doigts non protéger. Je poussais alors un hurlement de douleur. En soufflant pour atténuer la douleur, je baissais les yeux, les releva ensuite pour dire quelque chose et resta bouche-bé devant le regard qui me scrutais...

La jeune femme, surprise, me fis signe de m'assoir, j'étais frigorifié, l'eau était vraiment froide. Tout en avançant je détaillais le lieu, j'étais au bord d'un grand lac, sur la rive opposé se dessinait une petite cabane, je croyais me souvenir de ce lieux, mais oui ! C'était le lac Olia ! Le chevreuil m'observait à travers l'ouverture par laquelle j'étais tombé, il semblait se moquer de moi, semblant me demander si j'étais près pour la revanche. Je me promit que j'allais en faire un bon plat lorsque l'animal s'éloigna en trottinant, comme s'il avait lut dans mon esprit.

Enfin je m'assis devant le feu, pensant maintenant à autre chose, qu'est-ce que je foutais au lac Olia alors qu'hier j'étais encore au colline d'or ! Je fixais, le feu, essayant de me souvenir, l'odeur de la viande entrain de griller me parvint au narine, réveillant l'appétit de la bête en moi. J'avais dût faire du chemin cette nuit ! Enfin, maintenant j'étais assis près d'un feu, trempé et sans habit de rechange, j'avais déjà eu de la chance de trouver cette tenue entrain de sécher dans un jardin.

La jeune femme, je ne lui avais même pas demander son nom, me tendait un morceau de pain en m'observant, c'en était presque gênant ! Je pris le morceau de pain, et lorsque nos doigts se frôlèrent je sursautais. J'allais lui dire merci mais, étrangement, un son incompréhensible sorti de ma bouche. Pour la première fois je pris le temps de la détailler, elle était belle, avec de long cheveux blond et des yeux bleus, des lèvres légèrement pulpeuses invitant à embrasser...

Soudain elle poussa un cri de douleur qui me sortit de ma contemplation, je détournais le visage rapidement, rougissant de nouveau, mais pourquoi je rougissais comme ça moi ? Ça ne m'étais jamais arrivé ! Puis je demandais en bégayant:

- C...Comment vous appelez-vous ? Moi c'est Unded.

- C...Comment vous appelez-vous ? Moi c'est Unded.

Je fermais les yeux, puis les rouvrais après un temps de pause. Unded... Jolie nom... Un nom qui chante dans la bouche... Un nom agréable à prononcer...

-Moi c'est Pampelune.

Puis un sourit naquit sur mon visage. Il était charmant. Je pris la viande cuite avec plus de précaution cette fois, le posa sur une pierre froide et commença à découper le gros morceau en petits dés comme mon oncle, avant d'abuser avec l'alcool, m'avait appris à faire. Je saupoudrais ensuite les cubes d'herbes comestibles et odorantes que j'avais ramasser en foret, de fleur que j'avais apporter et d'une épaisse sauce blanche qui avait été confectionné chez la grand mère du capitaine la matin même. Je déposais le tout sur deux tranches de pain puis en tendis une à Unded. Une pensée traversa mon esprit:je ressemblais à la femme qui prépare la cuisine a son petit mari. Je secouai la tête pour chassé cette idée. Je me levais doucement en essayant de ne pas faire tomber la viande en équilibre sur les assiettes improviser puis gémit lorsque la sauce coula doucement sur la partie à vif de sa main. Je continuais néanmoins a avancer vers mon invité surprise. Je savais que j'étais très maladroite et que le moindre faux pas me serais fatale. Tout à cous je me sentais partir en avant. Je venais de glisser sur une pierre grosse ronde et mouillé. Ciel! les plats m'échappèrent des mains, mon pieds se coinça entre les pierres et j'essayai tan bien que mal a me rattraper à quelque chose. J'optais pour la solution que mon cerveau jugeait de plus sûr... Unded. Ou plutôt sa veste... qui parti avec mes mains et glissa le long de son dos... Finalement c'est mon visage qui arrêta mon élan vers le plancher des vaches... Mes lèvres... qui atterrir sur celle de Unded... Douce et chaude à embrasser comme je l'avais imaginer... Mon visage vira à l'écarlate et je me redressais brusquement.

-Pardon! je... je...

Et m'arrêta brusquement en voyant se regard gris me fixer....

- Moi c'est Pampelune

Pampelune, quel étrange nom, il ressemblait au nom d'une princesse ! J'avais beau me creuser la tête je n'arrivais pas à me souvenir où je l'avais entendu. Une petite voie en moi, la part de mon esprit qui avait peur de se lier aux autres n'arrêtait pas de me demander pourquoi je lui avait poser cette question, je la fis taire, l'enfermant dans un coin de ma tête là où elle je ne pourrais l'entendre ! Je refusais de l'entendre mais je savais bien qu'elle avait raison, je ne pouvais devenir ami avec de simple humain ! Et pourtant cette jeune femme m'attirait, bien que je ne connaissais rien d'elle !

Finalement je me résolus à partir, je n'avais rien à faire ici. Tandis que je me relevais, Pampelune avançais vers moi dans un équilibre précaire, deux assiettes à la main. Ce qui devait arriver arriva, elle glissa sur pierre, ce qui la fit tomber en avant, elle se rattrapa à ma veste trempé, qui glissa dans mon dos avec ses mains. Je bascula en arrière et la jeune femme se retrouva au-dessus de moi. Sa chute se fini lorsque ses lèvres rencontrèrent les mienne, baisé chaud et sucré, étourdissant. La jeune femme se redressa, rouge de confusion en marmonnant quelques excuse.

Je la fixais, puis sans réfléchir je l'embrassais ...

Intense... Intense et surprenant... Voilà comment était se second baiser... On s'écarta un peu l'un de l'autre, se regardant, puis de vieux souvenir et de vieux reflex remontèrent à la surface...

Moi me jettant sur Alex, l'embrassant sauvagement, me frottant sensuellement contre lui... Mon corps réagit alors instinctivement. J'attrapais unded par la taille et me rapprochait de lui, déposait mon front contre le sien, puis mon nez au contact du sien. je terminais par déposé un petit baiser sur le bord de sa bouche attendant de voir comment il allait réagir...

Nos lèvres se séparèrent, presque à regret. On s'écarta l'un de l'autre, en moi une voie hurlait d'arrêter, qu'il était encore temps de faire demi-tour.

Puis nos regards se croisèrent, plongeant l'un dans l'autre, mon cœur s'emballa, jouant une musique rapide et excité. Pampelune m'attrapa par la taille et déposa, un baiser sur le bord de ma bouche, presque hésitant. Mes mains, agissant sans que je m'en rende comte, passèrent dans le dos de la jeune femme et l'attirèrent un peu plus contre moi, je l'embrassais sauvagement, baiser plus long que les autres, et plus intense aussi...

Se baiser était ... agressif presque sauvage... Mais me faisait un bien fou. Je me détachait de nouveau avec lenteur de lui. ensuite je le fis reculer jusqu'au rocher situer à une trentaine centimètre du bord de la plage afin de le plaquer contre cette énorme cailloux. Mes mains toujours poser sur sa taille remontèrent, caressèrent sa poitrine nue et allèrent, tout en douceur se mettre sur les épaules d'Unded pendant que j'approchais mon visage du sien et déposait un doux baiser sur son nez...

Pampelune me fis reculez jusqu'à ce que mon dos rencontre une surface dur et froide, les mains de la jeune femme passèrent sur ma poitrine en de douce caresse avant de se poser sur mes épaules. Son visage se rapprocha du mien et elle déposa un doux baiser sur mon nez. Je lui rendis son baiser puis je la plaquait à son tour sur la pierre qui bascula. Nous passâmes par dessus et je me retrouvais au-dessus de la jeune femme. Je rapprochais mon visage du sien et l'embrassais sauvagement tout en lui caressant le creux du cou...

Des caresses dans le cou... j'adorais ça... Je souris, soupira d'aise lorsque l'eau commença à me caresser le visage et attira l'homme que me plaquait contre le sol vers moi. Je passais ensuite ma main dans son dos et la déposa sur sa colonne vertébrale afin de le caresser. Mes lèvres encore frémissantes de se long baiser sauvage vinrent s'écraser sur les siennes et ma langue en profitât pour se profiler et allez caresser la langue d'Unded. Ma main qui faisait des aller retour répétitif dans son dos et finit par se lasser de se chemin descendit de plus en plus bas et se glissa entre la peau nue et le tissu du pantalon afin d'en profiter davantage...

Lorsque les doigts de la jeune femme passèrent sur mon dos en de douce caresse, un frisson me parcouru, puis ses lèvres entrèrent en contact avec les mienne et sa langue alla caresser la mienne. Sa main se lassa des aller retour dans mon dos et descendit jusqu'à mon pantalon ou elle glissa entre ma peau nu et le tissu. De plus en plus excité, je lui rendit son baiser, envoyant ma langue jouer avec la sienne tout en déboutonnant sa chemise, la caressant au passage. Le vêtement tomba, découvrant sa poitrine, et je commençai à lui caresser les seins...

Contact de nos deux chairs nue... Je le connaissait à peine mais il me procurait déjà tellement de sensation... J'avais trouvé auprès de Kaleya une amie, une sœur. Je trouvais auprès de unded un contact physique qui m'avais tan manquer toute ses années. Lorsque sa main entra en contact avec ma poitrine, mon cerveau lâcha prise et je me laissai aller à son étreinte. Je fis glisser son pantalon légèrement grâce a mes mains bien au chaud. Je séparais nos lèvres, le regardais droit dans ses yeux gris, dans lequel je me perdis, puis par un léger effort le fit glisser afin que revienne au dessus de lui. Ma tête se pencha alors vers son cou, et alla lécher la grosse veine de sa gorge, puis y déposait un délicat baiser, avant de le mordiller. Pendant se temps ma mains caressait doucement les abdos prononcer de son ventre lentement et sensuellement.

Lorsque mon pantalon encore trempé par mon plongeon glissa, le froid s'empara du bas de mon corps, avant de le quitter à regret. Nos lèvres se quittèrent avec difficulté, tandis que mon regard se perdit dans ses yeux bleus, magnifique. Je me sentis alors glisser et en un rien de temps la jeune femme se retrouva au dessus de moi. Puis elle se pencha sur mon cou pour lécher la grosse veine qui s'y trouvait avant de déposer dessus un léger baiser et de la mordre légèrement, tel une sensuelle vampire, ce qui me procura, un frisson de plaisir.

Pendant ce temps, le soleil était monté au plus haut dans le ciel et l'eau était monté à l'assaut de la plage et nous entourait presque complètement. Le soleil qui se reflétait dessus nous nimbait de lumière, donnant à la scène un aspect surréaliste, nous faisant ressembler à deux anges.

La bouche de la jeune femme se sépara de mon cou, ce fut à mon tour de la mordre sensuellement à cet endroit délicat pendant que mes mains descendaient jusqu'à ces fesses et commençaient à les masser...

Spoiler:

Un massage très agréable qui me fit monté un frisson. Je le ramenais a la verticale, toujours sur les genoux pour que l'eau qui montait ne nous gène pas. J'en profitais pour faire descendre encore davantage son pantalon et allait doucement à la rencontre de son entrejambe et commençait à le masser. Tout était doux et sensuelle. Même l'eau qui coulait autour de nous suivait un rythme fluide... Je sourit de plaisir et embrassa mon amour d'un après midi, peut être plus, avec énormément d'intensité tout en me frottant contre lui et en continuant à lui faire du bien...

Je me retrouvais maintenant assis, la jeune femme au-dessus de moi. Je sentis mon pantalon glisser un peu plus, puis le contact d'une main me massant l'entrejambe, accompagné par les caresses de l'eau en un mélange sensuelles et excitant. La jeune femme me donna un nouveau baiser, étourdissant et tellement bon tout en ce frottant contre moi. Mes mains continuaient à caresser ses fesses, et à chaque nouvelle caresse baissait légèrement sa culotte blanche rendu transparente à cause de l'eau. Je l'embrassais, chaque baiser descendant légèrement, je lui embrassais le bout de ses seins et continuait la descente jusqu'à son ventre que je commençais à lécher doucement et sensuellement...

Alors qu'il me léchait le ventre je lui attrapait les cheveux et entortillait mes doigts dedans. Mes doigts avaient lâcher son entrejambe lorsqu'il avait descendu sa tête au niveau de mon nombril. Je commençais de rire car ses léchouilles sur le ventre me chatouillait. J'attrapais deux doigts sous son menton, et attirait sa tête vers la mienne et l'embrassait d'abord lentement avant de le repousser dans l'eau, et de lui enlever son pantalon et son caleçon. Je profitais de la surprise pour m'assoir sur lui et de l'embrasser sauvagement avant d'aller tracer une longue ligne humide avec ma langue sur tout son torse s'arrêtant à la base de son entrejambe. Tout cela me fit l'impression d'une intimité encore plus importante entre nous deux et beaucoup plus sensuel... J'avais tellement envie de lui... Tout mon être le criait...

Je sentis deux doigts se glisser sous mon menton, ces doigts me firent lever la tête et la jeune femme m'embrassa une nouvelle fois avant de me pousser dans l'eau. Des gouttes volèrent et trempèrent un peu plus mon corps. La jeune femme enleva alors mon pantalon ainsi que mon caleçon. Nous étions à présent tout les deux nus comme des vers. La jeune femme profita que je sois surpris pour s'assoir sur moi et m'embrasser, puis un frisson intense me parcouru lorsqu'elle traça une ligne humide avec sa langue le long de mon torse jusqu'à la base de mon entrejambe. C'était la première fois que j'avais autant envi d'une personne, et c'était d'autant plus étrange que je ne connaissais que son nom ! Je la fis se redresser pour l'embrasser, puis je la pris par la taille, la soulevais légèrement et la pénétrais doucement...

Je poussais alors un gémissement entre la douleur et un plaisir intense... Je rejetais la tête en arrière et le laisseait faire... J'avais besoin de sentir mon corps se laisser chevaucher comme autre fois, de ressentir ce que j'aimais, ce sentiment d'intimité que l'on ne pouvait avoir que lorsque l'on était en train de faire l'amour avec quelqu'un que l'on apprécier... Il était vrai qu'elle ne le connaissait même pas, mais ce qu'elle ressentait pour unded était vraiment intense... J'agrippais ces fesses et commençait a suivre cette cadence régulière toute en les massant... Je me redressait et l'embrasser comme je pus avant de lui lécher la poitrine puis le regardait droit dans les yeux le sourire au lèvres... j'étais tellement bien...

Pampelune m'attrapa les fesses et commença à les masser, massage très agréable. Puis elle m'embrassa, baiser très maladroit, mais tellement bon avant de me lécher la poitrine ! Puis elle me fixa droit dans les yeux, un léger sourire au lèvre, le temps fut comme arrêter, j'oubliai jusqu'à ma condition de loup-garou, j'oubliai que je ne connaissais rien de la jeune femme, ne restant que deux corps et un amour intense, d'une journée ou plus ? J'espérais bien plus ! Je l'embrassais comme je pus à mon tour, puis j'accélérai la cadence en lui caressant le dos...

Le rythme accéléra et le plaisir que je ressentait déjà s'intensifia. Les caresses au creux de mon dos était tellement douce et sensuel... J'en profitait quelque minute avant de passer au dessus et de bouger par moi même pour nous deux. Mes cheveux blond et long lui caressait maintenant le torse et nos regard se mélangeait. Cela intensifiait le plaisir... Je ralenti la cadence pour davantage de sensation... Je lui chuchotait quelques mots à l'oreille avant de l'embrasser sauvagement et entamer une valse entre nos langues...

Pampelune ce retrouva au-dessus et commença à agir d'elle même, à ce moment là le plaisir s'intensifia, tellement bon ! Ses cheveux me caressaient le torse, nos yeux se fixaient, semblant ne jamais vouloir se détourner. La jeune femme me chuchota quelque mots à l'oreille, tandis que la cadence ralentissait lentement, ces mots étaient sensuelles, enflammées ! Puis nos lèvres entrèrent en contact et nos langues commencèrent une valse endiablées. Mes mains descendirent et empoignèrent ses fesses pour lui faire un massage sensuelles tandis que la cadence augmentait et ralentissait tout à tour...

C'était tellement excellent que je gémissais a chaque coup. les massages renforcer le plaisir. Je lui agrippais la poitrine et enfonçait mes ongles malgré moi dans sa peau. Cela laissait des marques peut profondes, mais qui pourrait laisser des cicatrices. Je me penchait, l'embrassait sauvagement puis le couvrait de bave avec ma langue. Je le laissait repasser dessus un peu fatigué...

Ses ongles s'enfoncèrent légèrement dans ma peau, laissant des marques, marques qui pourraient laisser des cicatrices, c'était un peu douloureux. Puis la jeune femme m'embrassa, doux baiser, avant de me lécher la poitrine, laissant une quantité impressionnante de bave. Puis je repassais au-dessus.

L'eau nous encerclait totalement désormais, de nombreux nuage noir cachait le soleil auparavant lumineux.

Je sentis une goutte tomber sur ma peau, puis deux, puis une légère averse se mit à tomber, j'embrassais Pampelune une énième fois, avant de descendre et de lécher le boue de ses seins. Sans que je le veuille mes ongles s'enfoncèrent dans son dos, je ne pouvais voir les marques qu'il avaient laissé mais elles devaient être peu profonde, j'espérais. J'accélérais la cadence, de plus en plus vite, puis, ne pouvant plus me retenir, j'éjaculais...

Je me tortillais sous lui et poussait un cries de passion ultime. Essoufflée, j'entourais sa taille de mes bras et soufflait pour reprendre mon souffle. Nous étions tout les deux couverts de sueur malgré l'eau qui nous coulait autour et nous rafraichissait. Des contractions involontaires me firent sursauter et lui griffé involontairement le dos déjà rouge. Lorsque j'eus finit de me tortillais je le repoussait et me cala ensuite entre ses bras.

-Pardon...

Je me mis à trembler lorsqu'un courants d'aire vint se poser sur mon dos humide.

-Je...Je...

Je me mis à rougir en me rendant compte ce que je venais de faire. Je venais de coucher avec un inconnue pour qui je venais de craquer... Je m'appuyais sur les mains et me relevais.

-Je suis désolé pour ce qui viens se passer. Je... c'est la première fois que j'ai... un coup de foudre de se genre...

Je ne savais pas comment continuer... je rougis de plus belle et sorti la seule chose qui me passa par la tête.

-J'ai froid...

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